Séralini prié de retirer son article sur un maïs OGM. Il refuse.

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La revue Food and chemical toxicology veut retirer l’article du Pr Séralini sur les rats nourris au maïs OGM NK603 paru en septembre 2012. Le chercheur contre-attaque : pourquoi ne pas rétracter aussi l'article de Monsanto de 2004 sur le même sujet ?

 Il a battu le rappel de ses soutiens scientifiques et politiques… Tout un symbole. C’est entouré notamment de Paul Deheuvels, statisticien de l'Académie des sciences et de Corinne Lepage, députée du Parlement européen que ce 28 novembre, lors d'une conférence de presse à Bruxelles, le professeur Gilles Eric Séralini, de l’université de Caen défendra un article retentissant sur un OGM publié l’an dernier et menacé aujourd’hui de rétractation.

Suivez en direct de Bruxelles la conférence de presse de Gilles-Eric Séralini qui commence à 10h30

Il y suggérait que les rats nourris une vie entière au maïs OGM NK603, tolérant à l’herbicide Roundup et fabriqué par la firme américaine Monsanto, développaient plus de pathologies et tumeurs (lire S. et A. n°789 et 791 - voir aussi article en ligne). La médiatisation du papier en septembre 2012 avait provoqué l’émoi du public et des politiques, une polémique dans la communauté scientifique ainsi qu’un questionnement critique sur les procédures d’évaluation des plantes génétiquement modifiées actuellement en vigueur (À venir : notre article "ce que « l’affaire Séralini » a changé").

Pas de fraude, ni de manipulations des données

Il y a quelques jours, l’éditeur en chef de la revue Food and Chemical Toxicology (Groupe Elsevier) qui avait initialement publié l’article, a prié le professeur Séralini de bien vouloir le rétracter, c’est-à-dire de le retirer lui-même.

Motif ? « Les résultats présentés sont peu concluants et n’atteignent donc pas le seuil de la publication » et « il y a une raison légitime d’inquiétude concernant à la fois le nombre d’animaux testés dans chaque groupe et la souche particulière (de rats, NDLR) sélectionnée » explique t-il dans une lettre au chercheur de l’université de Caen auquel Sciences et Avenir a pu avoir accès.

"MÉRITE". L’éditeur de FCT y admet que « le problème du faible nombre d’animaux avait été identifié lors de du processus initial d’examen du papier par le comité de lecture» mais qu'il avait été décidé finalement de le publier parce que ce travail « gardait du mérite malgré ses limites ». Il semblerait donc que la politique éditoriale de la revue ait changé.

Louant « la bonne volonté, l’ouverture » de Gilles Eric Séralini qui a fourni ses données brutes pour répondre aux critiques soulevées par son article, l’éditeur souligne enfin, qu’après les avoir rigoureusement et longuement étudiées, les relecteurs n’ont détecté « aucune fraude, ni manipulations de données ».

Refus d’obtempérer et contre-attaque

Le professeur Séralini refuse aujourd’hui de rétracter son article. Il argue comme depuis des mois que la souche de rats incriminée (les Sprague-Dawley) est utilisée en routine aux États-Unis - y compris parfois par Monsanto- pour étudier la carcinogénèse et la toxicité chronique des produits chimiques. Il rappelle qu’il a mené une étude inédite sur des rats nourris une vie entière avec ce maïs OGM et que s’il n’a utilisé que dix rats par groupe, il a en revanche multiplié les mesures sur ces animaux.

« La perturbation des hormones sexuelles et d’autres paramètres sont suffisants dans notre cas pour interpréter un effet sérieux après une année » proteste t-il, demandant que l’on prenne en compte « la chronologie et le nombre des tumeurs par animaux ».


DOUBLE STANDARD ? Autant de signes qui devraient être considérés dans une réelle étude de risques, selon lui. Par ailleurs, le chercheur pointe un papier de Monsanto de 2004, publié dans la même revue FCT et jamais rétracté, concluant à l’innocuité du maïs NK 603 après avoir mesuré ses effets sur dix rats Sprague-Dawley seulement pendant trois mois. Et de s’interroger : y aurait-il un double standard d’évaluation en vigueur ?

« Seules les études pointant un effet adverse des OGM sont passées au crible d’une évaluation rigoureuse sur leurs méthodes expérimentales et statistiques, accuse t-il. Tandis que celles qui affirment leur innocuité sont prises pour argent comptant ».

