Monsanto : on empoisonne des gens et on le fait bien.

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Près d'un tiers des colonies d'abeilles ont péri cet hiver aux Etats-Unis

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Près d'un tiers des colonies d'abeilles aux Etats-Unis ont été décimées au cours de l'hiver 2012-2013, sans qu'une raison particulière ait pu être dégagée, selon une étude réalisée par le ministère de l'agriculture américain (USDA) et des associations professionnelles, publiée mardi 7 mai. 

 

abeilles pesticides

 


La population d'abeilles a décliné de 31,1 % l'hiver dernier, selon les résultats préliminaires d'une enquête réalisée auprès de plus de 6 200 producteurs d'abeilles aux Etats-Unis par l'USDA, en collaboration avec l'association AIA (Apiary Inspectors of America) et Bee Informed Partnership. 

CAUSES MULTIPLES DE SURMORTALITÉ 

Selon cette étude, la perte subie ces derniers mois par les abeilles américaines est 42 % plus importante que l'hiver précédent, lorsque 21,9 % d'entre elles avaient disparu. Les abeilles connaissent depuis six ans de très importants taux de mortalité, de 30,5 % en moyenne, sans que les experts s'accordent sur un facteur déterminant. 

Selon les autorités américaines, plusieurs raisons participent ces dernières années de la surmortalité des abeilles sans qu'aucune soit prévalente, comme "les parasites, les maladies, les facteurs génétiques, une mauvaise nutrition et l'exposition aux pesticides"

Dans l'UE, les autorités ont annoncé, le 29 avril, la suspension pour deux ans, à compter du 1er décembre, l'utilisation de trois insecticides impliqués dans le déclin accéléré des abeilles domestiques et des insectes pollinisateurs (bourdons, papillons, abeilles sauvages, etc.). La décision, toutefois, n'implique pas une disparition totale de ces substances dans l'environnement. 

Les trois molécules interdites, l'imidaclopride, le thiaméthoxame et la clothianidine appartiennent à la famille des néonicotinoïdes, insecticides parmi les plus utilisés au monde en agriculture et que l'on retrouve dans des dizaines de produits tels le Cruiser, le Gaucho, le Poncho ou le Cheyenne. Depuis de nombreuses années, ces substances sont suspectées d'être un élément déterminant de l'effondrement des populations d'abeilles et de pollinisateurs sauvages.

 

 


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Greenpeace tacle Volkswagen

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Allez un peu de légereté ça fait du bien!!! Avis aux fans de Starwars!

 

 

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Le taux de CO2 dans l'air au plus haut depuis plus de 2,5 millions d'années

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Un cap symbolique est en passe d'être franchi. Pour la première fois depuis que l'homme est apparu sur Terre. Et même depuis plus de 2,5 millions d'années... Le seuil de 400 parties par million (ppm) de dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique devrait être atteint courant mai, au point de mesure historique de la station de Mauna Loa (Hawaï), où les premières mesures de l'ère moderne ont été menées, dès 1958, par l'Américain Charles David Keeling.

 

La concentration de CO2 dans l'hémisphère Sud, plus faible que celle de l'hémisphère Nord, ne franchira cependant le même palier que dans plusieurs années.


A Mauna Loa, la concentration de CO2 pointait, vendredi 3 mai, à 399,29 ppm. La veille, l'Organisation météorologique mondiale (OMM) rendait public son bilan climatologique pour 2012, notant l'abondance et l'intensité de phénomènes extrêmes : sécheresses, inondations, cyclones tropicaux, etc.


 2012 AU NEUVIÈME RANG DES ANNÉES LES PLUS CHAUDES


"La variabilité naturelle du climat a toujours donné lieu à ces extrêmes, mais les caractéristiques physiques de ces phénomènes météorologiques et climatiques résultent de plus en plus du changement climatique", analyse Michel Jarraud, secrétaire général de l'OMM.

Celle-ci place l'année 2012 au neuvième rang des années les plus chaudes observées depuis la fin du XIXe siècle. La concentration atmosphérique de CO2 n'excédait pas alors les 300 ppm. Un niveau qui n'a jamais été dépassé au cours du dernier million d'années écoulé.

 

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"Franchir le seuil de 400 ppm de CO2 porte une forte charge symbolique, juge le climatologue Michael Mann, directeur du Earth System Science Center de l'université de Pennsylvanie. Cela vient nous rappeler à quel point la dangereuse expérience que nous menons sur notre planète est hors de contrôle."

Au rythme actuel des émissions de dioxyde de carbone, l'objectif fixé par la communauté internationale de limiter, à l'horizon de la fin du siècle, le réchauffement à deux degrés au-dessus du niveau préindustriel, est désormais quasi intenable.


AUGMENTATION MOYENNE DE LA TEMPÉRATURE DE 2,4 °C À 2,8 °C 


Le franchissement imminent du seuil des 400 ppm de CO2 n'est pas une surprise. En août 1975, dans un article célèbre publié par la revue Science, le géochimiste américain Wallace Broecker non seulement prévoyait l'irruption prochaine du "réchauffement global", mais il estimait aussi la rapidité avec laquelle les activités humaines feraient grimper la concentration atmosphérique de CO2. Voilà près de quarante ans, il avançait que le fameux seuil des 400 ppm serait atteint en 2010...


