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Des fourmis et des hommes

Publié le par Gerome

Texte à lire avant de tuer des fourmis :

 

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On ne mesure pas la suprématie d'une espèce à son niveau technologique mais plutôt à la durée de sa présence sur terre...

Les parasites ne sont pas ceux qu'on croit.

Les fourmis sont présentes sur terre depuis 80 ou 90 millions d'années, nous, nous sommes des homo sapiens depuis 40.000 ans tout au plus et nous sommes en train de nous exterminer.

La vraie preuve d'intelligence d'une espèce est sa longévité, les fourmis ont tout vécu, des pires catastrophes climatiques, aux incendies, aux glaciations et j'en passe................et elles sont toujours là.

Elles sont les véritables témoins de l'intelligence de survie!!!

Alors avant de les exterminer, regardez plutot les singes que nous sommes!!!!!!!!!!!!!!!

Elles ont tout inventé et bien avant nous : l'agriculture, le mercenariat, l'esclavagisme, l'utilisation des drogues, des mégapoles surpuissantes et ultra-hiérarchisées....

En bons singes imitateurs nous avons simplement copié ce qui existait déjà dans la nature.

J'ai un immense respect pour les espèces animales plus vieilles que nous, car envoyer des sondes dans l'espace ne relève pas de l'intelligence mais plutôt d'un délire mégalomaniaque. On mesure l'intelligence d'une espèce à sa longue présence dans le temps et dans l'espace!!!

 

 


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Réchauffement climatique : Al Gore dénonce la politique de Barack Obama

Publié le par Gerome

Très engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique, Al Gore pointe du doigt les efforts insuffisants de Barack Obama face à la crise environnementale. L'ancien vice-président américain estime que le président américain n'a pas suffisamment agi et sensibilisé la population sur les menaces qui pèsent sur l'environnement.

 

 

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Dans un essai publié sur le site du magazine Rolling Stone, Al Gore déplore le peu d'efforts réalisés par Barack Obama en matière de lutte contre le changement climatique depuis son arrivée à la Maison-Blanche en 2009. L'ancien vice-président américain reconnaît un petit pas en avant accompli par l'administration Obama, mais le juge bien insuffisant face à l'ampleur de la crise environnementale. Le président américain "a pour l'instant échoué à utiliser le prestige de sa fonction pour appeler à agir de façon audacieuse afin de lutter contre le changement climatique" écrit Al Gore.


Pour l'ancien vice-président, qui a obtenu en 2007 un prix Nobel pour son engagement en faveur de cette lutte, Barack Obama n'a jamais clairement "exposé les Américains à l'ampleur de la crise climatique". Pourtant, "les Etats-Unis sont le seul pays à pouvoir mobiliser un effort mondial pour préserver notre avenir. Et le président est le seul qui soit capable de mobiliser les Etats-Unis" estime Al Gore.


Une prise de conscience indispensable pour l'ancien vice-président

 

Ce dernier n'attaque pas seulement la politique environnementale du président, il dénonce aussi l'inertie des médias. "Les journaux télévisés ressemblent souvent à voyage à travers l'Apocalypse", souligne Al Gore en évoquant les dévastatrices catastrophes naturelles qui s'abattent partout dans le monde. Mais les journaux "n'expliquent absolument pas comment ces événements sont liés à la crise climatique, ou bien ils écartent ce lien d'emblée car ils le jugent trop controversé" déplore-t-il.


Al Gore s'attaque aussi aux climato-sceptiques, et reproche au président Obama de ne pas avoir "défendu la science contre les attaques délétères et malhonnêtes. Et il n’a pas fourni à la communauté scientifique un forum présidentiel pour présenter au public la réalité scientifique". L'ancien vice-président américain appelle à une réelle prise de conscience des menaces qui pèsent sur l'environnement, indispensable à la mise en oeuvre d'un plan ambitieux de lutte contre le changement climatique.

 

 


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Comment gâcher moins de nourriture

Publié le par Gerome

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En moyenne, chaque Français jette 20kg de nourriture par an dont 7kg de produits encore emballés, rapportait l’agence de l’environnement et de l’énergie en avril 2011. Ce n’est bon ni pour l’environnement, ni pour nos finances!