Dernier pavé dans la mare : le biologiste s’apprêterait à contester la façon dont sont actuellement menées les analyses statistiques sur les rats testés, car elles seraient faussées par les données historiques. Selon une étude qu’il aurait mené avec son équipe, tous les cobayes de laboratoires ont toujours été exposés dans leur cage et via leur nourriture à des polluants (pesticides, mercure, cadmium, perturbateurs endocriniens) puis possiblement des OGM de sorte qu’il était alors impossible de distinguer les tumeurs spontanées, naturelles, des tumeurs induites par ces substances, et ce quel que soit le nombre de rats testés…


SOUFFLER SUR LES BRAISES. Conduire des tests sur de grosses cohortes de 50 rats par groupe, par exemple, serait dès lors inutile. Bref, l’ultime défense consiste à jeter le doute sur la pertinence de nombres de travaux menés jusqu’à présent. Cette affirmation –qui demanderait à être sérieusement étayée- provoquera sans nul doute une vague de protestation. Les éditeurs de la revue Food and chemical toxicology espéraient peut-être éteindre la controverse, il se pourrait qu’ils aient au contraire soufflé sur les braises.

 

Publié dans OGM j'en veux pas!

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Selon l’ex PDG de Nestlé, l’accès à l’eau ne devrait pas être un droit, les aliments bio vont nous tuer, et la Nature est naze

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Peter Brabeck, l’ancien PDG de Nestlé a été enregistré dans une vidéo au début du mois alors qu’il tape assez rudement sur les aliments bio, l’équilibre de l’Homme et de la Nature, et le droit d’une personne à avoir accès à l’eau.

 

 

 

 

« Un bon exemple est le mouvement bio. Le bio est ce qu’il y aurait de mieux maintenant. Mais le bio n’est pas le meilleur.

Après 15 ans de consommation de produits génétiquement modifiés aux Etats-Unis, pas un seul cas de maladie n’a été déclarée jusqu’à présent pour en avoir mangé. Et malgré cela, nous sommes tous si inquiets à ce sujet en Europe à propos de ce qui pourrait nous arriver. »

Le PDG de Nestlé poursuit son attaque contre les produits naturels en affirmant que la Nature est là pour nous tuer et finira par nous nuire:

« Aujourd’hui les gens croient que tout ce qui provient de la Nature est bon. Cela représente un changement énorme car jusqu’à récemment nous avons toujours appris que la nature pouvait être impitoyable. L’homme est maintenant en position de fournir un équilibre à la nature. Mais en dépit de cela, nous préjugeons que tout ce qui provient de la nature est bon. »

La déclaration la plus troublante et absurde de Peter Brabeck, cependant, porte sur les réserves d’eau dans le monde. Le PDG de Nestlé déclare:

« L’eau est bien sûr la ressource de base le plus important que nous avons dans le Monde aujourd’hui. On peut se poser la question de savoir  si nous devrions privatiser l’approvisionnement normal de l’eau pour la population.

Il y a deux opinions différentes à ce sujet. La première opinion, qui est je pense extrême, est représentée par les ONG, qui stipulent que l’eau est un droit public. Cela veut dire qu’en tant qu’être humain vous devriez avoir accès à l’eau. C’est une solution extrême. Et l’autre opinion dit que l’eau est un aliment comme n’importe quel autre. Et comme n’importe quel produit alimentaire, elle devrait pouvoir être sur le marché. Personnellement je pense que c’est mieux de donner à toute denrée alimentaire une valeur marchande… »

 

 



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Un viticulteur poursuivi pour avoir refusé de traiter ses vignes

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Un arrêté préfectoral pris en juin impose à tous les viticulteurs de la Côte d’Or l’usage d’un insecticide. Ce que se refuse à faire un producteur de vin biodynamique.

 

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Un viticulteur de Côte-d’Or est convoqué prochainement devant la justice pour avoir refusé de traiter ses vignes contre la flavescence dorée, a-t-on appris lundi auprès de l’intéressé. En juin, un arrêté préfectoral avait imposé le traitement de «l’ensemble des vignobles de la Côte d’Or» au moyen «d’une application unique d’un insecticide» contre la cicadelle, insecte vecteur de la flavescence dorée, une maladie de la vigne présente notamment dans le nord Mâconnais, en Saône-et-Loire.

«Je me suis refusé à faire ce traitement», a dit Emmanuel Giboulot, qui exploite dix hectares de vignes en biodynamie sur la Côte de Beaune et la Haute-Côte de Nuits, confirmant une information du site bastamag.net. «On sait que le traitement systématique ne règle pas le problème», a-t-il poursuivi. «Même les insecticides naturels ne sont pas inoffensifs car ils ne sont pas sélectifs et on détruit toute la faune auxiliaire. Or, notre approche en biodynamie, que l’on applique sur nos vignes depuis les années 1970, est de travailler sur les équilibres biologiques».

Après un contrôle en juillet de la direction régionale de l’Agriculture, Emmanuel Giboulot a fait l’objet d’une convocation devant le délégué du procureur de la République du tribunal d’instance de Beaune pour une composition pénale. Prévue le 12 novembre, sa comparution a été reportée à une date, qui n’a pas encore été fixée.

Dans cette convocation, que l’AFP a pu consulter, il est reproché au viticulteur un «refus d’effectuer les mesures de protection des végétaux contre les organismes nuisibles en l’espèce en refusant de traiter contre la flavescence dorée». Il encourt jusqu’à six mois d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. «On a l’impression qu’on veut faire un exemple et qu’on manque de recul et de discernement sur les choses», a dit Emmanuel Giboulot.

