La voiture tue plus par la pollution que par les accidents de la route

Publié le par Notre Terre

Une récente étude du MIT, affirme qu'aux États-Unis 53 000 personnes meurent chaque année à cause de la pollution automobile alors que 34 000 personnes décèdent par accident. La pollution automobile serait donc plus meurtrière que les accidents.

 

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Interview réalisée par Atlantico


Selon le MIT, la pollution automobile tuerait aux Etats-Unis plus surement que les accidents de la route, respectivement 53 000 et 34 000 personnes. La pollution automobile pourrait-elle être considérée comme la première cause de la mortalité "routière" ? Quel constat peut-on établir en France ? Comment expliquer cette situation ?

Rémy Slama : Dans leur estimation des décès dus à la pollution atmosphérique, ces scientifiques isolent la partie de la pollution atmosphérique qui serait due aux émissions du trafic routier et ils appliquent cette proportion au nombre de décès. En France, on est descendu à moins de 4000 décès par an sur les routes du fait des accidents, un niveau très bas par rapport au passé. Et pour ce qui concerne les effets de la pollution atmosphérique dans son ensemble, l’estimation est de l’ordre de grandeur de 20 à 40 000 décès par an dus aux particules et à la pollution dans son ensemble. Elles ont des effets sur les pathologies cardiaques et respiratoires.

L’effet sur la mortalité s’explique par des effets sur les pathologies cardiaques, les infarctus du myocarde, des accidents vasculaires cérébraux, les polluants atmosphériques créent des phénomènes d’inflammation, ils développent la plaque d’athérome qui favorise les accidents cardiaques. Cette pollution atmosphérique dans son ensemble est liée aux activités agricoles, industrielles et bien sûr au trafic routier notamment automobile. Les données qui existent sur la part de chaque secteur ne sont pas très cohérentes, il est difficile de donner un chiffre effectif.

 

Il semble toutefois que sur les particules pm5 ou 10 seraient émises pour 15% par le trafic routier, en milieu urbain - peut être un peu plus. Si on suppose que la toxicité de ces particules liée au trafic est la même que l’ensemble des particules responsables des décès (elles peuvent être un peu plus toxiques) alors on peut attribuer 15 % des 20 à 40 000 décès annuels liés à la pollution atmosphérique au trafic, on aurait de de 3 à 6000 décès par an dus au trafic - ce qui est grosso modo le même ordre de grandeur que les décès liés aux accidents de la route. Si l’on veut aller dans le détail, l’âge des victimes des accidents de la route et celui des morts liés à la pollution n’est pas le même. Si on résonnait au nombre des années de vie perdues, l’accidentologie entraîne un nombre plus important de nombre de vie perdues. Mais très probablement, la route tue au moins autant par la pollution qu’elle engendre que par l’accidentologie.

Isabella Annesi-Maesano : Globalement, le constat est tout a fait semblable avec des chiffres différents. A noter aussi que cela dépend de la classe d'âge. Les jeunes meurent plus d'accidents de la route que de pollution. Pour que les effets de la pollution se produisent il faut des expositions sur le long terme (chroniques) ou sur le court terme (aigus). Les effets aigus de la pollution sont observés chez les personnes déjà malades ou âgées. Les effets chroniques, on les voit chez les sujets exposés continuellement. La pollution véhiculaire ayant augmenté dans les dernières décennies les gens ont été plus exposés dans les villes, davantage ceux qui habitent à proximité d'axes routiers trafiqués. D'où l'augmentation des effets de la pollution. Maintenant, on assiste à trois phénomènes : augmentation à proximité des axes, stagnation et diminution. Les niveaux restent préoccupants.  


L’étude met en évidence qu’un Américain sur cinq souffrirait des effets de la pollution automobile pour cause d’une trop grande proximité avec les autoroutes. Vivre près des autoroutes ou exercer un métier dans le transport serait-il devenu dangereux, un mode de vie à risque ?

Rémy Slama: Pour l’instant, nous ne pouvons pas prouver cette donnée en France mais ce qui est certain c’est que dans notre pays, les personnes vivant en milieu urbain sont plus exposées aux particules à raison de 10 microgramme par m2, un chiffre relativement élevé comparé aux zones rurales (de 20 à 40 % de moins selon les agglomérations).

Isabella Annesi-Maesano : Lorsqu'on vit a proximité d'axes routiers à circulation véhiculaire intense on est exposés de façon importante (plus que les niveaux préconisés) démontre par Airparif en France par ex. Pour les maladies professionnelles liées a de telles expositions, il y a peu de données.
Les experts du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence spécialisée de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont publié jeudi 17 octobre un rapport expliquant que l’exposition à la pollution de l’air extérieur provoquerait des cancers du poumon. La pollution engendrée par le trafic routier est-elle à l’origine de cette situation ? Quels autres effets a-t-elle sur la santé ?

