Riti Printer : l'imprimante écolo qui imprime avec du marc de café

Publié le par Gerome

Fort de ses multiples succès commerciaux, le constructeur coréen Samsung n'hésite pas à parier sur des technologies innovantes, notamment en matière de design et d'innovation écologique.

 

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L'imprimante Riti, mise au point par Jeon Hwan Ju, illustre parfaitement les perles d'innovation technologique que peuvent engendrer la recherche et le développement à visée environnementale.


Avec le Riti Printer, on imprime sans encre, et sans électricité. Pour remplacer la première : du marc de café ou de thé, qu'il suffit de récupérer dans la cuisine et de placer dans le boîtier situé au-dessus de l’appareil. Et pour remplacer la seconde et lancer l’impression, il suffit d'insérer une feuille et de mettre en mouvement le boîtier contenant le marc. Celui-ci entraîne alors le papier par un mouvement de balancier, permettant la progression de la feuille et donc de l'impression. 

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Certes, le concept n'est pas adapté à un usage intensif, mais il peut amplement suffire à un usage domestique ponctuel. Il permet alors une fois encore de faire rimer écologie et économie, en dispensant ses propriétaires d'acheter des cartouches d'encre.

 


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Moratoire OGM - on est sur la bonne voie!‏

Publié le par Gerome

Incroyable – Presque 900 000 d'entre nous ont signé la pétition sur les OGM! L'Union Européenne nous demande plus d'informations pour que nos signatures comptent, merci de cliquer pour mettre à jour votre signature, puis faites passer le message pour atteindre 1 million!


La Commission Européenne vient d'autoriser la culture d'organismes génétiquement modifiés (OGM) dans l'Union Européenne pour la première fois depuis 12 ans!

Cédant au lobby pro-OGM, la commission a ignoré l'avis de 60% des Européens qui estiment que nous devons d'abord établir les faits avant de cultiver des plantes qui pourraient menacer notre santé et notre environnement.

Une nouvelle initiative permet à 1 million de citoyens européens de présenter officiellement des propositions de loi à la Commission Européenne. Rassemblons un million de voix pour demander un moratoire sur les plantes OGM jusqu'à ce que la recherche soit menée à terme. Cet appel sera remis au Président de la Commission Européenne Barroso. Signez la pétition et faites suivre ce message à vos amis et vos proches:

http://www.avaaz.org/fr/eu_gmo/?vl


Les associations de défense des consommateurs, de l'environnement, de la santé publique et les syndicats paysans se mobilisent depuis longtemps contre l'emprise exercée par les multinationales productrices d'OGM sur l'agriculture européenne. Les préoccupations liées à la culture de plantes génétiquement modifiées incluent: la contamination des cultures biologiques et du reste de l'environnement; l'impact sur le climat en raison d'un besoin excessif en pesticides; la destruction de la biodiversité et de l'agriculture locale; et enfin les effets des plantes OGM sur la santé.


Certains Etats membres de l'Union ont fait part de leur vive opposition à la décision prise il y a quelques jours et qui autorise la culture de la pomme de terre produite par BASF et de variétés de maïs Monsanto. L'Italie et l'Autriche s'y opposent et la France a demandé la poursuite de la recherche scientifique.

Il n'y a toujours pas de consensus quant aux effets des OGM sur le long terme. Et c'est l'industrie des OGM, faisant passer le profit avant la santé publique, qui finance la recherche scientifique et influence le cadre réglementaire. C'est pour cela que les citoyens européens réclament l'indépendance de la recherche et davantage de tests et de précautions avant que ces plantes ne soient dispersées dans la nature.

Aujourd'hui, "l'Initiative Citoyenne Européenne" donne à 1 million de citoyens européens la possibilité de soumettre à la Commission Européenne des propositions de loi et nous offre une chance unique de contrer l'influence des lobbyistes.


Faisons entendre 1 million de voix pour obtenir un moratoire sur l'introduction de plantes génétiquement modifiées en Europe et mettre en place un organisme éthique et scientifique indépendant chargé de mener à bien la recherche et la régulation des OGM. Signez la pétition maintenant et diffusez largement l'appel:

http://www.avaaz.org/fr/eu_gmo/?vl


Avec détermination,

Alice, Benjamin, Ricken, Raluca, Luis, Graziela et toute l'équipe d'Avaaz.