 

 


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Climat : ils sont 90 responsables de 2/3 des émissions de gaz à effet de serre

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L’écran de fumée se dissipe enfin autour de la responsabilité des changements climatiques.

Une étude, publiée par la revue scientifique Climatic Change, identifie pour la première fois les 90 entités (entreprises, états), responsables des deux-tiers des émissions de gaz à effet de serre qui se sont accumulées dans l’atmosphère depuis le début de la révolution industrielle jusqu’à nos jours.
Le principal enseignement ? La crise climatique que nous traversons a été principalement causée par les producteurs de pétrole, de gaz et de charbon, qui représentent pas moins de 83 entités sur les 90 pointées du doigt, les restantes étant productrices de ciment.

 

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Des preuves !

Il a fallu pas moins de huit ans à Richard Heede, chercheur indépendant et auteur de cette étude, pour rassembler les données disponibles et pour procéder à l’évaluation des émissions des producteurs de carbone entre 1854 et 2010.
Résultat : 90 entités ont émis 63 % des émissions industrielles de CO2 et de méthane qui se sont accumulées dans l’atmosphère depuis la révolution industrielle.

Ces “gros émetteurs” se répartissent de la façon suivante : 50 entreprises privées, 31 entreprises publiques et neuf États (actuels ou dissous) dotés d’un système d’économie planifiée.

Parmi les entreprises privées, les cinq premières : Chevron, ExxonMobil, BP, Shell et ConocoPhillips, représentent à elles seules 12,5 % des émissions. Toutes catégories confondues, le géant russe Gazprom se classe 5ème tandis que la compagnie néerlandaise Shell, son partenaire dans l’exploration pétrolière de l’Arctique, arrive en 6ème position.

Les entreprises françaises ne sont pas en reste : Total arrive au 7ème rang des plus gros pollueurs du secteur privé. Du côté des cimentiers, c’est le groupe Lafarge qui arrive en tête.

Le quotidien britannique The Guardian a répertorié ces 90 entités sur une infographie interactive :http://www.theguardian.com/environment/interactive/2013/nov/20/which-fossil-fuel-companies-responsible-climate-change-interactive

 
Une réunion internationale sur le climat noyautée par ces mêmes groupes !

Cette étude nous apprend également que la moitié des émissions de ces 90 “gros émetteurs” ont été rejetées depuis 1986, ce qui montre à quel point l’utilisation des combustibles fossiles s’est accélérée ces trois dernières décennies.
Et pourtant : au moment où Varsovie accueillait la Conférence mondiale des Nations unies sur les changements climatiques, s’y tenait également un Sommet mondial sur le charbon. Terriblement cynique : alors que la COP s’attache à trouver des solutions diplomatiques aux bouleversements climatiques, la Pologne organise un sommet sur l’énergie fossile la plus abondante et la plus sale qui soit. (lire notre article : Pologne : climat, charbon… et hésitations)

De plus, les ONG ont dénoncé le lobbying intensif de ces entreprises à la conférence, qui s’affichaient largement, fournissant matériels, documents et autres affiches ! Le 11 novembre, 140 de ces ONG publiaient ainsi une lettre accusant les entreprises de noyauter la conférence par leur greenwashing omniprésent.

Les pirates du climat

Cette étude pointe ainsi les pirates du climat qui s’enrichissent aux dépens d’autrui : en effet, les émissions astronomiques de ces entreprises n’ont d’équivalent que leurs profits (voir le tableau).

Et pourtant : aujourd’hui, ce sont 30 Défenseurs de l’Arctique et du climat qui sont accusés de “piraterie” par Gazprom et l’état Russe et qui risquent d’être condamnés à passer plusieurs dizaines d’années en prison. Leur “crime” ? Avoir tenté d’agir pour dénoncer les projets fous des pétroliers et mettre en lumière les menaces qui pèsent sur l’Arctique et le climat.

Ces responsables de la concentration actuelle en carbone de l’atmosphère doivent désormais être amenés à rendre des comptes sur les impacts du bouleversement climatique.

Tant qu’ils n’abandonneront pas leur projet fou d’aller chercher le dernier gramme d’énergie fossile, et tant que les gouvernements refuseront d’intervenir, comme à la COP de Varsovie, nous n’aurons d’autres choix que de nous interposer pour défendre le climat.

 

 


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L’argent Colloïdal un antibiotique universel interdit

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L’Argent est un puissant prophylactique et antibiotique naturel. Ses divers usages, de façon générale à titre d’antimicrobien bénéficient d’une longue antériorité historique et sont rapportés dans les pratiques de nombreuses peuplades. La nanoparticule d’argent, elle, n’est pas une création de l’homme mais un oligo-élément absolument naturel. L’argent colloïdal est actif contre plus de 650 sortes de bactéries, germes, virus, fungi ou parasites. Il est propre à la consommation chez l’homme, l’animal et les plantes.
L’antibiotique d’avant… les antibiotiques.