Rémy Slama : Les effets établis sont ceux sur la fonction cardiovasculaire, les poumons et certains troubles de la circulation sanguine. On a par exemple une augmentation des crises d’asthme, ou des pathologies exacerbés comme la BPCO, des accidents cardiaques, des troubles de la tension artérielle. Enfin, le cancer du poumon est clairement posé par la pollution atmosphérique et comme le CIRC nous le rappelle : ils sont notamment dus aux particules diesel et atmosphériques. Il y a également des effets probables concernant la croissance fœtale.

 

Nous venons de publier dans la revue médicale « The Lancet » une étude qui observe une augmentation du risque de petit poids à la naissance en lien avec les niveaux de particules durant la grossesse (le bébé dont la mère est exposée aux particules pèserait en moyenne 2.5kg). Cette étude a été réalisée en milieu urbain, milieu dans lequel les particules fines sont un indicateur de la pollution liée aux véhicules. Par ailleurs, nous avions un également un indicateur qui était la distance à un axe routier, qui lui aussi assurait un risque plus important de petit poids à la naissance. Nous avons ainsi donc de bonnes raisons de penser que les particules liées au trafic sont effectivement nocives pour l’homme.

Isabella Annesi-Maesano : Les polluants lies au trafic, par exemple le diesel, sont a l'origine de la cancérogenèse. Les autres effets sont des effets de morbidité et mortalité cardiorespiratoire. On a observe aussi des effets sur les AVC ou de manière plus surprenante sur l'autisme...
Quelles solutions pourrait-on imaginer pour réduire la mortalité due à la pollution atmosphérique, notamment automobile, en France ?

Rémy Slama: Dans la mesure où ce n'est pas facile d'éloigner les gens des sources, il faut plutôt tenter de limiter les émissions. Nous savons que ce n'est possible aujourd’hui, nous avons l’exemple historique du dioxyde de source, un polluant dont le niveau était élevé dans la première moitié du XXème a considérablement baissé. Aujourd’hui, pour réduire la pollution, il faut améliorer les systèmes de chauffage, au bois notamment qui est un fort émetteur de particule et améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments.  Enfin, concernant la pollution automobile, il faudrait réduire le trafic routier et le nombre des véhicules anciens qui sont plus polluants. Certaines villes ont instauré un système prévoyant la baisse du nombre de ces véhicules mais les résultats sont mitigés. Ils s’ajoutent aux normes plus strictes sur les véhicules nouveaux. Si les Zapa ont été abandonnées les autres options peuvent être utilisées, enfin il faut développer les modes de transports les moins polluants.

Isabella Annesi-Maesano : Moins de trafic véhiculaire et plus de voitures émettant moins de polluants, voire 0 comme dans le cas des voitures électriques. Cela peut etre aussi des voitures avec pot catalyseur mais il y en a trop, certains ne fonctionnent pas, la majorité des voitures n'est pas équipée... Fermeture des centres historiques notamment pollués. Plus de marche, plus de vélo... Et puis la protection des sujets susceptibles.

Une récente étude du MIT, affirme qu'aux États-Unis 53 000 personnes meurent chaque année à cause de la pollution automobile alors que 34 000 personnes décèdent par accident. La pollution automobile serait donc plus meurtrière que les accidents.
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Une récente étude du MIT, affirme qu'aux États-Unis 53 000 personnes meurent chaque année à cause de la pollution automobile alors que 34 000 personnes décèdent par accident. La pollution automobile serait donc plus meurtrière que les accidents.
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La plante qui combat le cancer et dont personne ne parle

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Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola tuaient les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

 

Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de «l'arbre Graviola seulement tue les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.

 

Une importante société pharmaceutique américaine a alors oeuvré durant sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer du Graviola. Mais il n'a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L'original tout simplement n'a pas pu être reproduit.

 

Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.

 

 

 

 


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Hécatombe au Salvador: 114 tortues marines retrouvées mortes

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114 cadavres ont été découverts en une quinzaine de jour sur la côte Pacifique du pays. Les autorités soupçonnent des algues toxiques.

 Désolation au Salvador. Pas moins de 114 tortues marines ont été retrouvées mortes sur la côte Pacifique du pays en seulement une quinzaine de jours, entre le samedi 28 septembre et le lundi 14 octobre. Les autorités ont décidé d'ouvrir une enquête.

