education a l'environnement

Comment consommer moins de papier

Publié le par Gerome

Pour utiliser moins de papier, il existe plusieurs stratégies :

1. Utiliser le papier de façon plus efficace

  • Imprimer et copier recto-verso
    Cette mesure peut, à elle seule, diminuer la consommation de papier de moitié ; elle est donc la première à introduire. Lors de l’achat d’une nouvelle imprimante, veillez bien à ce que cette fonction soit disponible. Réglez les photocopieuses et imprimantes pour imprimer recto-verso par défaut.

  • Police et mise en page efficaces
    En choisissant bien la police, sa taille, les marges, la mise en page et le style, vous pouvez faire des économies de papier importantes (de l’ordre de 15%). Lorsque vous décidez d’un style pour vos documents, visez donc une utilisation efficace de la page.

  • Réduire
    Les rapports, documents et textes qui sont diffusés "pour info" ou qui sont copiés "au cas où", mais dont l’utilisation est incertaine, peuvent être imprimés en taille réduite, par exemple en mettant deux pages sur une face.

  • Utiliser un papier de faible poids
    Pour les imprimés et le papier à en-tête, on utilise souvent un papier beaucoup plus épais que nécessaire. Un papier de 80g suffit largement pour la plupart des travaux d’impression. Pour les lettres d’information, pamphlets et messages dont la durée de vie est très brève, il est possible de réduire encore le grammage.

  • Correcteur d’orthographe
    Stimulez le plus possible la vérification de l’orthographe sur ordinateur  ; cette mesure peut réduire considérablement le nombre d’impressions d’essai.

  • Aperçu avant impression
    Bien vérifier le document et sa mise en page via « l’aperçu avant impression » peut vous faire gagner du temps et du papier. Souvent, on imprime des pages internet entières. La mise en page du document imprimé est parfois différente de celle du document à l’écran. En vérifiant l’aperçu, vous pouvez voir combien de pages seront imprimées et quelle sera la mise en page. Vous pouvez également voir si le texte ne déborde pas de la page ou si les lignes ne sont pas coupées ; si c’est le cas, adaptez le format du papier via le bouton "mise en page" de l’aperçu.

  • Réutiliser le papier imprimé recto uniquement
    Vous pouvez réutiliser le papier dont vous n’avez plus besoin et qui n’est imprimé que d’un côté. Vous pouvez fabriquer vous-même des blocs de brouillon. Il est possible également de remplir un tiroir de l’imprimante ou de la photocopieuse avec des feuilles imprimées d’un côté si elles ne sont pas abîmées. Affichez des instructions claires près de l’appareil.

2. Réduire la quantité utilisée

  • Réduire le tirage
    Souvent, le nombre de photocopies est surestimé ou le tirage d’un imprimé est calculé avec une marge trop importante. Essayez d’estimer le plus précisément possible le nombre d’exemplaires à prévoir.

  • Grouper
    Au lieu de donner un message à chaque collègue, il est possible d’utiliser des tableaux d’affichage ou des valves. Ainsi, une seule copie suffit. Il est parfois envisageable de faire circuler les documents à lire, éventuellement dans une farde.

  • Nettoyer les fichiers d’adresses
    Faites régulièrement une mise à jour de vos fichiers d’adresses pour les envois sur papier ; vous économiserez non seulement sur le papier mais aussi sur les frais postaux.


3. Remplacer le papier par un autre support

A première vue, l’ordinateur, l’e-mail, l’internet et l’intranet semblent favoriser les économies de papier. Mais dans la réalité, l’utilisation de ces technologies modernes produit exactement le résultat inverse : nous communiquons plus (nous échangeons plus de messages et de documents) et puisque nous n’aimons pas lire des textes à l’écran, nous imprimons une grande partie de ces documents électroniques.

 


Pourtant, l’informatique peut diminuer la montagne des déchets de papier ; il suffit de l’utiliser avec bon sens. Les conseils suivants pourront vous aider :

  • E-mail au lieu du courrier sur papier
    En plus d’être rapide, le courrier électronique ne consomme pas de papier du tout. Mieux encore, les émissions sont réduites puisque aucun transport n’a lieu pour l’envoi du message.

  • Relire et corriger à l’écran
    Plusieurs fonctions du traitement de texte (suivi des modifications, surlignage, commentaire) permettent de corriger un document sans l’imprimer. Relire à l’écran peut être moins pénible si l’on pense à faire un zoom avant sur le document (par exemple 150%). Comme la lecture prolongée de documents à l’écran peut être fatigante pour les yeux, il faut s’assurer de bien régler l’écran et le fond d’écran. Ainsi, la plupart des traitements de texte permettent de choisir un fond plutôt gris au lieu de blanc.

