Une photo récente de Shanghai prise depuis un hôtel par un touriste

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Le bâtiment que l'on peut à peine apercevoir est seulement à 400 mètres de l'hôtel.

 


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Avant que monsanto ne débouche le champagne

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Monsanto s’apprête à célébrer son plus grand tour de passe passe mais nous avons jusqu’à ce week-end pour renverser ses projets.

Le partenariat transpacifique (PTP, ou TPP en anglais) est un immense accord ultrasecret passé entre douze grands pays, qui s’apprêtent à donner aux entreprises un pouvoir inouï: celui de faire appel à de nouveaux tribunaux internationaux pour attaquer en justice les gouvernements qui adoptent des lois qui nous protègent mais réduisent leurs bénéfices! Et cela peut avoir des répercussions dans tous les domaines, de l’étiquetage des aliments contenant des OGM à la liberté sur Internet. WikiLeaks a fait fuiter les documents de travail et une vague d’opposition est en train de se soulever très rapidement, mais les pays signataires se dépêchent afin de signer d’ici 48 heures.

C’est insensé et pourtant nous avons une chance de tout arrêter. Trois pays hésitent, et s’ils se retirent immédiatement, tout pourrait s’effondrer. Inondons les dirigeants chiliens, néo-zélandais et australiens de nos appels à la résistance, et nous pourrons bloquer ce coup d’État orchestré par les grandes firmes avant que Monsanto ne débouche le champagne. Signez la pétition maintenant et envoyez-la à tous vos proches:


http://www.avaaz.org/fr/no_champagne_for_monsanto_loc/?baZfyfb&v=32175

Quand on examine les documents de travail qui ont fuité, on croit lire une immense liste au Père Noël rédigée par les grandes multinationales. L’accord prévoit que les entreprises puissent imposer leurs volontés sur nos institutions démocratiques par le biais d’un système judiciaire opaque. Ces tribunaux pourraient limiter l’accès aux médicaments génériques, moins chers, pour favoriser les médicaments de marque, et même autoriser les cigarettiers à attaquer les pays qui imposent des mesures antitabac et qui, selon eux, réduisent leurs bénéfices. C’est presque trop fou pour être vrai.  

Mais presque personne n’a entendu parler du PTP. Les négociations sont si secrètes que même nos élus ne savent pas ce qu’elles recèlent – seuls les négociateurs et 600 lobbyistes les connaissent. Les textes qui ont fuité ont choqué les responsables politiques et les citoyens du Chili, de Nouvelle-Zélande et d’Australie. Et ils tentent de lutter contre les intimidations des multinationales et contre les États-Unis, qui restent déterminés à faire adopter l’accord avant d’attirer l'attention des citoyens.  


Le PTP nous touche tous
: il bafoue nos droits et torpille nos démocraties pour protéger les profits des entreprises. Et nous n’avons que quelques jours pour l’arrêter. Ajoutez votre voix à notre appel et parlez-en tout autour de vous: 


http://www.avaaz.org/fr/no_champagne_for_monsanto_loc/?baZfyfb&v=32175

On peut facilement se sentir minuscule devant les grandes multinationales qui mènent nos pays à la baguette. Mais ce n’est pas l’argent qui détient le pouvoir, ce sont les citoyens. Notre mouvement a prouvé à de nombreuses reprises que quand nous nous rassemblons pour protéger nos droits contre la cupidité des entreprises, nous pouvons gagner. Arrêtons maintenant cette menace sans précédent contre nos institutions démocratiques.  

Avec espoir,

Alice, David, Jooyea, Alex, Aldine, Julien, Ricken et toute l’équipe d’Avaaz

PS: Nombreuses sont les campagnes Avaaz lancées par les membres! Démarrez la vôtre maintenant et remportez une victoire sur un sujet qui vous tient à coeur, qu'il soit local, national ou mondial: http://www.avaaz.org/fr/petition/start_a_petition/?cl=3655369035&v=32175

POUR EN SAVOIR PLUS : 

Quand WikiLeaks menace un traité économique (Les Echos)

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0203144680631-quand-wikileaks-menace-un-traite-economique-631946.php

Mondialisation : le grand dessein d'Obama (Le Point)
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/nicolas-baverez/mondialisation-le-grand-dessein-d-obama-05-12-2013-1764988_73.php

Le traité transatlantique, un typhon qui menace les Européens (Le Monde diplomatique)
http://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/WALLACH/49803  


Le Partenariat transpacifique, nouvel outil de l’hégémonie de Washington (Mémoire des luttes)
http://www.medelu.org/Le-Partenariat-transpacifique  

L’entente commerciale la plus préjudiciable de toute l’histoire en matière d’accès aux médicaments (MSF.ca)
http://www.msf.ca/fr/campaigns/partenariat-transpacifique/  

The Trans-Pacific Partnership treaty is the complete opposite of 'free trade' (en anglais) (The Guardian)
http://www.theguardian.com/commentisfree/2013/nov/19/trans-pacific-partnership-corporate-usurp-congress

 

 


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Les OGM responsables de l’augmentation de l’allergie au gluten

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Une  étude récente vient de démontrer que les OGM sont à l’origine de troubles intestinaux liés au gluten qui affectent 18 millions d’Américains. L’allergie alimentaire est un phénomène en pleine expansion: près de 4 % des adultes et 8 % des enfants sont condamnés à surveiller leur assiette.

