L’état italien condamné à informer la population des risques liés à l’utilisation des téléphones portables.
ET EN FRANCE?
L'info écologique
ET EN FRANCE?
Et si une partie de la solution pour soulager la planète venait des entreprises ? Une trentaine de multinationales, poids lourds de la pétrochimie, du recyclage et des biens de grande consommation, ont annoncé ce mercredi la création d’une alliance prête à mobiliser plus d’un milliard d’euros pour trouver des solutions d’élimination des déchets plastiques.
Nom de code : « Alliance to end plastic waste », « Alliance pour en finir avec les déchets plastiques », en français. Elle rassemble des géants mondiaux (BASF, Total, ExxonMobil, Dow, Mitsui Chemicals, LyondellBasell, Procter & Gamble, Suez, Veolia, etc.) qui fabriquent, utilisent, vendent et recyclent des plastiques, source de pollution majeure de l’environnement, en particulier des océans.
Huit projets repérés en Asie
Les groupes ont réuni un milliard de dollars et promettent jusqu’à 1,5 milliard d’ici cinq ans. L’Alliance veut notamment participer au financement d’initiatives déjà existantes, selon des communiqués de plusieurs groupes impliqués dans l’Alliance. Elle cite notamment le projet STOP en Indonésie, qui travaille avec les villes pour réduire le rejet de plastiques dans l’environnement, ou encore l’ONG Renew Oceans, qui tente de récupérer les déchets plastiques dans les dix grandes rivières les plus polluées par ces déchets, dont huit sont en Asie.
Plus largement, elle cherchera à nouer des partenariats avec les grandes villes, en particulier celles dépourvues d’infrastructures, pour améliorer leur gestion des déchets. Les multinationales impliquées veulent aussi développer un projet d’information scientifique ouvert (« open source ») avec des institutions universitaires. L’objectif est d’améliorer la collecte d’informations sur les déversements de plastiques et d’aider les gouvernements.
Seuls 9 % des déchets plastiques recyclés
« Il s’agit d’un défi mondial complexe et grave qui nécessite une action rapide et un fort leadership. Cette nouvelle alliance constitue l’initiative la plus vaste à date visant à mettre fin aux déchets plastiques dans l’environnement », a assuré dans un communiqué David Taylor, PDG de Procter and Gamble et président de l’Alliance.
Quelque 80 % des plastiques finissent dans les océans, soit entre 8 et 12 millions de tonnes chaque année, selon l’ONU qui estime que si la tendance se poursuit il y aura plus de plastique que de poisson dans l’océan d’ici 2050. L’essentiel de ces déchets sont des plastiques à usage unique, comme les bouteilles, les bouchons, les emballages alimentaires, les sacs de supermarché, les couvercles, les pailles, les touillettes et les récipients alimentaires à emporter. Seulement 9 % des neuf milliards de tonnes de plastique que le monde a jamais produites ont été recyclées. Une part à peine plus grande - 12 % - a été incinérée, selon un rapport de l’ONU publié l’an dernier.
« En contribuant à l’allégement des matériaux, les plastiques améliorent l’efficacité énergétique des produits de notre quotidien et permettent de réduire nos émissions de CO2. Il est cependant critique d’améliorer la gestion de leur fin de vie pour faire en sorte qu’ils ne se retrouvent plus dans l’environnement », a déclaré Bernard Pinatel, directeur général Raffinage-Chimie de Total et membre du comité exécutif de l’Alliance, cité dans un communiqué.
Environ un tiers des oiseaux ont disparu des campagnes ces vingt dernières années, selon les observations du CNRS et du Muséum d'histoire naturelle. Principal facteur de cette diminution progressive, mais néanmoins catastrophique ? L'agrochimie.
Des printemps sans chants d'oiseaux ? C'est malheureusement ce qui nous attend. Des études du CNRS et du Museum d'histoire naturelle révèlent combien la biodiversité a pris du plomb dans l'aile ces vingt dernières années : près d'un tiers des passereaux, notamment des oiseaux de plaine, ont disparu de nos campagnes.
