Recyclage du plastique : la France 21eme sur 29 !

Publié le par Gerome

Plastique ou verre, rien n'est fait pour offrir une incitation pécunière aux français...
La consigne des bouteilles de verre il y a plusieurs années, pour quelque francs, était incitative. 
On nous demande de trier, mais les taxes ne baissent pas pour autant, et les entreprises privées du secteur s'enrichissent avec le tri gratuit que font les gens...c'est une vaste arnaque une fois de plus ! En Allemagne les gens sont rétribués lorsqu'ils retournent les bouteilles, alors qu'on ne vienne pas nous culpabiliser avec leur soi disant civisme...
Une fois de plus vive la France !

 

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Taux de recyclage en France des emballages en matières plastiques


A part l’Allemagne qui connaît une longue décrue de sa capacité à recycler les emballages en matières plastiques, tous les autres pays progressent selon une même tendance. Mais la France est en dernière position.


La France est à la traîne dans le recyclage du plastique avec une peu enviable 21e place européenne, selon une étude publiée la semaine dernière qui appelle à ce que l'incontournable dérivé du pétrole cesse totalement de finir à la décharge.
Seulement un cinquième (19,2%) des 3,3 millions de tonnes de plastique mis au rebut l'an passé dans l'Hexagone a eu droit à une deuxième vie, selon des chiffres publiés par Plastics Europe, la fédération européenne de l'industrie du plastique. C'est mieux qu'en 2010 (17,5%), notamment grâce à de gros progrès dans l'automobile et les objets électroniques ou électriques.

 


Mais au rythme actuel, il faudrait encore 20 ou 40 ans pour que tous les plastiques soient recyclés ou du moins brûlés dans un incinérateur pour produire par exemple de la chaleur, selon Michel Loubry, le directeur de Plastics Europe pour l'ouest du Vieux Continent. "Nous souhaitons qu'il n'y ait plus un seul déchet plastique valorisable qui aille en décharge d'ici 2020", a-t-il plaidé jeudi.

Usages potentiels multiples

 
Si cet effort était fait au niveau européen, c'est plus d'un milliard de barils de pétrole d'une valeur de près de 80 milliards d'euros qui pourraient être économisés, a-t-il souligné. De nouvelles bouteilles, mais aussi des couettes, des pulls, des films d'emballage, des bacs, des tubes... jusqu'à récemment le fil d'une robe de haute couture en Italie: les usages potentiels d'une simple bouteille d'eau minérale sont immenses.

Mais la France a encore beaucoup de chemin à faire. Elle apparaît au 21e rang sur 29 pays (Union européenne plus Suisse et Norvège) du classement annuel établi par Plastics Europe. En prenant en compte l'incinération (moins vertueuse que le recyclage mais plus que la décharge), la France remonte au 10e rang avec 60,9%. Mais elle est là aussi très loin des neuf premiers pays (Benelux, Scandinavie, Allemagne, Autriche et Suisse), qui sont tous au-delà des 90%.

 


Comment progresser ? 

 
Eco Emballages, l'organisme qui gère le recyclage des emballages ménagers expérimente actuellement une extension du tri du plastique auprès 3,7 millions de Français: il s'agit de séparer tous les emballages plastiques, et non plus les seuls bouteilles et flacons. Les premiers enseignements de cette expérience ont été positifs, avec une augmentation des tonnages collectés (+13%), même si de nouvelles erreurs de tri sont apparues (brosses à dents, jouets, pots de fleurs, etc.)

Côté industriels, les gros efforts à faire concernent les films servant à emballer les palettes de livraisons, les fûts et divers types de conteneurs ou encore les grandes caisses et cales en polystyrène, souligne Vincent Colard, chargé de mission environnement à la fédération de l'emballage Elipso.

