nature

Des dizaines de dauphins et de baleines échoués en Tasmanie

Publié le par Gerome

Des volontaires et des experts animaliers se relayaient toujours auprès d'une baleine échouée sur une plage de Tasmanie (Australie) alors qu'un échouage massif a provoqué la mort d'environ 80 dauphins et baleines, hier, sur l'île New Year. Pour la troisième journée consécutive de nouveaux animaux se sont retrouvés coincés sur le rivage.

 

baleine-echouee.jpg


Tout a commencé vendredi avec 13 dauphins retrouvés à Quarantine Bay, sur King Island. Huit d'entre eux ont pu être sauvés. Hélas, samedi, les choses ont pris une ampleur inattendue avec l'échouage de 60 baleines et 20 dauphins sur les plages de New Year Island. Seuls six dauphins et deux baleines ont pu être remis à la mer. 

Ce dimanche, une nouvelle baleine a été retrouvée sur une plage. Sauveteurs et bénévoles tentent de garder l'animal mouillé en attendant de pouvoir lui faire regagner des eaux plus profondes. 

Les habitants de la région se sont rués en masse sur les plages durant tout le weekend pour sauver ces animaux, mais l'ampleur de la tâche les a vite submergés. Tous étaient attristés de constater que peu de baleines et de dauphins avaient finalement pu être sauvés.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Les forêts britanniques menacées par un champignon dévastateur

Publié le par Gerome

Les forêts britanniques sont en état d'alerte : un champignon dévastateur importé du continent menace le pays d'un de ses pires désastres écologiques, selon des spécialistes de l'environnement.  

Le responsable de la panique qui gagne les milieux arboricoles du royaume et se propage jusqu'à la sphère politique se nomme chalara fraxinea, un minuscule champignon qui peut transmettre la chalarose. Cette maladie frappe essentiellement les frênes, entraînant nécroses et déssèchement, jusqu'à la mort des arbres.

Plus de 100 000 arbres ont déjà été abattus et brûlés pour tenter d'enrayer la dissémination du champignon. Et le gouvernement a décidé, lundi 28 octobre, un moratoire sur l'importation d'arbres en provenance du continent.
Car la "maladie des frênes" a d'abord été identifiée en Pologne, à partir de 1992, avant de se propager en Scandinavie, au Danemark, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Belgique, en Suisse, dévastant les populations de frênes du Nord de l'Europe. En France, les départements du Nord-Est et la région du Nord-Pas-de-Calais sont affectés.

Si les Anglais s'inquiètent tant pour leurs frênes, c'est qu'ils figurent dans le trio de tête des espèces les plus représentées dans les forêts de Grande-Bretagne. Surtout, leur contribution à l'écosystème est telle que leur disparition pourrait détruire les habitats de nombreuses espèces animales et végétales.

LA MENACE DE PARASITES ET DE MALADIES EXOTIQUES

Des experts craignent que cette épidémie de chalarose se révèle encore plus dévastatrice que la graphiose qui avait quasiment éradiqué les populations d'ormes de Grande-Bretagne dans les années 1960 et 1970.L'opposition travailliste a critiqué le gouvernement conservateur pour avoir tardé à interdire l'importation de frênes étrangers. La première infection a été détectée en Grande-Bretagne au mois de février, huit mois avant que le gel des importations soit décrété. Mais les professionnels britanniques de l'horticulture avaient alerté en vain les autorités dès 2009 de la menace que faisaient peser les arbres malades venus du continent. A l'époque, les travaillistes étaient au pouvoir.

Le moratoire est de toute façon peut-être inutile. Après la découverte d'arbres malades dans des forêts adultes, et non seulement chez des horticulteurs, des spécialistes s'inquiètent de ce que des spores de chalara fraxinea puissent franchir la mer portés par les vents.

Sa situation insulaire ne suffit-elle plus à protéger la Grande-Bretagne des espèces invasives ? La Commission des forêts estime que le pays "affronte un niveau sans précédent de menace due à toute une gamme de parasites et de maladies exotiques". Or le budget de la Commission des forêts a été réduit d'un quart et ses crédits de recherche d'un tiers, a rappelé la responsable de l'environnement pour l'opposition travailliste, Mary Creagh.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Toujours moins de requins dans le Pacifique, et plus dans les bols de soupe

Publié le par Gerome

Dans le Pacifique, les requins, particulièrement appréciés des amateurs de soupes, connaissent un déclin "inquiétant" en dépit des limitations de la pêche et de la découpe des ailerons, indique mercredi un étude. Le stock de requins longimanes, aux nageoires partiellement blanches, a diminué en moyenne de 17% par an de 1995 à 2010, le requin bleu, couleur de la partie supérieure de son corps, de 5%, et le requin mako, bleu nuit, de 7%, selon cette étude publiée dans la revue Conservation Biology.