Interview par France Culture :
Nous avons rencontré Vincent Bretagnolle, chercheur au Centre d’études biologiques de Chizé, dans les Deux-Sèvres, qui dépend du CNRS et de l'Université de La Rochelle, afin de dresser un état des lieux. Un entretien un peu alarmant.
Les oiseaux disparaissent des campagnes à vitesse grand V, selon les observations du CNRS et du Muséum. Comment l'avez-vous constaté et quelle est l'ampleur des dégâts ?
On réalise des suivis à partir de points d’écoute : on comptabilise l’ensemble des oiseaux autour des ces localisations, qui sont les mêmes depuis vingt-quatre ans. Cela nous permet de quantifier les tendances au niveau des populations de l’ensemble des oiseaux qui habitent les plaines rurales, agricoles, notamment dans ce site d’études du sud du département des Deux-Sèvres, qui fait 450 kilomètres carrés. Nous avons constaté que l’ensemble du cortège des oiseaux de plaine a diminué, quelle que soit l’espèce, avec des vitesses différentes selon les espèces. L’espèce la plus abondante, l’alouette des champs, a par exemple diminué de 35% en l’espace d’un peu plus de vingt ans. Les dégâts sont encore plus spectaculaires pour d’autres espèces, comme les perdrix, qui ont diminué de 80 à 90% sur les vingt-trois dernières années.
Combien disposez-vous de points d’écoute ?
Il y en a 160. C’est un maillage assez serré. Un point d’écoute couvre dix hectares, avec un rayon de deux cents mètres autour de l’observateur. Celui-ci note pendant dix minutes la présence, détectée soit par le son, soit par la vue, de l’ensemble des individus sur ces parcelles en forme de disques. Ce qui nous permet d’obtenir des densités exactes.
Les observateurs sont des ornithologues confirmés : des étudiants en thèse, moi-même, ou des contractuels, qui changent tous les ans. Au total, il y a eu jusqu'à aujourd'hui plus de trente observateurs différents sur les 160 points d’étude.
Quels sont les facteurs de cette extinction massive ?
C’est une diminution lente et progressive, pas une extinction massive. Mais en fait, c'est tout aussi alarmant : plus du tiers des oiseaux ont disparu ces vingt cinq dernières années. Et c'est une diminution généralisée : on l’observe dans le sud des Deux-Sèvres, mais aussi dans les mêmes proportions à l’échelle nationale, et à l’échelle de l’Europe entière.
Le facteur principal de cette érosion est l'intensification de l’agriculture, à travers deux processus. Le premier est l’homogénéisation et la perte des habitats : la diminution des prairies, des haies, des petites mares, des petits murets, etc., qui sont des habitats capitaux pour la reproduction des espèces. Le deuxième processus est l’utilisation de ce que l’on appelle l’agrochimie : les engrais et les pesticides, avec à la fois les insecticides, mais aussi les herbicides qui en éliminant les plantes, éliminent par ricochet les insectes.
Quels sont les risques pour l’écosystème ?
Les effets sont directs et indirects. Dans les plaines agricoles, les oiseaux sont principalement insectivores, donc ce sont des prédateurs en bout de chaîne alimentaire qui ont un rôle primordial sur la régulation des espèces d’insectes. C’est un premier point qui aboutira à un déséquilibre et à un dysfonctionnement de l’écosystème. Le deuxième point est qu'évidemment les oiseaux ont aussi un rôle important dans l’imaginaire collectif. Un rôle culturel dans nos sociétés. Et la disparition des oiseaux dans les campagnes, avec des printemps qui seront à n’en pas douter de plus en plus silencieux, a des répercussions aussi sur l’affect et le socio-culturel des sociétés qui vivent dans ces milieux.
Vous parliez de l’alouette des champs, quels autres oiseaux connus sont en train de s’éteindre ?