  • CD-RW et clés USB
    N’oubliez pas d’utiliser des CD ou des clés USB pour donner un document à quelqu’un si l’utilisation du courrier électronique ou internet ne sont pas possibles. Si la personne en question n’imprime pas le document, aucun papier n’aura été utilisé. Utilisez chaque fois que possible des CD-RW (CD réinscriptible).

  • Ordinateur
    Évitez d’imprimer des documents que vous avez sur votre ordinateur. Il n’est pas toujours nécessaire d’avoir une copie papier. Un système de classement logique vous aidera à retrouver rapidement vos documents.

  • Arrêter les abonnements
    Vérifiez si vous n’êtes pas abonné à des publications que vous pouvez consulter via internet. Si oui, vous pouvez considérer de résilier votre abonnement papier.

  • Utiliser l’ordinateur comme fax
    Certains programmes de courrier électronique peuvent envoyer et recevoir des fax via le modem.

  • Intra- et internet
    Utilisez le serveur de messagerie pour les messages internes. C’est la solution idéale pour les messages que tous les travailleurs doivent recevoir, mais qui ne seront pas lus par tous.

Évidemment, ces mesures auront un impact uniquement si les documents ne sont ni imprimés ni photocopiés par après.

 

 

4. Mesures psychologiques

  • Enregister la consommation de papier
    Simplement enregistrer de façon systématique la consommation de papier peut la faire diminuer. Enregistrez combien de paquets de papier vous utilisez à l’imprimante et/ou la photocopieuse. Pour ce dernier appareil, un simple compteur n’est pas suffisant, car celui-ci compte le nombre de copies et non pas le nombre de feuilles utilisées.

  • Emplacement de la photocopieuse
    Installez la photocopieuse à un endroit visible et fréquenté ; cela aidera à éviter les abus.

  • Instructions
    Affichez des instructions claires près de la photocopieuse. Cela incitera les utilisateurs de réduire ou d’imprimer recto verso. En plus, vous réduirez le nombre de photocopies ratées.

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Education à l'environnement : le moulin à eau

Publié le par Gerome

Public ciblé : 6-12 ans

Durée : une matinée en petit groupe (il faut au moins deux animateurs)

Lieu : en extérieur

Déroulement : fabrication en intérieur puis activité à l'extérieur

Expérimentation autour de l'eau : une activité simple et ludique à faire pour partir à la découverte de l'eau et retrouver le plaisir de partager avec votre enfant une activité de toujours.

Les apports du bricolage

    * Découvrir la force hydraulique
    * Redécouvrir les jeux de toujours
    * Découvrir ou redécouvrir la pérennité
    * Développer sa curiosité
    * Développer sa créativité

Fournitures :

    * Une baguette de bois
    * Deux branches en forme de fourche
    * Un bouchon de liège
    * De la colle forte
    * De fines planchettes de cageot
    * Un couteau ou cutter à manier par l'adulte
    * Un ruisseau
    * Un tire-bouchon

 Réalisation du moulin à eau

    * Expliquez à votre enfant que ce jeu est vieux comme le monde !

    * Avec votre enfant :
          o Percer le bouchon de liège en son centre à l'aide du tire-bouchon.
          o Couper 6 ou 8 rectangles dans les planchettes de cageot. Les pales doivent être de taille équivalentes et de la même largeur que la longueur du bouchon.

Découper des entailles régulièrement espacées dans la rondelle de bouchon. Il vous faut autant d'entailles que de pales.

Coller une pale dans chaque entaille.

# Laisser sécher.
# Glisser le bouchon sur la baguette de bois.

# Planter les 2 branches en forme de fourche dans le sol de chaque côté du ruisseau. Les fourches doivent pointer vers le haut.
# Poser la roue sur les fourches et laisser faire la force du courant !



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Education à l'environnement : le four solaire

Publié le par Gerome

La cuisine solaire est une charmante alternative aux méthodes conventionnelles de cuisine. Les fours solaires disponibles aujourd'hui fonct ionnent vraiment et méritent une sérieuse évaluation de la part d'une beaucoup plus grande audience. Pendant 40 ans, des petits groupes de personnes ont utilisé et amélioré quelques très bonnes conceptions. Mais , pour la plupart, ces conceptions sont passées inapperçues même par ceux impliqués dans l'énergie alternative. Avec un tel manque d'appui, vous pouvez penser qu'elles ont disparues depuis longtemps. Mais non.