Pour retrouver de tels niveaux de gaz carbonique, il faut remonter à l'ère du pliocène, il y a 2,6 à 5,3 millions d'années. Les créatures les plus proches du genre humain qui arpentaient alors la surface de la Terre étaient les australopithèques. "Les températures moyennes globales étaient de trois à quatre degrés supérieures à celles d'aujourd'hui et d'environ dix degrés aux pôles", précise la Scripps Institution of Oceanography (université de Californie à San Diego), qui publie quotidiennement les mesures de concentrations de CO2 de Mauna Loa. Et le niveau de la mer, "supérieur de 5 m à 40 m au niveau actuel".

 

"Il est toujours délicat de faire ce genre de comparaison", prévient cependant le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (université catholique de Louvain), vice-président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). "Il n'y a pas que la concentration en CO2 qui change, note-t-il. La position des continents, l'orbite terrestre ont, depuis le pliocène, également changé."


Selon les derniers travaux du GIEC, la stabilisation du CO2 entre 400 ppm et 440 ppm conduirait, sur le long terme, à une augmentation moyenne de la température terrestre de 2,4 °C à 2,8 °C. "La dilatation thermique des océans conduirait à une élévation du niveau moyen des océans comprise entre 50 cm et 1,7 m, ajoute M. van Ypersele. Et ce, sans tenir compte de la fonte des glaciers."


ÉLÉVATION DU NIVEAU MARIN COMPRISE ENTRE 20 CM ET 60 CM


Ce nouvel état d'équilibre ne serait toutefois atteint que bien après la fin du siècle en cours. Autour de 2100, vu l'inertie de la machine climatique, l'augmentation du niveau des mers devrait être en deçà de ces niveaux, même en tenant compte de la fonte des glaciers. Le dernier rapport du GIEC prévoit à cet horizon une élévation probable du niveau marin comprise entre 20 cm et 60 cm, une estimation qui devrait cependant être revue à la hausse dans le prochain rapport du groupe d'experts, attendu pour septembre.


"Une part de la question est donc de savoir si l'on doit se préoccuper du très long terme ou se limiter à considérer ce qui se produira d'ici cinquante ans à cent ans", interroge le climatologue Edouard Bard, professeur au Collège de France.

En tenant compte du temps très long, "la possibilité est réelle qu'avec les niveaux de CO2 actuels nous ayons déjà dépassé le seuil d'une influence dangereuse sur notre climat", estime pour sa part Michael Mann.


Selon le climatologue américain James Hansen, ancien directeur du Goddard Institute for Space Studies (GISS), la concentration de CO2 à ne pas excéder se situe autour de 350 ppm. Une limite qui a été atteinte peu avant 1990.

 


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La hausse du niveau de la mer devrait être bien plus importante que prévu

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L'élévation du niveau de la mer due au réchauffement climatique pourrait se révéler deux à trois fois plus importante que prévu au cours de ce siècle, indique une étude publiée vendredi 22 juin par le Conseil national de la recherche américain. Les experts se sont penchés sur des estimations des Nations unies et les ont mises à jour avec de nouvelles données concernant l'état de la calotte glaciaire, dont la fonte serait responsable de l'accélération de la montée du niveau des océans.

 

montée des eaux

 

Dans leur étude, ils prévoient une montée des eaux tout autour du globe allant de 8 à 23 cm d'ici 2030, par rapport au niveau de 2000, de 18 à 48 cm d'ici 2050, et de 50 cm à 1,40 m d'ici 2100. Cette dernière estimation est nettement supérieure à celle avancée par le Groupe d'experts des Nations unies sur l'évolution du climat (GIEC) dans leur rapport de 2007. A l'époque, le GIEC avait tablé sur une hausse de 18 à 59 cm d'ici la fin du XXIe siècle. LA CALIFORNIE PARTICULIÈREMENT TOUCHÉE "Avec la montée du niveau des océans, on s'attend à une multiplication des tempêtes de puissance extrême et de plus longue durée, ainsi qu'à des vagues plus grandes, ce qui accroît le risque d'inondation, d'érosion côtière et de perte de zones marécageuses", soulignent Robert Dalrymple, président du comité d'experts, et Willard Hackerman, professeur d'ingénierie civile à l'université Johns-Hopkins (Maryland), co-auteurs de cette étude.

 

La Californie devrait être particulièrement affectée par la montée du niveau de l'océan Pacifique en raison notamment d'une forte érosion. Sur la côte, au sud du cap Mendocino, l'océan devrait ainsi gagner de 42 cm à 1,67 m d'ici 2100. En revanche, le reste de la côte ouest devrait voir une augmentation moindre, avec un gain prévu entre 10 cm et 1,43 m, indiquent les experts. Dans cette région, qui englobe l'extrême nord de la Californie et les Etats de l'Oregon et de Washington, le sol s'élève sous l'effet de la tectonique des plaques. Mais un séisme de magnitude 8 ou davantage pourrait provoquer une montée soudaine de un mètre voire plus dans cette région, sujette à de fréquents tremblements de terre.

 

 


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