Sur Good, Siobhan O’Connor offre une liste d’astuces pour moins gaspiller, dont voici les plus faciles à adapter en France:

1. Adhérer à une Amap, (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne), qui vous fournit un panier de produits frais –fruits, légumes, mais aussi œufs, viande, fromage… Il n’y a évidemment pas de lien immédiat entre ce panier et le fait de gaspiller moins de nourriture (surtout quand les légumes sont inhabituels…). Mais la blogueuse souligne: «Quand je suis obligée de penser aux vraies fermes avec des vrais agriculteurs qui récoltent ma nourriture, j’ai beaucoup moins tendance à la laisser se gâcher.»


2. Partager. C’est tout simple et ça vous fera des amis. Sachant qu’on ne peut tout de même pas tout apporter à ses collègues ou à ses voisins, vu que des fraises seront toujours mieux reçues que des choux de Bruxelles.


3. Jouer à Top Chef.

 Au lieu de jeter un ingrédient dont vous ne savez pas quoi faire ou que vous n’aimez pas, décidez de le garder et de trouver une façon de le cuisiner, en cherchant des recettes sur Internet ou en laissant jouer votre imagination.

 

4. Fabriquer des jus. Avant qu’ils ne pourrissent, mettez vos fruits et/ou vos légumes dans un mixer et faites-en un jus.


5. Bien stocker ses aliments: tupperware, bocaux en verre et autres sacs réutilisables permettront de prolonger la durée de vie de votre nourriture bien emballée.


6. Cuisinez-surgelez. Ça peut paraître un peu contraignant, mais vous n’êtes pas obligé de faire un plat de grand chef avant de surgeler, ça peut simplement se résumer à couper et cuire à la poêle une courgette et une tomate sur le point de prendre un coup de vieux. Laissez refroidir en faisant autre chose et hop, au congélo (ça sera bien pratique le soir où vous rentrerez sans aucune envie de faire à manger en plus).


7. Acheter plus souvent et moins. C’est ce que la blogueuse américaine appelle «faire les courses comme un Parisien» (aux Etats-Unis, surtout hors des grandes villes, la norme est plutôt aux courses pour deux semaines ou plus avec peu de produits frais). Faites des petites courses tous les jours si vous le pouvez, ou passez de une fois par semaine à deux ou trois, ça permet de mieux gérer ses stocks.


Pour plus d’idées, le site Love Food Hate Waste (J’aime la nourriture je déteste le gâchis) offre plein de conseils très pratiques, avec notamment un calculateur de portions, où l’on entre le type d’aliments qu’on cuisine et le nombre de personnes pour qui on cuisine pour obtenir la quantité de patates/brocolis/riz à utiliser. Le site propose aussi des «recettes de sauvetage» pour réussir à utiliser ses restes.


Personnellement, j’essaye de profiter du week-end pour faire un plat ou un accompagnement en grande quantité (risotto, chili, boulettes aux petits pois, bolognese ou autre), avant de le répartir dans plusieurs boîtes en plastique pour une ou deux personnes au congélateur. Très pratique (surtout dès que je commence à avoir deux ou trois plats différents pour plus de diversité) pour le reste de la semaine.

 

 


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Les désastres climatiques les plus probables

Publié le par Gerome

Depuis la disparition des forêts à la fonte des glaces de l'Arctique, le changement climatique peut affecter la planète de multiples façons. Certains de ces désastres sont plus probables et vraisemblables que d'autres. Le site américain Fast Company les a répertorié et explique quels seraient leurs mécanismes.


Il est évidemment impossible de prédire exactement quand les effets du réchauffement vont échapper à tout contrôle, mais une nouvelle étude scientifique menée par l'université d'Exeter en Angleterre montre qu'il serait possible de détecter des «points critiques» (tipping points), des petites modifications dans la mécanique du climat et l'adaptation de la planète au changement en cours qui conduisent à des bouleversements dramatiques. L'étude classe ses «points critiques» selon leur degré de probabilité. Fort heureusement, les plus probables sont les moins catastrophiques même si leurs conséquences seraient considérables.

Voilà donc ce qui nous menace dans le ciel les prochaines années dans l'ordre croissant de probabilité (du moins probable au plus probable).


La disparition de toute glace en Arctique pendant l'été


Selon l'Institut Max Planck de Météorologie, la disparition de toute glace en Arctique qui marquerait un changement irréversible du climat planétaire peut encore être empêchée si nous parvenons à ralentir la progression des émissions de gaz à effet de serre.