La liste est innombrable. L’alouette des champs suit une autre espèce qui a diminué de façon tout à fait alarmante, qui est l’hirondelle de cheminée. Celle que l’on trouvait dans les étables autrefois, qui nichait au milieu des vaches. On estime qu’à l'échelle de l’Europe on a perdu plus de la moitié de la population européenne d’hirondelles de cheminée en l’espace de vingt-cinq ou trente ans. Elles ont diminué parce que les étables ont peu à peu disparu, en tout cas celles où elle pouvaient faire leur nid, leurs colonies. Et puis elles se nourrissent de petits insectes volants, mais il n’y en a pratiquement plus dans les campagnes. Et si l'on se tourne vers des espèces de taille plus importante : la perdrix grise, emblématique et patrimoniale - pour les chasseurs notamment - a enregistré un déclin absolument spectaculaire. On a même réussi l’exploit de la faire disparaître d’un pays entier : à l’état sauvage, elle s'est définitivement éteinte en Suisse, dans les années 2000. Elle fait aujourd’hui l’objet d’un programme de réintroduction. Enfin, des espèces encore plus emblématiques, comme l’outarde canepetière, qui sont très inféodées au milieu agricole, sont aujourd’hui au bord de l’extinction en France.
En tant qu'ornithologue, quel est votre état d’esprit ? Accablement, colère ?
Il est empreint de réalisme. Ce déclin sans précédent à l’échelle de l’Europe va demander la mise en place de solutions très coûteuses. Elles devront imposer un tel changement au niveau des pratiques agricoles qu'elles ne seront pas mises en place en quelques semaines, ni en quelques mois. Mais en même temps je reste positif, parce que nous avons déjà des solutions : il existe des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, de la nature et des oiseaux. C’est tout le domaine de l’agroécologie notamment, qui peut remplacer l’agrochimie en utilisant la biodiversité. C’est ce que l’on appelle des solutions fondées sur la nature. Mais on a besoin d’un véritable changement de paradigme au niveau de l’agriculture. C’est indispensable, ne serait ce que pour l’agriculture même, qui ne peut pas se passer des oiseaux et des insectes.
Non seulement la pollution de l'air affecte nos poumons et notre cœur, mais elle pourrait aussi menacer notre intelligence.
Une étude récente publiée en 2018 dans la revue PNAS a révélé que chez des personnes âgées vivant en Chine, une exposition de long terme à la pollution de l'air pouvait entraver les performances cognitives – comme la capacité à prêter attention, à se remémorer des connaissances passées ou à générer de nouvelles informations – dans le cadre de tests verbaux et mathématiques.
À mesure que les personnes vieillissent, le lien entre pollution de l'air et déclin mental se renforce. L'étude a également montré que les hommes et les personnes les moins éduquées étaient particulièrement exposés, pour des raisons que l'on ne connaît pas encore.
Nous avons aussi prouvé de manière convaincante que la pollution de l'air – et spécialement les particules les plus petites, invisibles à l'œil nu – endommagent le cerveau à la fois des humains et des animaux. La pollution liée à la circulation des véhicules est ainsi associée à la démence, au comportement délinquant chez les adolescents, et à un retard de développement du cerveau chez les enfants fréquentant des écoles très polluées.
Une détérioration du cerveau
Chez les animaux, les souris exposées à une pollution de l'air urbain pendant quatre mois ont montré un fonctionnement du cerveau réduit et des réponses inflammatoires dans les principales régions du cerveau. Cela signifie que les tissus de cette zone ont changé en réponse aux stimulations nocives induites par la pollution.
Nous ne savons pas encore quels aspects de ce « cocktail » de particules polluantes – comme la taille, le nombre ou la composition des particules – contribuent le plus à cette détérioration du cerveau. On estime toutefois que les particules nanométriques seraient en cause.
