Le maïs transgénique MON810 reste autorisé en France
Le gouvernement français est la prostituée des etats-unis, de l'entreprise monsanto, de l'agriculture intensive et de la globalisation. alain juppé est un beau parleur, un menteur, un mercenaire à la solde de l'impérialisme américain. Ce gouvernement est âgé d'un peu plus d'un mois et il est déjà putréfié et corrompu, il a de plus râté son premier test en matière d'environnement. Se prononcer en faveur du maïs monsanto MON810 est une hérésie, une pure folie, c'est une insulte à la Nature et à la santé humaine. Les allemands ont eu une fois de plus, plus de bon sens que les français en interdisant cette aberration de la Nature.
Comment est-il possible d'autoriser un tel fléau? Le maïs MON 810 est une bombe à retardement, de part sa déficience, il libère beaucoup plus de toxines que prévu et met en danger direct les cultures saines à proximité, les abeilles perdent leur fertilité et leurs larves sont en train de mourir.
C'est une catastrophe et il faut impérativement qu'on aille faucher ces champs qui représentent une grande menace pour la Nature et pour l'homme. Les agriculteurs qui cultivent ce maïs sont des idiots irresponsables qui veulent faire du bénéfice au détriment de notre santé. Ce n'est pas ça être paysan.
Je ne suis pas surpris par une telle décision, ce gouvernement n'a rien dans le pantalon, il préfère courtiser monsanto et mettre en danger la population.
Ha! Il était convaincant juppé en disant qu'il avait pris conscience de l'urgence environnementale et qu'il avait eu une illumination lors de son séjour au Québec! Il a bien berné son monde le crâne d'oeuf!
Un gouvernement qui délaisse autant la protection de la Nature et qui autorise les OGM devrait immédiatement démissioner et les chefs d'inculpation sont nombreux.
Il est parfaitement inadmissible de mélanger la politique et les affaires et de faire des OGM un business. Il est du devoir de nos dirigeants d'assurer notre bien-être et notre sécurité alimentaire, sociale, médicale et de créer un environnement favorable à l'épanouissement des citoyens en privilégiant la sauvegarde de la Nature. Quiconque manque à ces devoirs les plus élémentaires ne mérite pas de rester au pouvoir.
Comment est-il possible d'autoriser un tel fléau? Le maïs MON 810 est une bombe à retardement, de part sa déficience, il libère beaucoup plus de toxines que prévu et met en danger direct les cultures saines à proximité, les abeilles perdent leur fertilité et leurs larves sont en train de mourir.
C'est une catastrophe et il faut impérativement qu'on aille faucher ces champs qui représentent une grande menace pour la Nature et pour l'homme. Les agriculteurs qui cultivent ce maïs sont des idiots irresponsables qui veulent faire du bénéfice au détriment de notre santé. Ce n'est pas ça être paysan.
Je ne suis pas surpris par une telle décision, ce gouvernement n'a rien dans le pantalon, il préfère courtiser monsanto et mettre en danger la population.
Ha! Il était convaincant juppé en disant qu'il avait pris conscience de l'urgence environnementale et qu'il avait eu une illumination lors de son séjour au Québec! Il a bien berné son monde le crâne d'oeuf!
Un gouvernement qui délaisse autant la protection de la Nature et qui autorise les OGM devrait immédiatement démissioner et les chefs d'inculpation sont nombreux.
Il est parfaitement inadmissible de mélanger la politique et les affaires et de faire des OGM un business. Il est du devoir de nos dirigeants d'assurer notre bien-être et notre sécurité alimentaire, sociale, médicale et de créer un environnement favorable à l'épanouissement des citoyens en privilégiant la sauvegarde de la Nature. Quiconque manque à ces devoirs les plus élémentaires ne mérite pas de rester au pouvoir.
Le maïs transgénique MON810 de Monsanto, dont l'utilisation est suspendue en Allemagne, continuera d'être cultivé en France et d'y être vendu pour l'alimentation animale, ont décidé jeudi les ministres de l'Ecologie Alain Juppé et de l'Agriculture Christine Lagarde.
Cette décision suit un nouvel avis de la Commission du Génie Biomoléculaire (CGB) qui "relève qu'il n'y a pas à ce jour d'éléments de nature à remettre en cause l'évaluation environnementale de ce maïs", c'est-à-dire qu'il est jugé inoffensif pour les animaux et les autres cultures, selon un communiqué commun des deux ministres.
Le maïs concerné est autorisé depuis près de dix ans (depuis 1998) à la culture commerciale dans l'Union européenne. La CGB avait déjà examiné le dossier en avril 1996 et exprimé alors un avis favorable.
Le MON810 vise à protéger les cultures de la pyrale du maïs, une sorte de papillon dont les larves se nourrissent de l'intérieur des tiges de la plante.
En France, environ 30.000 hectares de cette variété sont cultivés, selon les déclarations de semenciers recoupées par les ONG.
Le nouvel avis de la CGB avait été demandé le 24 mai, après la décision des autorités allemandes de suspendre leurs importations de ce maïs OGM.