 

requin.jpg

 

 

Sur la base de données collectées par des observateurs indépendants sur les bateaux de pêche dans l'ouest et le centre du Pacifique pendant 15 ans, les chercheurs montrent aussi que la taille des requins a diminué, un indicateur clé de la surpêche. Ces résultats "accentuent les inquiétudes quant à la durabilité des populations de requins dans le Pacifique", indique un communiqué. 

La chute de la population de requins longimanes représentent un "déclin sévère" pour une espèce qui ne se reproduit pas rapidement, a expliqué un des coauteurs de l'étude, scientifique spécialisée dans la pêche des requins, Shelly Clarke. "Il est également très surprenant de voir un déclin important dans la population de requins bleus qui se reproduisent relativement plus rapidement que les longimanes", a-t-elle également souligné. 

Cette recherche a été menée dans le cadre du Programme des pêcheries océaniques du Secrétariat de la Communauté du Pacifique (SPC), un organe intergouvernemental régional. L'étude indique également que l'interdiction de la découpe des ailerons à bord des navires de pêche et du rejet à la mer des animaux encore vivants, est peu respectée, et que la demande pour la viande de requins est en augmentation. 

Le requin longimane, qui vit dans les mers tropicales, est la seule espèce soumise à une limitation de la pêche dans le Pacifique. Selon le WWF, environ 73 millions de requins sont tués chaque année, principalement pour leurs ailerons qui, mijotés en soupe, sont considérés comme un mets raffiné en Asie. Hong Kong en importe environ 10.000 tonnes par an, et en ré-exporte la majorité vers le reste de la Chine, où la demande ne cesse d'augmenter. 

Le nombre d'espèces menacées de requins a augmenté de 15 en 1996 à plus de 180 en 2010. Les Etats-Unis ont interdit la découpe d'ailerons de requins dans leurs eaux en 2000. L'Union européenne a elle banni cette pratique en 2003, mais des dérogations permettent encore aux pêcheurs de débarquer les carcasses et les nageoires des requins dans des ports différents, ce qui rend les fraudes aisées. 

A la différence des autres poissons, les squales sont fragilisés par leur cycle biologique car ils n'atteignent leur maturité sexuelle qu'après une dizaine d'années et n'ont que peu de petits à la fois.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Montréal: Plus d'une centaine de poissons retrouvés morts

Publié le par Gerome

poissons-morts.jpg

 

Plus d'une centaine de poissons ont été retrouvés morts dans labaie Lavallière le 12 octobre dernier, par un pêcheur sportif. Un événement qui soulève beaucoup de questions auprès des responsables de la réserve faunique.

La Baie Lavallière, située à Sainte-Anne-de-Sorel en Montérégie, est un des plus grands marais aménagés de l'est de l'Amérique du Nord.

La découverte des poissons, pour la majorité des carpes, des brochets et d'autres sortes de poissons, a été faite par un pêcheur sportif qui se trouvait au déversoir de l'ouvrage des contrôles des eaux, entre la baie Lavallière et la rivière Yamaska, soit à la montée Saint-Joseph.

 

 

Le pêcheur a alerté immédiatement la Société d'aménagement de la baie Lavallière (SABL) qui est un organisme à but non lucratif qui a pour mission la protection et la mise en valeur de la baie Lavallière.

C'est la première fois qu'un événement de cette ampleur se produit selon son directeur, Paul Messier, qui s'est lui-même rendu sur les lieux pour constater la situation.

«Ça fait 30 ans que je travaille ici et à ma connaissance, c'est la première fois que nous voyons autant de poissons morts en même temps. Il y en avait des centaines. Nous avons fait venir des gens des ministères des Ressources naturelles et de la Faune ainsi que de l'Environnement, parce que nous ne savons pas ce qui pourrait en être la cause», mentionne-t-il.

Pollution de l'eau, déversement de produit toxique, faible niveau de l'eau, chaleur intense ou de la nourriture insuffisante? Toutes les hypothèses sont envisagées par le SABL qui s'occupe de mettre en valeur cette réserve faunique.

«Pour le moment, nous ne savons pas la raison de ce phénomène. Ce qui est sûr c'est que le problème ne semble plus être présent parce que nous n'avons pas retrouvé de poissons morts et que la barbotte ne semble pas avoir été affectée par le phénomène», mentionne M. Messier.

Du côté du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), on mentionne que le dossier est bien entre leurs mains et que des réponses devraient être données dans plusieurs semaines.

«On ne sait pas encore la cause et nous ne savons pas si des investigations plus poussées devront être réalisées. Nous sommes également pas assez avancés dans notre analyse pour donner des réponses avant plusieurs semaines», conclut la responsable des communications au MDDEP, Sophie Roy.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Un vétéran de la NASA déclare que la Terre ne peut supporter plus de 500 millions d'individus vivant à l'occidentale

Publié le par Gerome

Pour le moment, les chemtrails, la nourriture et les médicaments empoisonnés sont les solutions retenues pour la réduction à long terme de l'excèdent de population.