 

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L’argent colloïdal fut utilisé par les médecins de manière intensive pendant près d’un demi-siècle jusqu’au début des années 40. Tombé dans les oubliettes de l’histoire après l’invention des antibiotiques de synthèse, il fait un retour en force depuis que ces derniers semblent en passe de perdre la guerre contre l’infection.

Son action «magique» s’accompagne de solides preuves scientifiques, si bien que des médecins ont pu déclarer :
«L’argent est notre meilleure arme contre les microbes» – Dr Harry Margraf, (Washington University, St Louis).
«L’argent tue même les souches résistances aux antibiotiques et stimule la cicatrisation de la peau.»- Dr Robert Becker, (Syracuse University, New York).
La majorité des antibiotiques, sur prescription médicale, ne tue qu’une partie des agents causant des maladies, alors que l’argent colloïdal est efficace contre environ 650 maladies (travaux du Dr. Henri Crooks).
Les utilisations médicales de l’argent dans l’histoire

Les propriétés germicides et bactéricides de l’Argent-métal sont connues depuis l’Antiquité. Grecs, Perses et Romains l’utilisaient dans la vie domestique couramment. Ils employaient des récipients en argent pour stocker divers liquides (eau, vin, etc.) destinés aux souverains et à l’aristocratie. Ces liquides conservaient ainsi leur fraîcheur et leurs qualités plus longtemps que dans d’autres récipients.

L’argent servait aussi à fabriquer des ustensiles de table et de cuisine, une tradition qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Pourquoi ne pas avoir choisi un autre métal, moins onéreux : nos ancêtres avaient compris qu’ingérer ainsi régulièrement d’infimes particules d’argent contribuait à renforcer l’immunité vis-à-vis de certaines maladies.

Bien sûr cette pratique n’était fondée que sur des connaissances empiriques :

C’est certainement la tradition du thé britannique, de l’eau bouillie servie dans des théières d’argent, qui a permis à la Grande Bretagne de survivre aux terribles miasmes de ses colonies, tant en Inde, qu’à Hong Kong et partout ailleurs.

Il était courant de placer des pièces d’argent au fond des récipients contenant du lait ou des aliments pour en préserver la fraîcheur, une méthode adoptée au 19ème siècle par les pionniers américains.

Très récemment encore, dans la deuxième partie du 20ème siècle, lorsque les pharmaciens préparaient des potions ou des onguents dans les arrière-boutiques, ils mettaient au fond du pot une feuille d’argent.
Albert Schweitzer, la Nasa ou les hôpitaux américains sont-ils des empoisonneurs ?

Le bien fondé de ces pratiques populaires a été démontré par les recherches modernes. On a pu déterminer que l’Argent métallique se dissout dans l’eau à un taux d’environ 10 parties par milliard, soit 10 microgrammes par litre, et que cette dose pourtant extrêmement faible (0,01 ppm) tue les colibacilles et les salmonelles. C’est le principe même de l’Argent Colloïdal.

En 1928, renouant avec la tradition, GA. Krause eut l’idée de placer un revêtement d’argent dans les systèmes de filtration à usage domestique.
En 1929, le Dr Albert Schweitzer, rapporta que tous les pathogènes se trouvaient éliminés quand l’eau était traitée avec des particules d’argent porteuses d’une charge électrique. Le terme argent colloïdal n’était pas encore en usage. Il démontra également que ce traitement n’était pas nocif vis à vis des micro-organismes bénéfiques.
Aujourd’hui, les meilleurs filtres à eau emploient l’argent pour éviter la contamination des bougies filtrantes et de nombreuses compagnies aériennes utilisent ce filtre à bord de leurs avions.
La NASA a choisi un système de traitement de l’eau à base de colloïdes d’argent pour ses navettes spatiales. Les Russes utilisent également l’argent colloïdal pour stériliser l’eau à bord des navettes spatiales.
Aux Etats Unis, certaines villes ont choisi l’argent pour le traitement des eaux usées et des piscines. Au Nébraska, on a démontré l’efficacité de l’argent colloïdal en décontaminant un bassin volontairement pollué par le colibacille. Passant dans des filtres équipés d’électrodes d’Argent, cette eau a été totalement purifiée en l’espace de 3 heures.


Des études ont révélé que les réseaux internes de distribution d’eau dans les hôpitaux étaient les principaux responsables de la « maladie du légionnaire », une espèce de pneumonie, acquise à l’hôpital. La plupart des grands hôpitaux américains ont installé des systèmes d’ionisation argent/cuivre, qui ont permis d’éradiquer la « legionella pneumophilia » de leurs réseaux d’eau chaude. Ces systèmes sont bien sûr parfaitement homologués par les autorités concernées.
L’argent colloïdal, alternative aux antibiotiques

L’argent dans son application antibiotique et désinfectante a été délaissé suite à la mode des antibiotiques. Mais l’utilisation systématique de ces antibiotiques a entraîné l’apparition de nouvelles souches de bactéries résistantes.