Ces particules présentent une taille 2 000 fois plus petite que le diamètre d'un cheveu humain et peuvent se déplacer dans le corps par le flux sanguin après avoir été inhalées. Elles pourraient même atteindre le cerveau directement via les nerfs olfactifs qui transmettent au cerveau des informations sur l'odeur. Cela laisserait les particules contourner la barrière hématoencéphalique, qui protège normalement le cerveau des éléments nocifs circulant dans le flux sanguin.
Des symptômes typiques d'Alzheimer
Des échantillons de cerveau prélevés post mortem sur des personnes exposées à des niveaux élevés de pollution de l'air, qui vivaient à Mexico City et à Manchester, affichent les symptômes typiques de la maladie d'Alzheimer. Cela inclut des amas de fragments de protéines anormales entre les cellules nerveuses, des inflammations, et une abondance de nanoparticules riches en métal (incluant fer, cuivre, nickel, platine et cobalt) dans le cerveau.
Les nanoparticules riches en métal identifiées dans ces échantillons de cerveau sont similaires à celles que l'on trouve en général dans la pollution de l'air ambiant en ville ; celle-ci se forme lors de la combustion du pétrole et d'autres carburants, associée aux particules d'usure des freins et pneus. Ces nanoparticules toxiques sont souvent accompagnées d'autres composés dangereux, comme des hydrocarbones polyaromatiques qui se produisent naturellement dans les carburants fossiles et peuvent endommager les reins et le foie ou provoquer des cancers.
Cellules endommagées
Inhaler des nanoparticules de façon répétée pourrait avoir une série d'effets négatifs sur le cerveau, y compris une inflammation chronique des cellules nerveuses. Lorsque nous inhalons la pollution de l'air, cela peut activer les cellules immunitaires du cerveau.
Respirer un air ambiant pollué pourrait ainsi activer de façon continue une réponse de destruction au sein des cellules immunitaires, entraînant la création plus fréquente de molécules dangereuses. Des niveaux élevés de telles molécules pourraient provoquer le dommage et la mort de cellules.
La présence de fer trouvé dans la pollution de l'air pourrait accélérer ce processus. Des nanoparticules riches en fer (magnétite) peuvent augmenter la toxicité des protéines anormales trouvées dans la zone cérébrale. L'analyse post mortem de cerveaux issus de patients malades d'Alzheimer et de Parkinson montre ainsi que l'activation microgliale est commune aux maladies neurodégénératives.
En dehors de la preuve que nous détenons déjà du lien entre pollution de l'air et démence, la dernière étude sur le lien entre pollution de l'air et intelligence en déclin démontre encore plus la nécessité de combattre la pollution de l'air. La combinaison de changements en termes de technologie de véhicules, régulation et politique fournirait des instruments pratiques pour diminuer de manière globale le fardeau que représente la pollution de l'air en matière de santé.
Changer ses habitudes
Toutefois, il existe des moyens de se protéger. Moins conduire, marcher davantage et faire du vélo peut avoir un impact positif sur la pollution. Si vous devez utiliser une voiture, conduire doucement sans accélérer ou freiner brutalement, et éviter de voyager pendant les heures de rush, peut diminuer les émissions. Garder les fenêtres fermées et recycler l'air dans la voiture pourrait également contribuer à diminuer l'exposition à la pollution pendant les embouteillages.
Les jeunes enfants comptent parmi les plus vulnérables car leurs cerveaux se développent encore. Beaucoup d'écoles se situent près de routes principales, réduire la pollution de l'air s'avère donc nécessaire. Planter certaines espèces d'arbres spécifiques qui capturent efficacement les particules le long des routes et autour des écoles pourrait aider.
La pollution de l'air intérieur cause elle aussi des problèmes de santé, la ventilation apparaît donc nécessaire lorsque l'on cuisine. Les feux ouverts (à la fois dehors et à l'intérieur) constituent une source significative de pollution particulaire, les poêles à bois produisant un fort taux de particules fines. Utiliser un bois sec et adapté à la saison, ainsi qu'un poêle efficace et respectant l'écoconception s'impose donc pour ne pas polluer l'atmosphère autour de chez soi. Si vous résidez dans une maison ventilée du côté d'une route passante, utiliser les espaces de vie au dos de la maison ou à l'étage diminuera l'exposition quotidienne à la pollution.