Public ciblé : 9-12 ans


Durée : une matinée


Lieu : dehors au soleil (évitez quand même les zones trop sèches, on ne sait jamais)





Matériel

1 caisse en polystyrène (type caisse de poissonnerie)
du papier aluminium
1 barquette alimentaire en aluminium (plat cuisiné)
1 plaque de verre de la taille de la barquette alimentaire
1 plaque de verre de la taille de la caisse en polystyrène
du soleil !

Préparation :

   
Placez la feuille d'aluminium de façon à ce que la feuille recouvre entièrement la caisse de polystyrène.

Placez la barquette alimentaire en aluminium au centre de la caisse et y mettre un  aliment, comme un œuf frais.

Repositionnez le papier d'aluminium de la caisse de façon à former une pyramide inversé.

Recouvrir la barquette de la plaque de verre, ainsi que la caisse en polystyrène.

Utilisation :

Placez le tout sur un terrain dégagé en plein soleil, orienté vers celui-ci et en n'oubliant pas de modifier sa position toute les dix minutes.
Surveillez la cuisson et bon appétit.

Fonctionnement :

Les infrarouges des rayons du soleil sont concentrés vers l'aliment, aidés par la propriété de réflexion du papier aluminium. De cette façon, la chaleur augmente dans le "four " et chauffe l'aliment ... mais ça prend plus de temps qu'un four traditionnel.


La bouilloire solaire : je doute que l'on puisse réaliser cela en centre de loisirs mais ça donne un aperçu de ce que l'on peut fabriquer avec le même principe.

Pour terminer voici une très bonne vidéo explicative :



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Animation d'éducation à l'environnement : la mare

Publié le par Gerome

Créer et gérer une mare

Public ciblé : 6-18 ans

Lieu : dans la nature c'est mieux, de préférence sur un terrain appartenant au centre de loisirs avec l'accord du responsable.

Durée : comptez une bonne semaine pendant des vacances scolaires ou 7 mercredis.

Période : printemps ou fin de l'hiver.


Un jardin naturel, ou plus précisément un jardin sauvage, est un type de jardin différent fondamentalement des jardins habituellement aménagés par le genre humain, qui, s'ils ont le mérite d'être souvent ordonnés mais aussi quelque peu aseptisés, n'ont que peu d'intérêts pour la faune et la flore locale.

Or, lentement mais surement, la place accordée à la vie sauvage dans le monde moderne se rétrécie comme un peau de chagrin. Sous la pression des activités humaines, les écosystèmes sont de plus en plus menacés de modifications drastiques, parfois même de disparition pure et simple.

Le jardin naturel est donc de façon générale un jardin dans lequel la sauvegarde de la nature joue un rôle majeur. Il reproduit à son échelle les milieux naturels locaux (le biotope) afin d'offrir un refuge à la vie sauvage, animale et végétale. Il est utile de souligner l'importance qu'occupent les végétaux indigènes puisqu'ils servent à leur tour de support à la faune locale.
Pour de plus amples informations, notamment sur les questions d'aménagement et d'entretien du jardin sauvage.



Les problèmes à resoudre pour la création d'une mare sont les mêmes quelque soit la technique employée. Les différentes techniques consistent simplement à fabriquer un bassin plus ou moins étanche à l'eau, qui puisse être rempli d'eau de manière naturelle ou humaine et qui limite les effets de l'évaporation par les apports de la pluie, au travers d'un bassin hydrologique (toit, pelouse, prairie...).

Je vais développer ici la technique des mares en dur, celle des mares naturelle avec étanchéité à l'argile, avec étanchéité par une bâche en plastique, ainsi que les "mares" hors sol : bacs, abrevoirs, auges...

Attention, la réalisation d'une mare n'est pas toujours couronnée de succès. Faites bien attention à bien définir votre projet et de ne pas écouter ce que vous disent les commerçants seulement intéressés de vendre du matériel. Il est nécéssaire de déterminer l'usage que vous voulez faire de votre plan d'eau, la surface de celui-ci, le coût de construction et d'entretien que vous pouvez accorder. Il arrive parfois que l'eau ne reste pas dans la mare. c'est souvent dû à une trop petite taille du bassin hydrographique d'alimentation en eau, mais parfois aussi à une mauvaise étanchéité de la mare.
L'eau peut aussi parfois ne rester qu'une partie de l'année, à cause d'un manque de pluie et de l'évaporation. On a alors à faire à une mare temporaire, souvent très riche du point de vue biologique. Ne considérez pas la création d'une mare temporaire comme un échec. Vous pourrez peut être y découvrir des espèces extrêmement rares... Mais vous n'aurez pas de poissons.