Faut-il rappeler que :

    Des souches de staphylocoques dorés résistants à la méthicilline et à d’autres antibiotiques sont endémiques dans les hôpitaux.
    On constate l’apparition d’entérocoques résistant à la vancomycine ; ces bactéries infectent les blessures, les voies urinaires et d’autres sites.
    Actuellement, environ 30 % des isolats de streptocoques pneumoniques sont résistants à la pénicilline, le médicament essentiellement utilisé pour traiter cette infection.
    Plus de 30 % des isolats de blennorragie sont résistants à la pénicilline ou à latétracycline, ou aux deux.


    La résistance à la chloroquine (médicament employé dans le traitement du paludisme) est apparue dans la plupart des régions du monde.
    Des souches de bacilles tuberculeux résistantes à un grand nombre de médicaments sont apparues au cours de la décennie écoulée.
    Dans les pays en développement où apparaissent des souches résistantes de bactéries extrêmement pathogènes, comme Shigella dysenteria, Campylobacter, E coli. Dernièrement, Salmonella typhimurium, résistant à l’ampicilline, à la streptomycine, à la tétracycline, au sulfa et au chloramphénicol, a provoqué des maladies en Europe, au Canada et aux États-Unis.
    Des études récentes ont rapporté la résistance d’espèces Candida au fluconazole, un médicament largement employé pour traiter les maladies fongiques systémiques.
    Grâce à son effet naturel antimicrobien, l’argent doit reprendre aujourd’hui la place qui lui revient.

C’est sous forme colloïdale que l’argent s’avère le plus efficace, le mieux assimilable et sans toxicité.

Les colloïdes sont ces particules extrêmement fines* qui ne se déposent pas dans les tissus et restent en suspension pour une disponibilité immédiate aux cellules. Les liquides circulants les plus importants (sang et lymphe) sont eux-mêmes de nature colloïdale. Une observation a montré que des microorganismes pathogènes qui s’étaient immunisés contre les antibiotiques, s’engourdissent après l’administration d’argent colloïdal.

L’élaboration de solutions colloïdales relève de l’emploi d’une haute technologie, et est contrôlée par la microscopie électronique, la méthode GDMS (Glow Density Mass Spectrometry), ainsi que l’absorption atomique. Ces solutions ne doivent présenter aucun trouble. Les particules doivent être invisibles et aucun dépôt ne doit apparaître. La charge électrique négative des particules fait que ces particules restent en suspension dans l’eau et ne nécessitent pas de stabilisateurs, pas de protéines et pas de conservateurs.
Une fois dans l’organisme, ces particules sont attirées d’une façon électromagnétique par les zones malades, traversent les membranes cellulaires et agissent comme catalyseurs en inhibant les enzymes destructrices.

* L’argent colloïdal est une solution de particules d’argent dont la finesse est entre 1 et 9 nm (nanomètre) de diamètre (1.000 nm = 1 micron), dans une eau distillée reconduite à une résistivité proche de 25 mS (micro Siemens).
Comment l’argent agit-il ?

En référence aux communications scientifiques médicales, l’argent colloïdal peut se rapprocher de l’action d’un antibiotique à large spectre. Sa présence initie une enzyme, laquelle agit localement envers chaque bactérie, chaque unicellulaire, chaque champignon et chaque virus par modification de leur équilibre acido-basique, et y installe une résistance externe. Par là, ces organismes deviennent inactivés dans un temps de contact d’environ 6 minutes, parfois moins. Ils régressent dans leur cyclogénie, puis meurent. Cela a été vérifié par le laboratoire de UCLA (Université d’Etat de Californie) et par les travaux du Dr. Robert O’Becker, Centre Médical Universitaire de Syracuse (NY, USA).

Les microbes polymorphes, ainsi que les mutants, sont également sensibles à ce colloïde. La majorité des antibiotiques, sur prescription médicale, ne tue qu’une partie des agents causant des maladies, alors que l’argent colloïdal est efficace contre environ 650 maladies (travaux du Dr. Henri Crooks).
Et sur quelles maladies agit-il ?

La liste des maladies pouvant être traitées avec l’argent colloïdal est tellement longue… que je préfère la résumer pour ne pas vous lasser.

En gros, l’argent colloïdal permet de traiter toutes les inflammations (affections qui se terminent en « ite »), les problèmes de peau, les plaies, les mycoses de tous types, toutes les infections bactériennes ou microbiennes, c’est enfin un étonnant remède préventif contre toutes les pathologies de l’hiver.


Comment utiliser l’argent colloïdal ?