En fin de compte, ce qui est bénéfique à votre cœur l'est aussi pour votre cerveau. Stimuler son activité cérébrale, opter pour un bon régime alimentaire riche en antioxydants, et se maintenir actif et en bonne santé favorise la résilience de l'organisme.
Puisque nous ne connaissons pas encore exactement les mécanismes par lesquels la pollution endommage nos cerveaux – ni comment ses effets pourraient être contrés – nous protéger exige de réduire ou d'éviter l'exposition à la pollution autant que possible.
Source : France info
LE REMEDE CONTRE LE CANCER SE TROUVE SANS DOUTE DANS LA FORET AMAZONIENNE ET ELLE DISPARAIT A UN RYTHME EFFRENE.
Jair Bolsonaro commence son règne de terreur, le nouveau président brésilien d’extrême droite, lié à l’agrobusiness a jugé la démarcation des terres indigènes surdimensionnées, elles seront dorénavant sous la tutelle du ministère de l’Agriculture, dirigé par une représentante du puissant lobby de l’agronégoce, Tereza Cristina da Costa.
L’Amazonie est un trésor, elle est un cadeau fait à l’humanité. On trouve plus de biodiversité dans un hectare de forêt amazonienne que dans toute la superficie de l’Europe.
Dans un rapport publié en août 2017, des chercheurs ont présenté près de 400 nouvelles espèces animales et végétales qui à peine découvertes périront sous les flammes et les tronçonneuses des agriculteurs brésiliens plus préoccupés à leurs profits qu’au devenir de l’humanité.
Car toucher à l’Amazonie revient à toucher à toute l’humanité.
Outre les dégâts environnementaux causés par la déforestation, les gouvernements brésiliens successifs ont permis le saccage de la plus grande pharmacopée naturelle de la planète, en effet la Forêt Amazonienne compterait jusqu’à 390 milliards de végétaux parmi lesquelles le très fameux Graviola : depuis les années 1990 de nombreuses études ont été réalisées sur cet arbre, ses feuilles et ses fruits et elles ont démontré une action anti-tumorale, à la fois in vitro sur des lignes de cellules cancéreuses, et in vivo, sur des souris. Cette propriété concerne plusieurs types de cancers, du poumon, du sein, du pancréas, du foie ou encore de la prostate. De plus, il a été montré en laboratoire que les acétogénines sont sélectives, et ne s’attaquent qu’aux cellules cancéreuses, épargnant les cellules saines.
42.510.000.000 m2 de forêt sont rasées chaque année, soit 1.350 m2 à chaque seconde, ce qui correspond à la surface d’un terrain de football toutes les 7 secondes. Cet écocide doit cesser car la déforestation de la forêt amazonienne aura des conséquences sur le réchauffement climatique de la planète. NOUS DEVONS NOUS SAUVER DE NOUS-MEMES.
Puisque le nouveau gouvernement de Jair Bolsonaro compte accélérer la déforestation et renforcer l’agrobusiness, il faut dorénavant taper là où ça fait mal : au portefeuille ! Organisons un boycott massif et à durée indéterminée de tous les produits brésiliens tant que Jair Bolsonaro n’aura pas donné des gages de respect et de protection de la plus grande forêt du monde.
Le Brésil exporte majoritairement du soja, des minerais de fer et de cuivre, de la viande de bœuf, de porc, de poulet, du pétrole, du maïs, du tabac et du café. Demandons à la France un acte fort, le boycott total de tous les produits brésiliens, demandons aux pays de l’union européenne un acte fort, demandons à tous les pays du monde un acte fort ! Isolons le Brésil sur la scène internationale, frappons l’économie brésilienne tant que le pays n’aura pas engagé une transition majeure en faveur de la protection de la forêt amazonienne.
SIGNER LA PETITION :