Créer une zone humide présente de nombreux avantages comme on peut le voir sur ce dessin. Une mare favorise la reproduction, c'est également un réservoir de biodiversité où chaque être vivant peut trouver sa nourriture.

Les mares en dur.

Il est possible de créer une mare en dur avec des matériaux tels que la brique et le béton. Cette technique est néanmoins coûteuse et difficile à mettre en oeuvre. Le résultat est normalement durable mais peut parfois s'avérer très éphémère. Il est en effet difficile de créer une structure en béton qui soit étanche.

Ces bassins servent souvent de bassins à poissons rouges dans les jardins. Ils peuvent aussi servir de réserve d'eau en collectant par exemple l'eau d'une toiture. Cette eau pourra servir par exemple à arroser les jardin, les pelouses, servir d'eau au nettoyeur haute-pression, de réserve d'eau en cas d'incendie.

Je ne conseille pas cette méthode pour plusieurs raisons :
- Les bords verticaux empêchent l'installation de plantes indispensables à l'équilibre écologique. Les joncs, iris, roseaux et compères fournissent nourriture et cachettes à de nombreux organismes.
- Son rendement écologique n'est pas bon (utilisation du béton, obligation de démolition et non de déconstruction, possibilité d'un résultat éphémère.
- L'esthétique du résultat n'est pas terrible...
- Le béton a une influence importante sur la composition de l'eau, et peut ainsi influencer les espèces présentes dans le milieu.

Les mares naturelles.

Dans certaines conditions, il est possible de profiter d'une mare naturelle. Il faut néanmoins réunir certaines caractéristiques.

Utilisation de la nappe phréatique.

Il se peut que dans votre région, la nappe phréatique soit très proche du sol. La création de la mare est un jeu d'enfant : il suffit de creuser un trou de la taille et de la forme désirée pour avoir de l'eau.

Utilisation d'un filet d'eau.

Il est possible qu'un filet d'eau coule sur le terrain. Des mares naturelles sont alors tout à fait envisageables. il suffit de creuser la terre et de se servir du déblai pour créer une petite digue. Ces mares s'apparentent un lac de barrage, mais d'un aspect beaucoup plus naturel.
Ce type de mare a beaucoup été utilisé dans le passé, en particulier pour la pisciculture (élevage de carpes, tanches...) Ces mares ont le grand avantage de pouvoir être vidangées, ce qui permet la récupération des poissons et empêche la prolifération des indésirables comme le poisson chat ou la perche soleil.
Ces mares détournent un cours d'eau et sont donc interdite de création, sous peine de lourde amende.

Utilisation de l'argile naturelle.

Pour étanchéifier naturellement un terrain, on peut tout simplement utiliser de l'argile, qui est un étanchéifiant naturel. C'est cette technique qui a été utilisé dans le passé pour créer la plupart des mares.
L'eau d'alimentation provient simplement de la pluie et du ruissellement, parfois de la récupération de l'eau d'un toit. Une telle mare va peut être perdre un peu plus d'eau qu'une autre totalement étanche. Ainsi, le bassin de ruissellement devra-t-il être un peut plus grand.
L'argile devra être épandue sur toute la surface sur une épaisseur de 20 à 30 cm pour assurer l'étanchéité. Cette argile sera damée vigoureusement sur toute la surface. Les bords devront être en pente douce pour éviter que les vagues ou les canards ne viennent éroder la couche d'argile. Les berges verticales ont tendance à s'effondrer, permettant ainsi à l'eau de s'infiltrer dans les terrains avoisinants.
Il est important de mettre en eau rapidement pour éviter la détérioration de l'argile par les plantes et les galeries de rongeurs.
L'intérêt d'une telle mare est bien sûr son esthétique exceptionnelle, c'est une vraie mare naturelle. L'argile est un matériau auto réparateur, qui va permettre une longévité importante à la mare. La faune et la flore y seront exceptionnellement riches.

On peut utiliser une bâche en plastique mais je ne le recommande pas.

Plus petit ?