 

Monsanto blé

 

 Le rapport  a été publié par l’Institute for Responsible Technology (IRT) qui a étudié des données américaines fournies par le Ministère  de l’agriculture, l’Environmental Protection Agency  ainsi que par diverses publications médicales et des résultats de la recherche internationale sur la question.

    Selon Jeffrey M. Smith, directeur exécutif de l’IRT, la sensibilité au gluten est très diverse et peut varier en gravité, allant  d’un léger inconfort à la maladie cœliaque, maladie auto-immune grave qui peut, si non diagnostiquée à temps, multiplier par quatre le taux de mortalité.

Smith affirme que dans le soja, le maïs, le coton, le colza, la betterave à sucre, la courgette, la courge jaune, la papaye hawaïenne et la luzerne, la toxine Bt (Bacillus thuringiensis), le glyphosate et d’autres composants des OGM  sont liés à cinq des conditions qui  entraînent ou aggravent les troubles liés au gluten.

Or la toxine Bt est l’élément des OGM qui tue les insectes « en perçant des trous dans leurs cellules ». Elle est présente dans chaque noyau de maïs et survit au processus de la digestion humaine. De plus, comme l’a démontré une étude l’année dernière, elle est également capable de percer des trous dans les cellules humaines.  Selon le rapport, les  OGM affectent l’organisme en cinq zones différentes : la perméabilité intestinale, le déséquilibre de la flore intestinale, l’action immunitaire et la réponse allergique, les problèmes de digestion et les dommages de la paroi intestinale.

L’IRT indique également que le glyphosate, un herbicide commercialisé sous le nom de Roundup, a aussi un impact négatif sur les bactéries intestinales. Les cultures transgéniques en contiennent des niveaux élevés pendant la récolte. «Même avec une exposition minimale, le glyphosate peut réduire considérablement la population de bactéries intestinales bénéfiques et accélérer la prolifération de souches nuisibles», dit le rapport.

Tom O’Bryan, un expert de la sensibilité au gluten et de la maladie cœliaque, estime que l’introduction des OGM « explique très probablement la hausse rapide des troubles liés gluten depuis les 17 dernières années. »

Le gluten est un mélange de protéines combiné avec de l’amidon dans l’endosperme de la plupart des céréales comme l’avoine, le blé, l’orge et le seigle ainsi que dans tous les produits dérivés contenant ces céréales : le pain, les pâtes à pizza et les pâtes alimentaires, mais attention le gluten se trouve aussi dans d’autres aliments tels que la sauce soja, le vinaigre de malt et un grand nombre d’assaisonnements, d’aliments préparés, de conserves cuisinées, de bouillons et de soupes préparées.
Le gluten se divise en deux groupes : les prolamines et les gluténines. Les protéines de la famille des prolamines sont à la source de la maladie cœliaque et de l’intolérance très pernicieuse. Même pris en petite quantité ou exceptionnellement, un aliment contenant du gluten provoque des lésions de l’intestin.

(Source : Intolérance gluten)

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Développement durable : les français veulent des maires qui s'engagent plus encore

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Les Français veulent des maires qui s'engagent...

 

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Ringard, l'environnement? Si ce thème a été le grand oublié des débats de la dernière présidentielle, ce ne sera pas le cas aux prochaines municipales. C'est du moins ce qu'il ressort d'un baromètre réalisé par OpinionWay pour le cabinet de conseil Auxilia et dévoilé en exclusivité.


Car pour près de six Français sur dix (59%), le développement durable comptera dans le choix de la liste pour laquelle ils voteront en mars prochain. C'est particulièrement vrai à gauche, où les sympathisants sont 68% à l'assurer. Et ce n'est pas faux à droite, puisque l'environnement y influencera plus d'un électeur sur deux (53%).


A noter que l'intérêt est particulièrement fort chez les jeunes: 68% des moins de 25 ans estiment que cet enjeu pèsera dans leur décision électorale. Bruno Jeanbart, directeur général adjoint d'OpinionWay, voit même dans la défense de cette thématique un outil anti-abstention: «Le développement durable peut être un levier de mobilisation important. Les jeunes ont une vision plus pragmatique et moins politicienne du vote et rien n'est plus porteur pour eux que ce sujet-là.»