M. Juppé et Mme Lagarde ont "pris acte de l'avis rendu par la CGB", tout en assurant qu'ils feront preuve d'une "grande vigilance sur la manière dont sont conduites en France les cultures d'organismes génétiquement modifiés".
Le 25 mai, M. Juppé avait indiqué au Parisien qu'il pourrait décréter un moratoire sur le MON810. "L'Allemagne vient de suspendre l'autorisation du MON810. Dans ce cas précis il faut s'inspirer du cas allemand", avait-il dit.
Mme Lagarde avait nuancé ces propos peu après en estimant qu'il ne fallait "pas se précipiter. Il faut se donner le temps de la réflexion".
Greenpeace avait affirmé attendre "une décision qui fera figure de premier test de l’engagement écologiste du gouvernement".
"Le risque du MON810 est totalement indéterminé, sur la chaîne alimentaire et sur les écosystèmes. Les études totalement insuffisantes de toxicité manquent absolument de pertinence", avait alors indiqué Arnaud Apoteker, responsable des campagnes OGM de l'ONG.
Jeudi, M. Apoteker a réagi à la décision gouvernementale en dénonçant "les lobbies de l'agriculture intensive" qui ont selon lui "plus de poids que la protection de l'environnement".
A propos de l'étude commandée par Greenpeace qui révélerait l'existence d'éléments nouveaux concernant le MON810, Monsanto France avait suggéré à l'organisation "de la soumettre aux autorités réglementaires et scientifiques françaises ou européennes" car "la variabilité de plante à plante est un phénomène banal dans les systèmes biologiques, l'environnement ayant naturellement un effet sur les organismes vivants et sur leur métabolisme".
La possibilité d'un moratoire avait aussi déclenché la colère des producteurs de maïs.
"C'est une affaire politique, on n'est plus dans la rationalité. La rationalité devrait au contraire permettre d'accélérer le mouvement en faveur des OGM car l'Europe va perdre sa compétitivité vis-à-vis des Etats-Unis", avait affirmé à l'AFP Christophe Terrain, président de l'Assemblée générale des producteurs de maïs (AGPM).
AFP
Cette décision suit un nouvel avis de la Commission du Génie Biomoléculaire (CGB) qui "relève qu'il n'y a pas à ce jour d'éléments de nature à remettre en cause l'évaluation environnementale de ce maïs", c'est-à-dire qu'il est jugé inoffensif pour les animaux et les autres cultures, selon un communiqué commun des deux ministres.
Le maïs concerné est autorisé depuis près de dix ans (depuis 1998) à la culture commerciale dans l'Union européenne. La CGB avait déjà examiné le dossier en avril 1996 et exprimé alors un avis favorable.
Le MON810 vise à protéger les cultures de la pyrale du maïs, une sorte de papillon dont les larves se nourrissent de l'intérieur des tiges de la plante.
En France, environ 30.000 hectares de cette variété sont cultivés, selon les déclarations de semenciers recoupées par les ONG.
Le nouvel avis de la CGB avait été demandé le 24 mai, après la décision des autorités allemandes de suspendre leurs importations de ce maïs OGM.
M. Juppé et Mme Lagarde ont "pris acte de l'avis rendu par la CGB", tout en assurant qu'ils feront preuve d'une "grande vigilance sur la manière dont sont conduites en France les cultures d'organismes génétiquement modifiés".
Le 25 mai, M. Juppé avait indiqué au Parisien qu'il pourrait décréter un moratoire sur le MON810. "L'Allemagne vient de suspendre l'autorisation du MON810. Dans ce cas précis il faut s'inspirer du cas allemand", avait-il dit.
Mme Lagarde avait nuancé ces propos peu après en estimant qu'il ne fallait "pas se précipiter. Il faut se donner le temps de la réflexion".
Greenpeace avait affirmé attendre "une décision qui fera figure de premier test de l’engagement écologiste du gouvernement".
"Le risque du MON810 est totalement indéterminé, sur la chaîne alimentaire et sur les écosystèmes. Les études totalement insuffisantes de toxicité manquent absolument de pertinence", avait alors indiqué Arnaud Apoteker, responsable des campagnes OGM de l'ONG.
Jeudi, M. Apoteker a réagi à la décision gouvernementale en dénonçant "les lobbies de l'agriculture intensive" qui ont selon lui "plus de poids que la protection de l'environnement".
A propos de l'étude commandée par Greenpeace qui révélerait l'existence d'éléments nouveaux concernant le MON810, Monsanto France avait suggéré à l'organisation "de la soumettre aux autorités réglementaires et scientifiques françaises ou européennes" car "la variabilité de plante à plante est un phénomène banal dans les systèmes biologiques, l'environnement ayant naturellement un effet sur les organismes vivants et sur leur métabolisme".
La possibilité d'un moratoire avait aussi déclenché la colère des producteurs de maïs.
"C'est une affaire politique, on n'est plus dans la rationalité. La rationalité devrait au contraire permettre d'accélérer le mouvement en faveur des OGM car l'Europe va perdre sa compétitivité vis-à-vis des Etats-Unis", avait affirmé à l'AFP Christophe Terrain, président de l'Assemblée générale des producteurs de maïs (AGPM).
AFP