La disparition des forêts amazoniennes et boréales


La disparition de toute forêt majeure, pas seulement de l'Amazonie, mais aussi au nord de l'Amérique, de l'Europe et de l'Asie serait dramatique car elle se traduirait immédiatement par une augmentation de la quantité de gaz carbonique dans l'atmosphère qui est stocké par les arbres.

L'arrêt du Gulf Stream dans l'Atlantique


Dans ce scénario, la circulation des courants chauds et froids dans l'Atlantique liée aux différences de températures et de salinité de l'eau pourrait être grandement perturbée par l'écoulement d'eau froide dans l'Atlantique nord provenant de la fonte des glaces. Cela signifie que le nord de l'Europe entrerait dans un mini âge glaciaire, que le plancton serait menacé et avec lui une bonne partie de la faune de l'Atlantique.

El Niño va devenir permanent


El Niño est ce phénomène climatique particulier qui est une conséquence d'une perturbation dans la circulation atmosphérique entre les pôles et l'équateur. Il se produit de temps à autres et se caractérise par des températures anormalement élevées de l'eau dans la partie est de l'océan Pacifique sud qui ont pour effet de dérouter les cyclones tropicaux de leurs routes habituelles, et de déplacer les zones de précipitations et de sécheresse autour du Pacifique avec des conséquences dramatiques.

La fonte des glaces de l'ouest de l'Antarctique et du Groenland


Si les masses de glaces situées aux deux pôles diminuent fortement, l'effet évident sera celui d'une hausse du niveau de la mer. Cela ne signifie pas seulement que certaines régions côtières seront noyées, mais aussi que les tsunamis et autres ouragans seront nettement plus dévastateurs.

La disparition de la mousson en Afrique de l'ouest


La mousson annuelle dans l'ouest de l'Afrique sub-saharienne se produit notamment à cause des différences importantes de température et d'humidité entre la région équatoriale et le Sahara. Si ses différences se réduisent, cela signifie que la sécheresse et son corollaire la famine vont s'étendre brutalement et rapidement en Afrique de l'ouest.

 

 


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Michel Rocard s'inquiète de l'augmentation du tourisme en Antarctique

Publié le par Gerome

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Ambassadeur en charge des Pôles, Michel Rocard s'est inquiété de la mode pour le tourisme en Arctique et en Antarctique...

Les vacances dans un igloo sont à la mode, et cela inquiète l'ex-Premier ministre socialiste français Michel Rocard, ambassadeur chargé des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique. Mardi à Buenos Aires, il s’est déclaré inquiet de l'augmentation «vertigineuse» du tourisme en Antarctique. «Le problème qui pointe, c'est le tourisme: parti de zéro il y a trente ans, il atteint les 55.000 personnes par an», a déclaré à la presse Michel Rocard, qui participe dans la capitale argentine à la 34e réunion consultative sur le Traité de l'Antarctique. «Il augmente de manière vertigineuse. Or, il est polluant. Comment peut-on limiter la pollution produite par le tourisme?», a poursuivi Michel Rocard, rappelant que les limitations déjà décidées pouvaient s'avérer insuffisantes.


Elargir le nombre de pays ayant ratifié le Traité de l'Antarctique


Les signataires du Traité s'étaient notamment engagés en 2009 à limiter le nombre de personnes à terre à cent à la fois. En outre, «est-ce que la biodiversité est menacée sur telle ou telle espèce de baleines?», s'est interrogé Michel Rocard. «Il y a des pays qui continuent à braconner. Sommes-nous obligés d'augmenter le niveau de protection?».


L'ambassadeur a fait valoir que la France cherchait à élargir le nombre de pays ayant ratifié le Traité de l'Antarctique. «Il y a beaucoup de gens pour faire le pronostic que nous aurons la pression pour lever l'interdiction des activités minéralogiques en Antarctique», a prévenu l'ancien chef de gouvernement. «Si la France a entrepris le combat pour renforcer l'autorité politique du traité en élargissant le nombre de gens qui l'ont ratifié, c'est précisément pour résister à cela», a-t-il dit.


Les pays signataires doivent fêter, jeudi à Buenos Aires, les cinquante ans du traité de l'Antarctique. Un protocole au traité, relatif à la protection de l'environnement en Antarctique, avait été signé en 1991, alors que Michel Rocard était Premier ministre français. Il a fait de l'Antarctique une réserve naturelle.

 

 


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