Les animaux ont été retrouvés sur les plages de San Diego, El Amatal et Toluca, au centre du littoral salvadorien, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale. La plupart étaient des tortues vertes et des tortues olivâtres.

Algues toxiques ou filets de pêcheurs ?

Le problème semble aussi concerner le Guatemala et le Nicaragua voisins, mais les autorités de ces pays n'ont pas tenu de compte précis. La vice-ministre de l'Ecologie du Salvador, Lina Pohl, a évoqué le développement d'une algue toxique en haute mer comme cause possible de cette hécatombe. Des "marées rouges" d'algues toxiques sont souvent constatées à cette période, mais ne s'étaient jusqu'à présent jamais soldées par des morts massives de tortues. 

Une équipe du ministère a procédé à des prélèvements qui seront analysés par un laboratoire de toxicologie marine. Mais Jose Leonidas Gomez, du Programme de conservation des tortues marines Je protège mon monde, assure que les tortues retrouvées ne semblaient pas avoir ingéré quoi que ce soit. Il pointe plutôt du doigt les filets des nombreux bateaux de pêche circulant dans ces eaux.

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« On produit de la viande comme on fabrique des bagnoles »

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En 2009, dans son livre « Bidoche » (éditions Les liens qui libèrent), le journaliste Fabrice Nicolino s’était penché sur les ravages de l’industrialisation de la viande. Aujourd’hui qu’éclate le « Findusgate », ou le « horsegate », comme on préfère, son analyse radicale prend toute sa saveur.
Le mal semble plus profond que cette histoire de fraude ne veut bien le faire penser : c’est tout notre rapport à la viande qui est à repenser. Pas seulement parce que l’excès de consommation de « produits carnés », comme on dit, nuit à l’environnement et à la santé, mais parce qu’on a perdu le contrôle du système.

Cette affaire en est la preuve et devrait logiquement déclencher une prise de conscience des consommateurs : qui peut se satisfaire de manger du minerai de viande, dont « avant, on n’osait pas faire de la bouffe pour chat » ?

 

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Interview réalisée par Rue89.

 

Rue89. Qu’est-ce qui vous frappe dans la crise actuelle ?

Fabrice Nicolino. La crise n’est pas celle qu’on croit. Arrivant après tant d’autres, elle montre que le système de la viande industrielle est en bout de course. Plus personne n’a confiance, mais aucune autorité n’a et ni n’aura le courage de reconnaître enfin que le roi est nu.

La première chose qui m’a frappé, c’est d’entendre Stéphane Le Foll dire à la radio qu’il découvrait « la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne ». Mais quelle hypocrisie ! Ce ministre de l’Agriculture, petit-fils de paysan, titulaire d’un BTS d’agriculture, connaît très bien cet univers pour avoir notamment copiné avec Xavier Beulin, le patron de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA)… alors quand il feint de découvrir la lune, il se moque du monde. Il sait très bien comment ça se passe.


Pourquoi fait-il cela ?

Parce que comme tous les acteurs de l’industrie agroalimentaire, il a une trouille bleue de se retrouver face à une crise de l’ampleur de celle de la vache folle. Il a pris des cours de communication de crise, dans le but de calmer le jeu. Et la communication de crise, en cette circonstance, passe par deux trucs vieux comme le monde :

    désigner un coupable ;
    et annoncer qu’on va multiplier d’implacables contrôles.

Comme il fallait trouver un bouc émissaire, on a cherché d’abord du côté de la Roumanie, puis de la Hollande, et enfin en France avec Spanghero, au pays basque. Un truand a trahi la confiance, on lui retire l’agrément, et comme on est responsables et efficaces, ça ne se reproduira pas. Tout cela n’a qu’un seul but : calmer l’opinion pour éviter un scandale majeur, qui remettrait en cause des intérêts économiques et financiers gigantesques.

Ce n’est pas une erreur du système mais le cœur du système qui dysfonctionne ?

Bien sûr car on est passé d’une situation où la viande était issue d’un élevage plus ou moins artisanal, où il y avait un contrôle social étroit sur la manière dont les animaux étaient élevés, à une industrie de la viande, avec des abattoirs modernes, des traders, des Bourses, des régions comme la Bretagne devenues ateliers de viande et de lait…

Aujourd’hui, on peut dire que la viande a atteint la perfection industrielle, c’est une industrie mondialisée, qui appartient souvent à des fonds de pension ou des organismes financiers et qui pose les mêmes problèmes que l’économie financiarisée : la nécessité de dégager des taux de rentabilité de 8 à 10%…

Peut-être que Spanghero a été pris à la gorge par ce système. Se plaindre de cela c’est remettre en cause l’ensemble du système industriel.

On va en savoir plus sur cette viande grâce à des tests ADN.