En attendant, près d'un citoyen sur deux (48%) estime que son maire ne prend pas suffisamment en compte le développement durable dans son action. Un sentiment encore plus marqué dans les petites et les grandes communes, soit respectivement moins de 5.000 et plus de 100.000 habitants.


Les Français font confiance à leurs communes


Certes, les Français pensent que le développement durable est avant tout l'affaire des citoyens eux-mêmes, mais ils ne déchargent pas pour autant les pouvoirs publics de cette fonction: 62% des sondés estiment que c'est également à eux d'agir dans ce domaine, loin devant les entreprises (35%), l'Union Européenne (23%) ou les associations (6%).

 

Et si l’Etat est à leurs yeux l’acteur le plus légitime, c’est dans leur commune que les Français croient avant tout pour faire changer les choses: «56% d’entre eux lui font confiance pour mener une politique de développement durable, alors même que la défiance à l’égard des pouvoirs publics est forte», note Frédéric Vasse, directeur Recherche et Innovation chez Auxilia.


D’ailleurs, les attentes des Français vis-à-vis de leurs maires sont très diversifiées: sensibilisation des enfants au développement durable (30%), aide à la réduction de la facture énergétique (27%) ou encore développement des emplois locaux autour des filières vertes (25%). Dans les villes de plus de 50.000 habitants, les citoyens sont également très nombreux (35%) à demander à leurs élus d’agir contre la pollution atmosphérique et contre les risques naturels et industriels –contre moins de 20% dans les plus petits villages.


«La commune paraît le bon échelon pour agir, d’autant plus que le développement durable vient croiser toutes les grandes questions économiques, sociétales et urbaines», analyse  Frédéric Vasse, qui recommande également aux maires de ne pas hésiter à miser sur «l’urbanisme collaboratif: les citoyens sont prêts à s’impliquer et à collaborer avec leurs élus pour faire avancer les problématiques de développement durable», assure-t-il. 


Le baromètre a été réalisé du 23 au 30 octobre auprès d’un échantillon de 2.010 Français représentatifs, constitué selon la méthode des quotas.


20 Minutes

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Les Français croient à la croissance verte

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Un baromètre démontre qu'ils ne veulent pas sacrifier l'environnement sur l'autel de la croissance...

 

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La fin ne justifie pas les moyens. Si la crise a relégué les problématiques vertes au second plan, les Français n'encouragent pas cette tendance. Bien au contraire: pour 57% d'entre eux, la préservation de l'environnement doit être la priorité absolue, même si la croissance économique risque d'en pâtir. Seuls 42% des sondés défendent la croissance à tout prix. C'est ce que révèle un baromètre réalisé par OpinionWay pour le cabinet de conseil en développement durable Auxilia et dévoilé en exclusivité par 20 Minutes.


Il y a quelques semaines pourtant, les Français défendaient majoritairement l'abandon de l'écotaxe, issue du Grenelle de l'environnement de 2009. Et justement à cause du risque sur l'économie et l'emploi… Alors, comment analyser ces retournements? «Il y a toujours des paradoxes et des contradictions dans l'opinion», répond Bruno Jeanbart, directeur général adjoint d'OpinionWay.


«La crise a fait reculer la priorité environnementale, mais elle ne l'a pas fait disparaître pour autant. Et ce qui se confirme depuis 2008, c'est la nécessité, d'après les citoyens, de changer de modèle… en prenant davantage en compte l'environnement.»


«Une perspective viable aux yeux de populations plus impactées par la crise»


D'autant plus que peu de Français associent le développement durable à de nouveaux coûts: seuls 29% des sondés pensent que la mise en place d'une telle politique induit forcément des dépenses plus élevées. La majorité d'entre eux (70%) pense rigoureusement l'inverse. Et voit même dans le développement durable un facteur d'innovation. Ce constat est d'ailleurs partagé par l'ensemble des catégories sociales, même si les diplômés du supérieur y sont encore plus sensibles que la moyenne.

 

Et ça ne surprend pas Frédéric Vasse, directeur Recherche et Innovation chez Auxilia: «Les Français, y compris parmi les classes sociales les plus défavorisées, envisagent aujourd’hui le développement durable comme une réponse aux crises, environnementale bien sûr, mais aussi sociale et économique, et c’est la nouveauté.»


Pour l’expert, «si les classes moyennes et supérieures ont joué un rôle central dans l’émergence de la problématique environnementale, le développement durable apparaît aujourd’hui comme une perspective viable aux yeux de populations plus impactées par la crise». Et cela commence d’ailleurs, avance Frédéric Vasse, par le succès grandissant de la consommation collaborative (covoiturage, colocation, revente d’objets, etc.), qui séduit désormais près d’un Français sur deux. 

 

Le baromètre a été réalisé du 23 au 30 octobre auprès d’un échantillon de 2.010 Français représentatifs, constitué selon la méthode des quotas.

 

 


Publié dans Les bonnes nouvelles

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