En usage externe

Appliquer directement sur les plaies ou abrasions de la peau, contre l’eczémas, brûlures, piqûres de moustiques l’acné, les verrues, les mycoses et les plaies ouvertes
En vaporisations, pour le nez et la gorge.
En inhalations, pour les problèmes pulmonaires.
En lavements intestinaux ou vaginaux : ajouter 2 cuillères à café dans l’eau de lavement.
En gargarismes dans les maladies septiques de la bouche (pyorrhées, amygdalites, aphtes), et contre toutes les inflammations de la cavité buccale.
Yeux : 1 goutte dans chaque œil, plusieurs fois par jour contre les états inflammatoires et irritatifs (conjonctivites). Les lentilles de contact ne sont pas un obstacle.
Oreilles : quelques gouttes dans les oreilles.
Sinus infectés : vaporisation ou gouttes dans le nez.
Purifier l’eau de boisson : mettre 1 cuillère à café d’argent colloïdal par litre d’eau et attendre 10mn avant de la boire.
Animaux : quelques gouttes sur les zones atteintes (parasites).
Plantes : en vaporisation pour combattre les attaques de bactéries, virus et champignons, et à ajouter en plus à l’eau d’arrosage (1 cuillère à soupe pour 250 ml d’eau).

En usage interne

Il faut rappeler ici que l’emploi de l’argent colloïdal en usage interne est interdit en France.

En efet, faute de données suffisantes sur cet apport minéral, l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) n’a pu se prononcer sur ce type de complément et cette forme d’apport n’a donc pas été reprise dans les annexes du règlement (CE) 1170/2009. Dès lors, les compléments alimentaires en contenant ne peuvent plus être commercialisés sur le territoire de l’Union Européenne.

Toutefois, l’argent colloïdal a été médicalement testé avec succès aux USA. D’après la très sévère FDA ( Food and Drug Administration), l’argent colloïdal peut être commercialisé et utilisé pour combattre des micro-organismes. Des millions de personnes à travers le monde se soignent avec l’argent colloïdal et témoignent des bienfaits de ce produit.
Bien que commercialisé sous forme de produit cosmétique, rien n’empêche les citoyens de consommer l’argent colloïdal comme ils l’entendent. Et s’ils voulaient le faire par voie interne, malgré l’interdicion, il faudrait alors respecter cette posologie :

Adultes : 1 cuillère à soupe (1 cuillère = 5ml) 3 à 4 fois par jour, garder quelques minutes en bouche avant d’avaler.
Enfants : 1⁄2 cuillère à café à 1 cuil à café selon l’âge, 3 à 4 fois par jour.
Comment choisir son argent colloïdal ?

La littérature médicale s’est concentrée sur des concentrations d’argent colloïdal de l’ordre de 5 mg/l avec lequel aucun effet indésirable n’a été relaté à ce jour. Aucune intolérance en liaison avec un traitement médical n’a été observée.
La cure peut être prise conjointement à un traitement antibiotique ou anti-inflammatoire.
Comme l’argent colloïdal ne s’accumule pas dans l’organisme, aucun dépôt n’est formé sous la peau et les téguments ne laissent apparaître aucune trace grisâtre.

La plupart des fabricants proposent différentes formes de concentration. En général, elles varient de 6 mg/l à 30 mg/l. La concentration la plus faible semble parfaitement convenir aux problèmes de peau. Mais la plupart des thérapeutes prescrivent une concentration à 15 mg/l et il est préférable d’éviter les concentrations supérieures à 30 mg/l .

Un argent colloïdal de qualité se reconnaît à sa couleur ou à son absence de couleur : la solution peut être très légèrement dorée, mais pas brune. Cette solution insipide et inodore peut être employée chez la femme enceinte ou allaitante.

Lorsque vous goûtez le produit obtenu, il doit avoir un léger goût métallique.

Pour une bonne conservation de plusieurs mois, il convient de mettre les flacons à l’abri de la lumière et de conserver la solution dans une bouteille en verre.
Efficace aussi pour vous débarrasser du mercure

Il est bien connu que l’argent et le mercure ont une grande affinité ; d’ailleurs, les amalgames dentaires classiques (plombages) sont composés d’alliages contenant entre autres du mercure et de l’argent. Or, l’on a pu constater récemment que cette affinité crée un tropisme réciproque au niveau cellulaire; ce qui fait que l’argent sous forme colloïdale se comporte comme un excellent chélateur du mercure.
La preuve est que l’on retrouve du mercure dans les urines des personnes mercurisées qui prennent cet argent colloïdal. Voila donc en plus des multiples applications connues surtout anti-infectieuses de l’argent colloïdal, un volet inattendu bien utile pour beaucoup d’entre nous.
Utilisations médicales
Les colloïdes d’argent peuvent être introduits dans le corps de diverses manières : ingestion, gargarismes, inhalation ou nébulisation, application locale. Certains thérapeuthes préconisent également les utiliser en lavements et douches vaginales.

Ingestion
L’argent colloïdal se prend en général à jeun ou en dehors des repas. Toutefois si on le prend pendant un repas, il favorisera la digestion en prévenant les mauvaises fermentations. Si on conserve la solution quelques minutes dans la bouche (absorbtion sublinguale), l’argent colloidal passe plus rapidement dans le sang.