Plus d'information:

Dernier sondage Eurobaromètre 2008 'Attitudes des citoyens européens vis-à-vis de l'environnement', page 67:
http://bit.ly/babOiV


L'innocuité de la pomme de terre transgénique mise en cause, Le Monde :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/03/03/l-innocuite-de-la-pomme-de-terre-transgenique-mise-en-cause_1313674_3244.html


Retour sur l'autorisation de la pomme de terre Amflora, Inf'OGM:
http://www.infogm.org/spip.php?article4372


OGM et pesticides - un bilan désastreux, Greenpeace:
http://www.greenpeace.org/luxembourg/press/releases/duo-infernal-ogm-pesticide


Résumé du Rapport d'Évaluation internationale des connaissances, des sciences et des technologies agricoles pour le développement (IAASTD), incluant des préoccupations sur l'usage des OGM:
http://bit.ly/8WZb7F

 

 

Publié dans OGM j'en veux pas!

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L'équateur renonce au pétrole pour préserver sa biodiversité!!

Publié le par Gerome

Il est très rare, à notre époque de faire de tels sacrifices financiers, surtout pour un pays en voie de développement comme l'Equateur. Cette décision honore le pays et le fera briller internationalement. L'Equateur prend la pleine mesure de son rôle et de ses responsabilités car bien des pays n'auraient pas eu de scrupules et auraient préféré forer le sang de la Terre plutôt que préserver la biodiversité.

2010 est l'année de la biodiversité et l'Equateur en est le digne représentant.

VIVA ECUADOR!! ME GUSTA ESTE PAIS!

 

 

Afin de préserver la forêt amazonienne et la biodiversité qu'elle abrite, l'Équateur a choisi de renoncer à l'exploitation d'un gisement de pétrole. Un sacrifice que le pays souhaite voir financé par la communauté internationale.

 

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C'est à quelque 850 millions de barils reposant dans le sous-sol du parc Yasuni que l'Équateur a choisi de renoncer. Cette réserve s’étend sur 950.000 hectares de forêt amazonienne, et abrite une biodiversité extraordinaire. Dans ce parc vivent 2.244 espèces d’arbres, 567 espèces d’oiseaux, 105 espèces d’amphibiens, 83 espèces de reptiles, 382 espèces de poissons, plus de 100.000 espèces d’insectes, mais aussi trois peuples indigènes qui seraient chassés de leur territoire si les gisements de pétrole venaient à être exploités.


Sous ce trésor naturel reposent 20% des réserves certifiées de pétrole du pays, et leur exploitation a été évaluée à 350 millions de dollars par an, pendant 10 ans. Le président Rafael Correa propose donc aux pays industrialisés de financer la non-exploitation de ce pétrole au nom d’une dette écologique du Nord envers le Sud. Les fonds reçus seraient alors placés sur un compte bloqué dont les intérêts seraient utilisés pour financer des projets écologiques, et notamment la reforestation, mais aussi la conservation de zones protégées ou encore le développement des énergies renouvelables.


"Ce ne sont pas des aides ou des subventions que l’on demande aux pays riches. On fait appel à la responsabilité partagée. Les pays développés doivent leur expansion en partie à la destruction des ressources naturelles. Aujourd’hui, nous les invitons à participer à la préservation de la planète", a souligné Tarcisio Granizo, sous-secrétaire d’État au ministère du Patrimoine équatorien.
Le projet équatorien, en plus de protéger une zone classée par l’Unesco comme la plus grande réserve mondiale de la biosphère, permettra d'éviter l'émission de centaines de millions de tonnes de CO2.


A Copenhague, en décembre dernier, le Pnud (Programme des Nations unies pour le développement) et les représentants du projet Yasuni ont signé un accord cadre pour la création du fonds de compensation. Mais si l’Allemagne, la Belgique et l’Espagne ont assuré leur soutien à l'initiative, peu de pays ont annoncé leur participation au projet. Plusieurs États comme la Norvège, la Suisse ou la France se sont pour l'instant contentés de se déclarer "intéressés".