Augmenter les taxes?
"Il y a des choses qu'on n'arrivera pas à recycler, comme les tubes de rouge à lèvres ou les dosettes de café qui mélangent métal et plastique. Ou d'autres qui ne sont plus recyclables, les déchets ultimes. Mais sinon quand il y a un volume suffisant pour avoir un modèle économique, techniquement on peut le faire", souligne-t-il.

Autre piste: assortir l'obligation de ne pas mettre le plastique en dépôts d'ordures d'un pouvoir de sanction, ou encore augmenter les taxes de mise en décharge pour encourager le tri en amont. Cette hausse des taxes risque toutefois de faire grincer des dents chez les grands opérateurs de ces "centres de stockage" comme Veolia ou Suez Environnement, reconnaît une professionelle du recyclage.

Reste que l'invasion du plastique --dont le monde était encore pratiquement vierge en 1950-- a de quoi donner le vertige. En 2011, 280 millions de tonnes (28.000 tours Eiffel) ont été produites dans le monde, un chiffre en hausse de plus de 5% sur un an et le triple d'il y a 30 ans, selon Plastics Europe.

 

 


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Les deux tiers des arbres dans le monde sont menacés de dépérissement

Publié le par Gerome

Les forêts, poumons de la Terre, sont menacées de dépérissement. Les arbres se montrent beaucoup plus vulnérables à la sécheresse que ce que les scientifiques imaginaient. Quand ils manquent d'eau, ils font des embolies : des bulles d'air obstruent les vaisseaux de transport de la précieuse sève des racines à leurs cimes. Un dessèchement fatal les guette. Toutes les espèces sont concernées : feuillus ou conifères. Tous les climats également : humides ou secs.

 

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Pour la première fois, une vaste étude internationale jette un regard global sur ce phénomène. Sur plus de 220 espèces réparties dans 80 régions aux climats variés, leurs conclusions, publiées en ligne dans la revue Nature mercredi  21 novembre, pointent une vulnérabilité alarmante pour l'avenir des écosystèmes.


 

Environ 70 % des arbres étudiés seraient sur le fil du rasoir, fonctionnant à la limite de l'embolie. Leurs marges de manœuvre sont étroites, qu'ils poussent en zone tropicale, en zone tempérée ou en zone de type méditerranéen. "Tous les arbres et toutes les forêts du globe vivent en permanence à la limite de leur rupture hydraulique. Il y a donc une convergence fonctionnelle globale de la réponse de ces écosystèmes à la sécheresse", résume Hervé Cochard, chercheur à l'INRA, à Clermont-Ferrand, et coauteur de l'étude pilotée par Brendan Choat, de l'université Western Sydney (Australie), et Steven Jansen, de l'université d'Ulm (Allemagne).


Cette découverte étonnante conduit à envisager des scénarios catastrophe, sur lesquels les chercheurs ne se prononcent pas : les évolutions prévues du climat devraient être marquées par des épisodes de sécheresse plus fréquents. Une mortalité accrue des arbres fait planer sur les écosystèmes une nouvelle menace, non prise en compte actuellement dans les scénarios climatiques.

DES CHERCHEURS TRANSFORMÉS EN PLOMBIERS DE LA BIOSPHÈRE


Pour aboutir à ces constats, les chercheurs se sont transformés en plombiers de la biosphère, afin de sonder l'état de santé des systèmes vasculaires de transport du liquide nutritionnel chez les plantes. La probabilité d'apparition de bulles d'air dans la sève augmente si l'arbre est contraint d'aspirer plus fort la sève dans ses ramifications. C'est ce qui arrive en cas de fortes chaleurs, qui augmentent la transpiration de l'arbre, ou lors d'une carence en eau, qui oblige la plante à pomper intensément.


Ce phénomène d'embolie ou de cavitation a été mesuré dans les années 1960 en utilisant des microphones enregistrant l'éclatement de ces bulles. Depuis, les techniques ont été perfectionnées et les chercheurs sont capables de mesurer à partir de quelle pression dans la sève la conduction hydraulique est diminuée de moitié par la formation de bulles. Ce seuil de vulnérabilité est ensuite comparé à la pression de sève, mesurée in situ pour différentes espèces.