Gargarisme
L’argent colloïdal peut se prendre en long gargarisme en cas de début d’angine. Si le mal perdurait, consultez votre médecin traitant.

Bains de bouche
L’Argent colloïdal peut être utilisé en bains de bouche, pour guérir des aphtes et autres lésions de la muqueuse buchale ou de la langue, mais également comme antiseptique pour lutter contre les bactéries liées à la plaque dentaire.

Inhalation et nébulisation
Un nébulisateur permet d’inhaler un fin brouillard d’argent colloïdal ; ces minuscules gouttelettes atteignent les alvéoles pulmonaires où elles inhiberont par contact les organismes pathogènes qui infectent les poumons.

Application locale
L’argent colloïdal exerce une action anti-inflammatoire et immuno-suppressive. Il est très efficace sur les brûlures et les dermatites résultat d’un contact avec des substances vénéneuses, comme la sève de certaines plantes et les sécrétions de certains insectes (abeilles, araignées, fourmis).

Pansements
Quand une bande de gaze est imprégnée d’argent colloïdal et séchée à l’air, les particules d’argent sont absorbées dans les fibres absorbantes du pansement. Les fibres non absorbantes se revêtent d’une fine pellicule d’argent métallique. De tels pansements combattront l’infection et accélèreront la cicatrisation (brûlures, écorchures, coupures). Les pansements peuvent aussi être appliqués humides. Ceci permettra de tuer les bactéries d’une plaie ouverte et évitera l’infection.


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Effets indésirables

L’Argyrisme est l’effet indésirable le plus souvent cité quand ont parle de traitement a base d’argent mais aucune preuve ou témoignage n’ont été répertoriés avec un argent électro-colloïdal bien préparé. En effet, les quelques cas connus sont la conséquence d’utilisation de sels d’argent en trop grande quantité, et non d’argent colloïdal. De plus, ce sel d’argent est souvent réalisé avec des appareils domestiques bricolés, et l’eau utilisée est également de mauvaise qualité. Les utilisateurs d’argent électro colloïdal pur ne sont donc pas concernés. Voici d’ailleurs ce que dit Alexander Schauss à propos de l’argyrie : La quantité d’argent estimée pour déclencher l’argyrie est de 3,8 g par jour (soit la quantité contenue dans 380 litres d’une solution d’argent colloïdal à 10 ppm !).

Étude détaillée de l’Argyrie

Tout d’abord, il faut savoir qu’il a été démontré que l’argent colloïdal ou plutôt sous forme életrocolloïdale est tellement fin qu’il ne s’accumule pas et s’élimine rapidement des organismes, (entre 2 et 6 heures selon les avis).

Il faut également retenir que 1PPM représente 1 milligramme d’argent contenu dans 1 litre d’eau (1000 ml) (1.000.000 mg). 1 milligramme (mg) = 0,000 001 kg . Soit  1 ppm = 1mg = 0,0001g  par litre. La dose absorbée pour 1L de solution à 15 ppm représente donc 0,0015g.

Une fois cela dit nous pouvons mieux comprendre les faits suivants :
Les effets néfastes chez l’homme dû à l’ingestion  d’argent est une maladie appelée «argyrie», pathologie bénigne mais permanente, qui se traduit par une coloration gris-bleue de la peau. L’argyrie est le résultat du dépôt de l’argent dans le derme et aussi de la production induite par l’argent de la mélanine.

Bien que l’argent a été démontré de façon uniforme déposé dans les zones exposées et non exposées, l’augmentation de la pigmentation devient plus prononcée dans les zones exposées au soleil en raison de la réduction photoactive du métal.

Bien que le dépôt d’argent est permanent, il n’est pas associé à des effets néfastes sur la santé.

Aucune pathologie ou réaction inflammatoire n’a été rapportée à la suite d’un dépôt d’argent.
Les composés d’argent ont été utilisés à des fins médicales depuis des siècles.

Il est largement considéré que, pendant le Moyen Age, la classe supérieure utilisait des ustensiles en argent et des gobelets en argent. Cela auraient contribué à une teinte bleuâtre de la peau, d’où l’expression «sang-bleu». De même, l’expression «être né avec une cuillère en argent dans la bouche» a été inventée à cette époque pour la même raison, comme un attribut pour décrire le bonheur d’être en bonne santé plus que d’être riche. Les sang-bleu furent beaucoup moinstouchés par les fléaux pandémiques qui touchèrent l’Europe durant cette période.

Au dix-neuvième et début du XXe siècle, l’arsphénamine d’argent a été utilisé dans le traitement de la syphilis et, plus récemment, il a été utilisé comme astringent dans les préparations topiques.

Alors que les cas d’argyrie ont été observés le plus souvent  avant l’apparition des antibiotiques, ils sont, à l’heure actuel, très rares. Greene et Su (1987) ont publié un avis d’argyrie.

