Monsanto le destructeur (vidéo)

Publié le par Gerome

Petit clip vidéo édifiant!

 

 

 

Publié dans OGM j'en veux pas!

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Islande, Pour la deuxième fois en 2 mois, 30.000 tonnes de poisson meurent mystérieusement dans un lac !

Publié le par Gerome

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D'aussi loin que l'œil peut voir, des centaines de milliers de harengs morts recouvrent le sol sur ces images effrayantes prises hier sur les rives d'un lac islandais.

On ne connait toujours pas la cause de cette hécatombe, mais elle vient s'ajouter à celle déjà observée dans la région en Décembre dernier, où une quantité semblable de poissons avait déjà été retrouvée.
 

Environ 25.000 à 30.000 tonnes, soit une valeur marchande estimée de  19 millions de livres Sterling, ont été retrouvé hier à Kolgrafafjorour dans un petit fjord de la partie nord de la péninsule de Snæfellsnes, dans l'ouest de l'Islande, selon le journal local Morgunbladid.Le Biologiste islandais Robert Arnar Stefánsson estime que plus de 7.000 tonnes de hareng ont échoué sur le rivage mais il y en a beaucoup plus au fond du fjord.

Des dizaines de milliers d'oiseaux ont été attirés sur le site pour se nourrir, mais on craint que les poissons en décomposition menacent la santé des oiseaux dans les semaines et les mois à venir.

 

 


Publié dans Nature

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L’engouement des riches collectionneurs pour les animaux exotiques menace la biodiversité

Publié le par Gerome

L’engouement croissant des riches collectionneurs pour les espèces exotiques n’est pas sans danger pour ces dernières.

 

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Déjà critiqués pour leur participation au réchauffement climatique, toute-puissance pétrolière oblige, les pays du Moyen-Orient – qui, pour certains d’entre eux, ont tout de même commencé, assez timidement néanmoins, à prendre le pli de l’énergie durable – sont aussi dans le collimateur de plusieurs associations de protection de l’environnement en raison de la passivité de leur législation en matière de respect de la vie animale. Venus enquêter sur place, plus exactement au Yémen, nos confrères du Guardian mettent en avant l’engouement que suscitent les animaux exotiques dans les pays du Golfe auprès des riches collectionneurs.


De fait, le commerce est devenu de plus en plus lucratif, tandis que les espèces les plus demandées investissent des enceintes le plus souvent exiguës. Les lions, dont on a vu à plusieurs reprises qu’ils étaient désormais en danger en raison notamment de la destruction de leur habitat, sont les principales et les plus emblématiques victimes de ce phénomène, véritable dérive « bling-bling » aux conséquences bien réelles pour une biodiversité qui n’avait vraiment pas besoin de cela.


La majorité des espèces en captivité donnent des petits qui sont ensuite exportés vers l’Arabie Saoudite, frontalière du Yémen, avec lequel la frontière est, au moins par endroits, des plus « poreuses », les Émirats Arabes Unis et le Qatar. Directeur de la Born Free Foundation en Éthiopie interrogé par le quotidien, Stephen Brend juge le commerce « vaste, rentable » et peu sujet aux poursuites. « L’effet sur les populations d’animaux sauvages de la région, mais aussi sur la société civile est dévastateur et c’est sans doute pourquoi il est florissant », analyse-t-il, dénonçant en filigranes le manque criant d’ambition des règlements en vigueur.

 

«Il existe un sentiment selon lequel le crime contre la faune n’en est pas véritablement un »


« Une étude réalisée par le bureau des Nations Unies contre la drogue et le crime suggère qu’il existe des liens étroits entre les transferts illicites d’armes, de personnes, de drogues et d’espèces animales. Par conséquent, il semble que les animaux soient simplement une autre victime de l’anarchie », ajoute-t-il.

Responsable d’une ONG dédiée à la protection des léopards au Yémen également interrogé par le Guardian, David Stanton corrobore : «Il existe un sentiment selon lequel le crime contre la faune n’en est pas véritablement un. Les Yéménites qui sont impliqués dans le commerce des espèces sauvages savent certainement, pour la plupart, que ce qu’ils font est illégal, mais je doute que beaucoup d’entre eux estiment qu’il est contraire à l’éthique ou immoral. »


Immoral, ledit commerce est aussi – surtout – meurtrier puisqu’on estime que de 60 à 70% des animaux victimes de la traite vers les pays du Golfe meurent en transit. De même, trois cents bébés léopards mourraient chaque année.