Il est aussi possible de créer une mare plus petite, avec un grand aquarium en extérieur, une grande bassine en tôle, un toneau coupé en deux ou récipient quelconque. Le résultat est moins esthétique, mais il tient sans problème sur un balcon. Avec un peu de chance, vous pourrez quand même observer le développement de nombreux insectes, plantes et gastéropodes. Mais dans ce cas, les batraciens ne seront pas au rendez-vous.
Le récipient sera obligatoirement rempli avec de l'eau de pluie (non calcaire) et il faudra amener la vie (plantes et gastéropodes).


Caractéristiques techniques :



 
Tableau 1 : caractéristiques des différents matériaux d'imperméabiliation
(adapté à la brochure "Refuges naturel" - RNOB, 1991)
Matériau
Prix
Résistance
Pose
Réparation
Type de mare
Défauts
Avantages
Argile
(10-20 cm)
Faible
Faible
(fissuration !)
Facile
Facile
Mares de toutes taille
Lourd à manipuler
Envahissement par les plantes
Aspect naturel
Bâche en PVC
(0,5-2 cm)
Abordable
Grande mais attention aux objets pointus
Facile
Facile avec colle spéciale
Mare de tailles moyennes et marécages
Surface lisse (glissement de terre)
Meilleur rapport qualité/prix
Bâche en caoutchouc butylé
Elevé
Très grande
Facile
Facile avec matériel adapté
Grandes mares ou étangs
Difficile à trouver dans le commerce
S'adapte à toutes les formes
Bac préformé en plyester renforcé
Cher
Très grande
Facile
Possible
Petites mares
Forme rigide
Berges raides et lisses

 

Fond rigide en polyester et fibre de verre
Le plus cher
Très grande
Délicate
Possible
Mare stable pour des années
Dégagements de produits toxiques lors de la réalisation
Grande liberté dans la forme
Fond rigide en béton armé
Très cher
Très grande
Délicate
Possible
Mare stable
"à vie"
Indestructible
Réalisation lourde
Grande liberté dans la forme

 

 

 

 
Tableau 2 : principales caractéristiques des plantes des milieux humides
(adapté de la brochure "Refuges naturels" - RNOB, 1991)
Catégorie
écologique
Nom français
Nom latin
Particularités & intérêts
Transplantations
Plantes submergées
Callitriche
Ceratophylle
Elodée
Myriophylle
Callitriche sp
Ceratophyllum demersum
Elodea canadensis
Myriophyllum spicatum
Oxygénante
Oxygénante
Oxygénante
Oxygénante
Bouture
Bouture
Bouture
Bouture
Plantes flottantes
Lentille d'eau
Nénuphar jaune
Lemna minor
Nuphar lutea
Couvrante
Couvrante, esthétique
Plant
Plant
Plantes semi-aquatiques
Iris jaune
Massette
Plantain d'eau
Potamot nageant
Roseau commun
Rubanier rameux
Sagittaire
Iris pseudacorus
Typha angustifolia
Alisma plantago-aquatica
Potamogeton natans
Phragmites australis
Sparganium erectum
Sagittaria sagittifolia
Elevée, esthétique
Envahissante, esthétique
-
Esthétique
Envahissant, esthétique
-
Esthétique
Rhizome
Rhizome
Plant
Plant
Bouture tige
Plant
Bouture
Plantes des berges et des rives marécageuses
Angélique
Epilobe hérissée
Eupatoire chanvrine
Glycérie aquatique
Jonc épars
Laîche des marais
Lysimaque vulgaire
Menthe aquatique
Myosotis des marais
Populage
Reine-des-prés
Salicaire commune
Scrophulaire ailée
Valériane rampante
Angelica sylvestris
Epilobium hirsutum
Eupatorium cannabinum
Glyceria maxima
Juncus effusus
Carex acutiformis
Lysimachia vulgaris
Mentha aquatica
Myosotis scorpioides
Caltha palustris
Filipendula ulmaria
Lythrum salicaria
Scrophularia umbrosa
Valeriana repens
Elevée, mellifère
Elevée, esthétique (rose)
Elevée, esthétique (rose)
-
-
-
Elevée, esthétique (jaune)
Basse
Basse, esthétique
Bas, esthétique (jaune or)
Elevée, esthétique (beige)
Elevée, esthétique (violet)
Elevée
Elevée, esthétique (rose)
Graines
Div. souche
Div. touffe
Graines
Div. souche
Div. souche
Div. souche
Div. souche
Plant
Rhizome
Graines
Plant
Div. souche
Div. souche





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