" La technologie 5G ouvre la possibilité de conséquences biologiques imprévues".
Le Comité scientifique de la commission européenne, dans son rapport de décembre 2018, dit ceci : " La technologie 5G ouvre la possibilité de conséquences biologiques imprévues. Les problèmes de santé et de sécurité restent inconnus".
L'Etat français, comme les autres états, est en train d’ouvrir la boîte de Pandore et va lâcher dans la nature et nos sociétés, une force inconnue dont la puissance laisse redouter des ravages sur le système nerveux et le cerveau.
L'état français ne remplit pas son rôle qui lui incombe, celui de protéger ses citoyens. Au lieu de cela il mène des expériences à ciel ouvert, considérant les individus comme des rats de laboratoire. Aucune étude de long terme n'a été menée pour prouver de l'innocuité des ondes 5G sur les êtres vivants, ils préfèrent tester cette technologie une fois qu'elle sera installée.
Face à l'inquiétude grandissante des français, la convention citoyenne pour le climat a donc indiqué dans son rapport que la 5G était tout simplement inutile et qu'elle allait apporter plus d'inconvénients que de bénéfices réels. Face à la colère du député François Ruffin dans l'hémicycle interpellant la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Économie et des Finances, Agnès Pannier-Runacher qui devant les députés venaient de trahir la promesse du Président de la République en déclarant que la France avait ouvert les enchères pour l'octroiement des fréquences 5G alors que ce dernier avait promis de tout reprendre face à cette demande de moratoire.
La 5G devient un dossier brûlant.
Selon Elisabeth Borne et Olivier Véran, il ne faut pas se précipiter sur le déploiement de la 5G, cette technologie censée supplanter d'ici à 2023 l'actuelle 4G. La ministre de l'Environnement et le ministre de la Santé ont écrit à Edouard Philippe pour lui demander "d'attendre l'évaluation de l'Anses [l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail] avant le déploiement de la 5G", révèle Elisabeth Borne dans une interview au Journal du dimanche, publiée dimanche 21 juin. Les résultats sont attendus pour la fin du premier trimestre 2021.