Mais ce n’est pas le problème de savoir si c’est du bœuf ou du cheval ! Cette question-là est psychologique et non sanitaire. Le vrai scandale est de savoir ce que contient réellement la viande, d’où qu’elle provienne. Faire un test ADN est très facile, mais ce qui changerait tout, ce serait de faire des analyses chimiques complètes, et donc très coûteuses.

On se rendrait compte alors que dans l’univers mondialisé, la viande contient quantité de molécules chimiques toxiques, potentiellement dangereuses pour la santé humaine. Tout simplement parce qu’il faut « produire » de la viande le plus vite qu’il est possible, et que les techniques pour y parvenir sont connues : anabolisants, hormones de croissance, antibiotiques qui, dans certains cas, peuvent également doper la croissance des muscles.

Mais on ne fera pas ces analyses, car on serait sûr de trouver des résultats affolants. On produit de la viande comme on fabrique des bagnoles : il faut aller vite, à la chaîne, en réduisant les coûts intermédiaires.

Comment protéger le consommateur européen ?

On ne peut pas. On a créé une créature digne de Frankenstein, un système qui a échappé au contrôle social et moral des humains. Les crédits pour le contrôle ne cessent de régresser, les services vétérinaires sont insuffisants. Et puis on ne peut pas contrôler la viande qui circule dans le monde entier. C’est comme pour les billets de banque, on est obligés de faire confiance, or la confiance n’est plus là.

Je trouve très éclairant l’exemple du MRSA, le Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (Sarm), qui prolifère de manière extraordinaire dans les élevages porcins. Des études aux Etats-Unis montrent que cette bactérie mutante est présente dans la moitié des porcheries.

Une enquête menée aux Pays-Bas prouve sa présence dans 57% des porcheries industrielles et chez 29% des salariés des porcheries. Un article du New York Times, basé sur des chiffres officiels, dit qu’elle a tué 19 000 personnes en 2005 aux Etats-Unis, soit plus que le sida ! C’est une bombe sanitaire autrement angoissante que la viande de cheval roumaine !

Or, on ne cherche pas sa présence de manière active en France aujourd’hui. Pourquoi ? A cause du système verrouillé de cogestion de l’agriculture industrielle, qui mêle depuis cinquante ans ministère de l’Agriculture, FNSEA et industriels ?

Il est nécessaire de sortir de l’élevage industriel, mais je ne connais pas un responsable capable de dire ça. Si Le Foll disait la vérité sur ce système, il sauterait demain matin, bien entendu.

Mais je n’oublie pas que les consommateurs réclament un prix extrêmement bas pour leur alimentation (rappelons que la part de l’alimentation dans le budget des familles n’a cessé de baisser depuis un siècle). Les gens préfèrent avoir trois téléphones portables plutôt que de payer le juste prix pour une nourriture qui les maintiendrait pourtant en bonne santé.

 

 

 


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Monsanto reçoit le “prix nobel” de l’agriculture pour ses recherches sur les OGM

Publié le par Notre Terre

dossier la bombe ogm

 

Comment peut on recevoir le "World Food Prize 2013", lorsqu'on trafique des semences pour qu'on ne puisse pas les replanter l'année suivante et ainsi rendre les agriculteurs dépendants?

 

Comment peut-on recevoir un tel prix quand l'agent Orange a tué des dizaines de milliers de personnes durant la guerre du Vietnam?

 

 Quand en parallèle de ses activités de généticien fou on achète la plus grande armée de mercenaires au monde : Blackwater.

 

Quand à cause de nous, des paysans indiens se suiscident chaque jour à cause d'OGM défectueux, qui les obligent à acheter des tonnes de pesticides, polluant gravement la Nature et endettant les agriculteurs?

 

Quand on sait que des rats nourris exclusivement aux OGM ont développés de très grosses tumeurs cancéreuses? (Voir étude Séralini).

 

Et que dire de cette étude russe qui prédit la stérilisation de l'humanité à cause des OGM?

http://www.notreterre.org/article-une-etude-russe-qui-prouve-que-les-ogm-steriliseront-l-humanite-au-bout-de-3-generations-108345371.html

 

 

Voilà, nous assitons au triomphe de la bêtise sur l'intelligence. Je me demande si nous demandions au conseil d'administration de Monsanto de se nourrir exclusivement d'OGM pendant un an, s'ils le feraient?

 

Il y a quelque chose que vous pouvez faire : rendez-vous sur la page facebook de monsanto, cliquez à côté de "message", ensuite signalez lapage comme étant une escroquerie. Le clic de souris peut faire bouger les choses.

Publié dans OGM j'en veux pas!

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