Mauvaise surprise, les scientifiques ont découvert que cette différence est finalement faible pour la majorité des espèces recensées. "Que les forêts de type méditerranéen, soumises à des sécheresses, soient proches de ce seuil n'est sans doute pas étonnant. Mais même les forêts tropicales ont peu de marge de manœuvre", constate Hervé Cochard.

"J'ai pu récemment observer en Guyane que la saison sèche, particulièrement aride cette année, a causé des dégâts. Les plantes pourront sans doute s'en sortir, mais que se passera-t-il si ces épisodes se multiplient ?", s'interroge Jérôme Chave, du laboratoire Evolution et diversité biologique du CNRS, à Toulouse.


 LES ARBRES PEUVENT "MOURIR DE FAIM", PAS SEULEMENT DE SOIF


En 2010, dans la revue Forest Ecology and Management, une autre équipe avait alerté sur le nombre inquiétant de forêts affaiblies par la sécheresse. Les 88 zones recensées depuis 1970 n'étaient pas toutes en zone aride, et leur nombre était en augmentation.

"La tendance à la hausse se poursuit. En vingt ans, les superficies connaissant un dépérissement des forêts ont été multipliées par quatre. Dans l'Ouest canadien, c'est une zone équivalente à la forêt française qui est dans ce cas", précise Michel Vennetier, de l'Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture, à Aix-en-Provence, coauteur de l'étude de 2010. Le chef de cette équipe, Craig Allen, plaide d'ailleurs pour un observatoire mondial du dépérissement des forêts, trop de zones, comme la Russie, restant hors des radars faute de données fiables.


"Il est un peu exagéré de faire des problèmes d'embolie la cause unique des dépérissements et mortalité des arbres. D'autres causes existent", note Hendrik Davi, de l'INRA à Avignon. Les arbres peuvent, par exemple, également "mourir de faim" à la suite d'une sécheresse, et pas seulement de soif.

Le premier réflexe d'un arbre soumis à un stress hydrique ou de température est de fermer les organes qui lui permettent d'échanger avec l'extérieur, les stomates. Cela pour éviter la transpiration. Mais ce faisant, le CO2 n'est plus absorbé, et la photosynthèse ne peut plus produire les sucres nécessaires à la croissance. Celle-ci ralentit. L'arbre puise alors dans ses réserves, jusqu'à l'épuisement et éventuellement la mort.


 "DISPOSER DE DONNÉES PHYSIOLOGIQUES MONDIALES"


La fin peut être accélérée par l'arrivée d'insectes, comme les scolytes, qui profitent de cet affaiblissement du végétal pour le coloniser. Les "légistes" ont donc souvent du mal à identifier une cause unique lors d'un décès. "Au minimum, ce phénomène de cavitation est un facteur déclenchant. Le seuil que nous avons estimé est aussi le seul trait physiologique pour lequel nous ayons une vision globale", indique M. Cochard.

Son équipe a constaté que les arbres ont des capacités d'adaptation. Ainsi, selon leurs estimations, 40 % des feuillus vivent au-dessus du seuil d'embolie, alors que seuls 6 % des conifères en sont capables. Ce qui prouve que des stratégies de résistance existent. Mais leurs mécanismes ne sont pas encore compris, et les auteurs notent que "ces réparations ne peuvent fonctionner que si les périodes de sécheresse sont suivies de précipitations suffisantes pour revenir à la normale".


"En Provence, les années suivant la canicule de 2003 ont également été très sèches, et nous avons constaté des mortalités importantes sur les pins sylvestres, les sapins et les chênes-lièges quelques années après", rappelle Michel Vennetier.

