Découverte de huit nouvelles espèces de requins au sud de Maurice
Huit nouvelles espèces de requins d'eau profonde ont été découvertes par un étudiant américain au début du mois au cours d'une expédition à 200 km au sud de l'île Maurice, rapporte le Moss Landing Marine Laboratories (MLML) sur son site web.
L'étudiant diplômé Paul Clerkin avait accompagné les pêcheurs au chalut qui étaient en campagne le long de la crête de Melville dans le sud de l'océan Indien.
C'est une faille peu explorée où la profondeur avoisine les 4. 000 mètres. Les marins avaient cependant pêché près d'une tonne de requins et parmi 350 individus, l'étudiant est tombé sur huit nouvelles espèces jamais répertoriées à une profondeur de 2 000 mètres, soit autour des monts sous-marins.
Selon le directeur du MLML Pacifique Shark Research Center, la découverte de ces nouvelles espèces de requins est peut-être encore plus importante que celle du requin blanc charismatique.
Ces nouvelles espèces, les unes plus bizarres que les autres, dont un faux requin-chat de 3 mètres, ont été trouvées à un emplacement distant à une semaine de voyage en bateau à partir de la rade de Port-Louis, un isolement qui en fait une zone peu étudiée jusqu'ici.
"Les requins n'ont pas vraiment été exploré autant que nous le pensons", a déclaré Paul Clerkin.
Paul Clerkin indique qu'il a pêché au moins 35 faux requins- chats, ce qui suggère que la Melville Ridge n'a guère intéressé les scientifiques.
"Les requins demeurent encore une espèce inconnue qui possède une mauvaise réputation mais qui joue un rôle extrêmement important dans l'écosystème marin", avance-t-il.
De son côté, le Dr Ebert suggère que c'est ce manque d'informations de base sur les requins qui rend ces nouvelles espèces si important.
"Les grands requins blancs sont protégés en Amérique du Nord et dans de nombreux endroits à travers le monde, tandis que ces nouvelles espèces ne sont même pas connus et ne peuvent donc pas être protégés", explique le Dr Ebert.
Selon le scientifique, les nouvelles découvertes comme celles de Clerkin sont essentielles, par conséquent, pour empêcher les espèces de requins tels que ceux-ci de tomber sous le radar.
Pour déterminer les liens de parenté de ces nouveaux requins avec les squales existants, Paul Clerkin va procéder à des tests ADN.
L'étudiant diplômé Paul Clerkin avait accompagné les pêcheurs au chalut qui étaient en campagne le long de la crête de Melville dans le sud de l'océan Indien.
C'est une faille peu explorée où la profondeur avoisine les 4. 000 mètres. Les marins avaient cependant pêché près d'une tonne de requins et parmi 350 individus, l'étudiant est tombé sur huit nouvelles espèces jamais répertoriées à une profondeur de 2 000 mètres, soit autour des monts sous-marins.
Selon le directeur du MLML Pacifique Shark Research Center, la découverte de ces nouvelles espèces de requins est peut-être encore plus importante que celle du requin blanc charismatique.
Ces nouvelles espèces, les unes plus bizarres que les autres, dont un faux requin-chat de 3 mètres, ont été trouvées à un emplacement distant à une semaine de voyage en bateau à partir de la rade de Port-Louis, un isolement qui en fait une zone peu étudiée jusqu'ici.
"Les requins n'ont pas vraiment été exploré autant que nous le pensons", a déclaré Paul Clerkin.
Paul Clerkin indique qu'il a pêché au moins 35 faux requins- chats, ce qui suggère que la Melville Ridge n'a guère intéressé les scientifiques.
"Les requins demeurent encore une espèce inconnue qui possède une mauvaise réputation mais qui joue un rôle extrêmement important dans l'écosystème marin", avance-t-il.
De son côté, le Dr Ebert suggère que c'est ce manque d'informations de base sur les requins qui rend ces nouvelles espèces si important.
"Les grands requins blancs sont protégés en Amérique du Nord et dans de nombreux endroits à travers le monde, tandis que ces nouvelles espèces ne sont même pas connus et ne peuvent donc pas être protégés", explique le Dr Ebert.
Selon le scientifique, les nouvelles découvertes comme celles de Clerkin sont essentielles, par conséquent, pour empêcher les espèces de requins tels que ceux-ci de tomber sous le radar.
Pour déterminer les liens de parenté de ces nouveaux requins avec les squales existants, Paul Clerkin va procéder à des tests ADN.