 

 


 


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La marée noire aux Etats-Unis : je m'exprime

Publié le par Gerome

J'ai eu quelques remarques concernant mon mutisme au sujet de la marée noire au large de la Louisiane aux USA.... "Pourquoi Notre Terre qui habituellement traite de tous les sujets sensibles, n'écrit rien, pas une ligne, pas un mot sur cette catastrophe écologique?".....

Question simple, réponse compliquée! Je pense, je dis bien je pense, car je n'en suis pas encore sûr, que j'ai fait l'autruche. C'est à dire que cette marée noire m'a énormément affecté, il n'y a pas un jour où je n'en entendais pas parler, à la radio, à la télé, sur le net, dans les journaux, dans les bistrots.

A chaque fois, c'est pour moi une souffrance de savoir que la Terre et l'humanité doivent faire face à la plus grosse marée noire de toute l'histoire, de savoir la souffrance des animaux qui meurent par milliers, de savoir la flore partiellement détruite, et les habitants complètement désemparés face à ce désastre écologique.


Et puis en plus de cette souffrance, vient la frustration de ne rien pouvoir faire, de me trouver à des milliers de bornes, assis dans mon confortable fauteuil face à mon PC alors qu'à l'heure où je vous parle des centaines de personnes s'activent à nettoyer les plages, sauver les animaux, endiguer la nappe de pétrole, boucher le trou par lequel s'échappe ce liquide visqueux.......


En effet, je pense avoir fait l'autruche : à force de trop en entendre et de trop en voir sur ce sujet, j'ai été dégoûté. Alors voilà, cet article ne résout rien, il ne sert à rien, il est d'une stérilité incommensurable, c'est un bilet d'humeur parmi des millions qui sont chaque jour rédigés dans le monde!

Allez a+! Les prochains articles seront sans doute plus instructifs et productifs que ce foutu billet.

 

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L'Europe met en place deux nouveaux instruments pour préserver la biodiversité

Publié le par Gerome

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La conférence de la Semaine verte s'est ouverte à Bruxelles mardi. A cette occasion, la Commission européenne et l'Agence européenne pour l’environnement ont présenté deux nouveaux outils visant à lutter plus efficacement contre la perte de biodiversité.


Mettre un terme à la perte de la diversité biologique en 2010. Alors qu'aucun pays n'a réussi à atteindre cet objectif fixé par l'ONU, le premier outil baptisé Bise est un système d'information européen sur la biodiversité. Il s'agit d'un nouveau portail Internet qui centralisera toute l'information concernant la biodiversité européenne, et dont le but est de résorber "les lacunes existantes dans les connaissances" sur l'état de la faune et de la flore.


Le second instrument mis en place par la Commission européenne et l'Agence européenne pour l'environnement (AEE) est un "niveau de référence en matière de biodiversité". Destiné aux responsables politiques, il fournira un tableau complet de la situation actuelle en matière d'érosion de la biodiversité. Le niveau de référence, qui devrait être opérationnel d'ici la fin de l'année, permettra d'évaluer les progrès des États membres, et de mesurer précisément les évolutions post-2010.


"La perte de biodiversité n'est pas un phénomène abstrait - le problème se pose ici et maintenant. Grâce à l'état des lieux précis qu'ils permettront d'établir, ces nouveaux instruments nous aideront à évaluer les actions entreprises et à prendre des mesures concrètes pour enrayer la perte de biodiversité, voire pour inverser la tendance dans la mesure du possible" souligne Janez Potočnik, commissaire européen chargé de l'environnement.


Comme l'explique Jacqueline McGlade, la directrice de l'AEE, il s'agit de fournir l'ensemble des connaissances, dans un langage compréhensible, concernant la perte de biodiversité et ses conséquences. Le but est d'inciter les collectivités, mais aussi les particuliers, à lutter contre cette érosion. "N'allons pas croire qu'il est possible de mettre véritablement fin au déclin de la biodiversité sans la participation effective de la société et l'engagement personnel des citoyens" insiste Jacqueline McGlade.

 

 


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