Des données qui doivent faire réfléchir les pouvoirs publics concernés.

 

 


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Saisonnalité des fruits et légumes

Publié le par Gerome

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La saisonnalité des fruits et légumes est importante à différents points de vue. Tout d'abord, les végétaux de saisons sont meilleurs au goût dans bien des cas, il permettent d'apprendre à cuisiner, à se faire plaisir, de suivre la nature pour manger varié. On sait aussi qu'une consommation hors saison encourage une agriculture souvent intensive, pour faire pousser des végétaux malgré les règles naturelles. Cela contribue aussi à la pollution et au gaspillage par le fait que l'on transporte des cargaisons énormes d'aliments de l'autre bout de la planète. Alors, il suffit de se référer à cette image, de se procurer un tableau récapitulatif sur internet, de s’inscrire dans une AMAP,ou bien d'aller au marché en choisissant une production locale.

 

 


Publié dans Nutrition & Santé

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Les économies d’énergie dans le secteur tertiaire, c’est pour bientôt

Publié le par Gerome

Un nouvel arrêté entrera en vigueur le 1er juillet.


C’est une vieille revendication de nombre d’éco-citoyens et elle est en passe d’être satisfaite. Tandis que le débat national sur la transition énergétique se poursuit, sans que les médias lui offrent le traitement qu’il mériterait au regard des enjeux abordés, la ministre de l’Ecologie Delphine Batho vient de publier un arrêté réglementant l’éclairage nocturne des bâtiments non-résidentiels.


Une première sur le Vieux Continent destinée à réduire la pollution lumineuse, souvent très sous-estimée, et bien sûr le gaspillage énergétique. « Cet arrêté concerne à la fois l’éclairage intérieur émis vers l’extérieur par les vitrines de commerces et bureaux, et l’éclairage des façades des bâtiments », précisent nos confrères du site Internet Bioaddict.fr.

Il permettra surtout d’économiser l’équivalent de la consommation électrique de sept cent cinquante mille foyers chaque année et, dans le même temps, deux cent cinquante mille tonnes de CO2 (dioxyde de carbone). Devant entrer en vigueur le 1er juillet prochain, il obligera les professionnels à faire le nécessaire pour que les lumières intérieures des locaux soient éteintes une heure après la fin d’occupation.


De même, « les éclairages des façades des bâtiments seront éteints au plus tard à une heure du matin et les éclairages des vitrines de magasins de commerce ou d’exposition devront être éteints au plus tard à une heure du matin, ou une heure après la fin d’occupation des locaux si celle-ci intervient plus tardivement », poursuit Bioaddict.fr.

 

 

Des dérogations possibles


Objet d’une évaluation en janvier 2014, le dispositif consiste par ailleurs en une réglementation des conditions d’allumage. A compter du début de l’été, les vitrines de magasins de commerce ou d’exposition pourront en effet être allumées à partir de sept heures du matin ou une heure avant le début de l’activité si celle-ci commence avant. Les éclairages des façades des bâtiments ne pourront par ailleurs plus être allumés avant le coucher du soleil.


« Pour l’industrie de l’éclairage, la seule façon pertinente de s’assurer de l’application de cet arrêté  est d’inciter  au  recours à des systèmes intelligents  qui prennent en compte le fonctionnement des installations d’éclairage sur vingt-quatre heures », analyse le Syndicat national de l’éclairage, auteur d’un communiqué et selon lequel ce texte, quoiqu’incomplet de son point de vue, « a le mérite d’inciter les gestionnaires des bâtiments à  s’intéresser à la qualité de leurs installations d’éclairage afin d’en limiter l’impact sur l’environnement et la facture d’électricité ».


Quelles que soient les réserves des uns et des autres, le bon sens et les économies d’énergie sont – enfin – sur le point de triompher. Des dérogations seront néanmoins possibles en période de Noël, à la veille des jours fériés chômés, lors d’événements exceptionnels à caractère local ou encore dans des lieux à l’intérêt touristique avéré.

Parce qu’il ne faudrait pas non plus nuire davantage à une économie déjà mal en point.

 

 


 

Publié dans Les bonnes nouvelles

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