 

Le Dr Wayne Cecil, ex climatologue à la NASA, a affirmé récemment que la terre ne peut supporter plus de 500 millions de personnes avec l'actuel mode de vie occidental. Il a également souligné que le contrôle de la population et la gestion des ressources en eau doucedoivent être les «premières priorités mondiales».

 

foule.jpg

 

Dr Cecil, qui était un chercheur de la NASA et la National Oceanic and Atmospheric Administration, travaille actuellement pour la "National Climatic Data Center" à Ashville, en Caroline du Nord.
Le Dr. Cecil, qui se spécialise dans les données climatiques, reconnaît que la question de savoir si les humains sont responsables du changement climatique n'a pas été définitivement tranchée, il a exprimé sa crainte que «la terre ne peut supporter plus d'un demi-milliard de personnes avec un  "mode de vie axé sur la consommation" occidentale.

Le nombre de 500 millions a été fixé par deux démographes et des écologistes comme "taille de la population optimale" au cours du siècle dernier.

Cecil a déclaré à l'animateur de radio Sharon Kleyne :

«Nous pouvons prédire le temps de façon assez précise une dizaine de jours à l'avance», explique le Dr Cecil, "mais notre capacité prédire le climat sur 2 à 20 ans est moins précise. La prévision de la méteo et du climat, qui nous indique la disponibilité et la distribution de l'eau est essentielle à la production agricole, la croissance démographique à la santé et la qualité de vie. "

Le Dr Cecil a aussi parlé des signes de changements climatiques passés observés sur Mars. Comme le dr. Cecil l'a expliqué l"explorateur Curiosity a découvert un type de surface basaltique "avec une forte teneur en eau indicative d'un ancien plancher océanique. Mars montre également des signes d'érosion dus à l"écoulement d'eau écoulée et des calottes glaciaires polaires. "

Les signes précités du changement climatique ne sont probablement pas dû à l'activité humaine-et encore moins extraterrestre pour autant que l'on a pas encore observé d'usines débordant de dioxyde de carbone sur la planète rouge.

Un autre gars ex-NASA, James Lovelock a fait équipe avec les éco- facistes Ehrlich et Hansen pour appeler à une réduction massive du nombre des humains au nom de la terre. Dans un communiqué émis plus tôt cette année par les trois comparses intitulé "Environnement et enjeux de développement: la nécessité d'agir" ces démons appellent à une mise en œuvre globale des politiques de population. Pour mettre en œuvre efficacement ces politiques, les auteurs proposent que les droits fondamentaux soient violés afin de répondre à ce qu'ils appellent "le problème démographique":

"La question de la population doit être traitée d'urgence par l'éducation et l'autonomisation des femmes, y compris dans la force de travail et en matière juridique, par la propriété, l'héritage, les soins de santé des enfants et des personnes âgées;. Ainsi que par la contraception moderne et accessible à tous», écrivent-ils.

Bien sûr, nous savons parfaitement ce qu'ils entendent par «soins de santé des enfants et des personnes âgées". Nous avons récemment vu les terribles résultats des soins de santé pour les enfants dans les provinces eugénistes de la Chine.

Critiquant le fait que « le financement pour contrôle de la fécondité dans le monde entier"  ait diminué de 30% entre 1995 et 2008, notamment en raison de la pression législative de la droite religieuse aux États-Unis et ailleurs", les auteurs plaident pour "l'éducation et la planification nécessaires pour favoriser et atteindre une population humaine favorisant un mode de vie durable. "

Notre mode de vie permet une population limitée n'excédant pas 500 millions. Lovelock et co. sont moins précis sur la taille de la population optimale que son ancien collègue Cecil, ils ont juste déclaré :
"Globalement, nous devons trouver de meilleurs moyens afin de convenir et mettre en œuvre des mesures visant à atteindre des objectifs collectifs".

Enfin, dans une tournure dramatique, la bande de frères eugéniques recycle le vieux truc malthusien destiné à effrayer les enfants :

"Face à une situation d'urgence absolument sans précédent, la société n'a pas d'autre choix que de prendre des mesures draconiennes pour éviter un effondrement de la civilisation. Soit nous allons changer nos habitudes et construire un tout nouveau type de société globale, soit alors elles seront changés pour nous. "

Ces éco-fascistes ne reculeront devant rien alors qu'ils tentent de terroriser le monde en acceptant leur projet de "société globale." N'oubliez jamais que cette société n'est pas la vision pacifique d'un couple de gentils écologistes. Tous les trois se sont révélés être des eugénistes qui ne s'emparent d'une calamité (dans ce cas imaginaire) que dans le but d'établir un gouvernement mondial.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article