"C'est important pour nous de disposer de données physiologiques mondiales. Nous pourrons ainsi les intégrer dans nos modèles climatiques tenant compte de la végétation et faire le lien entre les échelles globales et locales. Mais il est trop tôt pour se prononcer sur les conséquences de la découverte de ces risques d'embolie", estime Nicolas Viovy, du Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (CEA-CNRS-université de Versailles-Saint-Quentin), spécialiste de ces questions de modélisation.

 

 


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Barack Obama veut intensifier la lutte contre le réchauffement climatique

Publié le par Gerome

Qui a effectué son grand retour sur la scène politico-médiatique américaine il y a quelques semaines.

 

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Sa bonne gestion de la « crise » générée par le passage de l’ouragan Sandy explique peut-être pour partie sa réélection. Saluée par une grande majorité de ses concitoyens, elle lui a également valu un soutien politique de poids, celui de l’influent maire de New York Michael Bloomberg pour qui, contrairement à son rival républicain, il était le seul à proposer une politique à même de lutter efficacement contre le réchauffement climatique.


Un phénomène qui préoccupe de plus en plus d’Américains, qui n’est peut-être pas étranger à la multiplication des catastrophes naturelles de l’autre côté de l’Atlantique – à ce stade, la communauté scientifique manque encore d’éléments – et que Barack Obama s’est engagé à (mieux) combattre. Le président réélu le sait : en la matière, son premier mandat n’a pas été à la hauteur des enjeux.


La légère réduction des émissions nationales de gaz à effet de serre est en effet essentiellement due à la récession économique et le moins que l’on puisse dire est que les États-Unis se sont montrés timorés lors des sommets internationaux de Copenhague (Danemark), Cancun et Durban (Afrique du Sud), ce dernier s’étant même déroulé en l’absence du locataire de la Maison Blanche. La première conférence de presse qu’il a donnée depuis sa victoire, mercredi dernier, semble toutefois attester d’une prise de conscience. « Je suis convaincu que le changement climatique est une réalité et que les activités humaines et les émissions carboniques ont un impact », a-t-il ainsi déclaré, cité par nos confrères de l’AFP, tout en admettant que la communauté internationale ne fait pas tout ce qu’elle devrait faire pour les limiter.

 

 

Associer lutte contre le réchauffement climatique et lutte contre le chômage

Et de préciser : « Nous savons que la température autour du globe augmente plus vite que nous le prédisions, même il y a dix ans, [...] que la calotte glaciaire arctique fond plus vite que prévu qu’il y a seulement cinq ans et qu’un nombre extraordinairement élevé d’événements météorologiques dévastateurs se sont produits en Amérique du Nord et autour du globe. » Face à ces constats, la future ex-première puissance économique mondiale n’est cependant pas restée les bras ballants, ayant réduit ses importations de pétrole de 20 % depuis 2008 et dans le même temps doublé sa production d’électricité à partir de sources « propres ».


Si elle rapproche l’Oncle Sam de l’indépendance énergétique, l’exploitation intense des hydrocarbures de roche-mère tend malheureusement à relativiser ces efforts. Rappelons en outre que les républicains resteront majoritaires à la Chambre des représentants au moins jusqu’en 2014 et que ces derniers n’ont pas ménagé leur peine depuis deux ans pour « rogner » la politique environnementale de M. Obama, selon lequel l’heure est désormais venue d’« avoir une conversation dans tout le pays sur ce qu’il est réaliste de faire à long terme pour s’assurer que nous ne laissons pas aux futures générations un problème très cher et très douloureux à régler ».


La vision du président américain semble donc avoir évolué et de son point de vue, la lutte contre la hausse du thermomètre mondial peut aussi stimuler le marché de l’emploi. « Si nous élaborons un plan pouvant créer des emplois, pousser la croissance et faire nettement reculer le changement climatique tout en étant un leader international, je crois que le peuple américain le soutiendra », a-t-il par ailleurs prophétisé, appelant les républicains à participer eux aussi à un combat difficile à mener, qui suppose des sacrifices, mais qui va dans le sens de l’intérêt général.