Gaule et Staud (1935) ont signalé  70 cas d’argyrie généralisée dû à l’argent et de médicaments biologiques, y compris 13 cas d’argyrie généralisée après l’injection d’argent par voie intraveineuse et un traitement arsphénamine, une analyse biospectrometrique de 10 cas d’argyrie généralisée classés en fonction de la quantité d’argent.

Dans l’étude IV, les données ont été présentées pour dix hommes (23-64 ans) et deux femmes (23 et 49 ans) à qui on a administré 31-100 injections  d’arsphénamine argent (la dose totale été de 4-20 g) au cours d’une période de 9,75 années.

L’argyrie est apparue après une dose totale de 4, 7 ou 8 g chez certains patients, alors que chez d’autres, l’argyrie ne s’est développée qu’après une dose totale de 10, 15 ou 20 g.

Dans l’analyse biospectrometrique des biopsies cutanées de 10 cas d’argyrie généralisée, les auteurs ont confirmé que le degré de la coloration est directement tributaire de la quantité d’argent. Les auteurs ont conclu que l’argyrie peut devenir cliniquement apparente après une dose totale cumulée d’environ 8 g d’arsphénamine argent.

La pharmacologie de l’argent a la même conclusion. La dose d’accumulation totale de 8 g d’arsphénamine argent est la limite au-delà de laquelle peut se développer  l’argyrie (Hill et Pillsbury, 1939). Mais, puisque le corps accumule l’argent tout au long de la vie, il est théoriquement possible que des doses inférieures (par exemple, 4g d’argent arsphénamine ) causent l’argyrie.

Par conséquent, selon les cas présentés dans cette étude, la dose la plus faible entraînant l’argyrie chez un patient est de 1 g d’argent métallique (4g arsphénamine argent g x 0,23, la fraction de l’argent dans arsphénamine d’argent) ce qui est considéré comme un niveau minimal.

Les Drs Blumberg et Carey (1934) ont rapporté que l’argyrie est une maladie chronique (parfois sur plus de 15 ans). Ils ont observé l’argyrie chez une femme de 33 kg, qui avait ingéré des gélules contenant du nitrate d’argent sur une période de 1 an. La patiente a signalé l’ingestion de 16 mg de nitrate d’argent trois fois par jour une semaine sur deux.

Une analyse spectrographique des échantillons de sang ont révélé un niveau d’argent du sang de 0,5 mg / L 1 semaine après l’ingestion de capsules de nitrate d’argent et il y avait seulement une légère baisse de ce niveau après 3 mois.

(1980), L’argyrie a été diagnostiqué chez une femme de 47 ans (58,6 kg), qui avait pris de trop grandes doses orales de pastilles anti-tabac contenant de l’acétate d’argent sur une période de 2,5 ans. Aucune information n’a été fournie quant à la quantité réelle de l’argent ingérée.

Les symptômes de l’argyrie sont apparus après les 6 premiers mois de l’exposition.
Après analyse des neutrons présents dans le corps de cette femme, il a été estimé que la concentration de l’argent dans la peau était de 6,4g, ce qui représente une dose 8000 fois supérieure à la normale.

Dans une autre expérience de 30 semaines, le même sujet retenu 18% d’une dose unique  administrés par voie orale.

Comme dans l’étude de Blumberg et Carey (1934), cette étude n’est pas apte à servir de base pour une évaluation quantitative des risques.

Il s’agit d’un rapport clinique que sur quelques patient et le montant réel de l’argent ingéré ne peut être estimée.

 

Franck Goldman

Page 141 du livre de Franck Goldman, « L’arme secrète contre la Maladie: l’argent colloidal, que vous trouverez en format pdf ci-dessous, vous pourrez lire (page 146 du pdf)
« Brent Fennigan, un fabricant de générateur d’argent colloidal, a écrit en octobre 1999 à la FDA (Food & Drug Administration) en lui demandant de bien vouloir fournir les statistiques suivantes:
1) Nombre de décès attribuables à l’ingestion d’argent colloidal
2) Nombre de réactions allergiques attribuables à l’absorption d’argent colloidal.
3) Nombre d’interractions nocives entre médicaments et argent colloidal.
4) Nombre de cas d’argyrie imputables à l’utilisation d’argent colloidal ionique (électrocolloïdal)
5) Nombre de cas d’argyrie dus à l’utilisation d’argent colloïdal ne contenant pas de produits stabilisants.

Réponse de l’administration : « suite à votre question sur les effets négatifs associés à l’utilisation de l’argent colloïdal, … nous avons interrogé la banque de données de la FDA sur les réactions adverses et nous n’avons rien trouvé qui corresponde à votre demande. »
Autrement dit la FDA a été contrainte d’admettre qu’elle ne possédait aucune donnée clinique suggérant que l’utilisation de l’argent colloïdal présente un quelconque danger pour les individus.
(Fin de citation )

 

 

Publié dans Nutrition & Santé

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