Des propos salués par l’Union of Concerned Scientists, sa responsable des questions relatives au réchauffement climatique Angela Enderson ayant vu en eux « une réponse très sérieuse et sage » à ce fléau. Reste le plus difficile : joindre les actes aux belles paroles.

 

 


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La taxation de l'huile de palme rejetée par les Lobbyes

Publié le par Gerome

L’amendement dit « Nutella » défendu par Jean-Louis Roumegas (EELV), initialement adopté par la commission des Affaires sociales du Sénat, a été rejeté le 21 novembre lors de la nouvelle lecture, en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2013. L’amendement repoussé visait à taxer davantage l’huile de palme, utilisée dans de nombreux produits alimentaires. L’huile de palme est mise à l’index pour ses impacts sanitaires – ses graisses saturées favorisent l’obésité – et environnementaux – sa culture intensive favorisant la déforestation.

 

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Le député proposait d’instituer une contribution additionnelle de 300 euros par tonne sur les huiles de palme (et les huiles de palmiste et de coprah) destinées à l’alimentation humaine. « Les problèmes posés par l’huile de palme pourraient être traités dans le futur projet de loi de santé publique », a estimé Gérard Bapt (PS), rapporteur du projet.

Ferrero, le géant italien de la pâte à tartiner, avait aussitôt réagi à la proposition d’amendement en achetant de larges espaces publicitaires dans la presse quotidienne pour dénoncer l’initiative et vanter les mérites de sa pâte. Le texte de loi avait suscité des réactions jusqu’en Malaisie. Le Conseil malaisien de l’huile de palme avait appelé le gouvernement français à rejeter « une agression sans fondement » menaçant la survie de « petits paysans ». Précisons que la Malaisie abrite le puissant conglomérat Sime Darby, qui possède de nombreuses plantations d’huile de palme sur plusieurs continents. L’enquête de Basta ! menée au Libéria sur la filière de l’huile de palme révèle pourtant les déforestations massives, les expropriations et l’accaparement de terres générés par ces cultures industrielles. Du côté de Ferrero, le groupe avait indiqué qu’il ne toucherait pas d’un iota à sa spécialité phare, même si la taxe était confirmée. Ambiance.

 

 


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Un petit génie africain construit un générateur électrique pour éclairer la maison de sa famille

Publié le par Gerome

Génial bricoleur autodidacte, un adolescent sierraléonais a fabriqué un générateur électrique. Le Massachusetts Institute of Technology s’intéresse à lui.

 

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Bricoleur ingénieux qui n’a jamais fait d’études en ingénierie, un adolescent sierraléonais est en train de connaître un destin extraordinaire. Célèbre dans son village, où il a mis en place une station de radio FM ainsi qu’un générateur électrique, Kelvin Doe (16 ans) est en train de se faire un nom au Massachussets Institute of Technology.

Matériaux de récupération

Dans son village, grâce à des matériaux récupérés dans les poubelles, Kelvin Doe a fabriqué un générateur qui permet d’éclairer la maison familiale et de recharger les téléphones portables des habitants de son village. L’adolescent a aussi mis en place une petite radio communautaire qu’il anime avec des jeunes de son âge. La musique diffusée par celui qui se fait appeler «DJ Focus» fait danser tout le village alors que ses jeunes collègues animent des émissions sur la vie des habitants de leur communauté.

Le Massachusetts Institute of Technology (MIT), une des plus prestigieuses universités du monde, vient de l’inviter pour des cours de perfectionnement. Le génial adolescent africain a aussi participé au forum «World Maker Faire» aux côtés de jeunes inventeurs américains et a rencontré le président de Harvard, révèle CNN.

Lors de son séjour aux Etats-Unis, Kelvie Doe a continué à penser aux siens. «Je veux aider ma famille, rendre la vie de mes proches plus facile et construire une éolienne pour fournir de l’électricité à tout mon village», a déclaré le jeune homme.

 

 


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