Greenpeace publie la carte des surfaces OGM
La majeure partie du maïs OGM est cultivée dans le Sud Ouest, en région Aquitaine et Midi-Pyrénées. Les départements de Haute-Garonne et du Tarn-et-Garonne sont les plus touchés. Ils cultivent chacun plus de 2 000 hectares de maïs OGM, ce qui menace de contamination les productions de qualité sous label et d'agriculture biologique.
L'OGM cultivé dans les champs est le maïs MON810, de Monsanto, génétiquement modifié pour produire un insecticide et résister à la pyrale du maïs, un insecte ravageur.
Face aux dangers sanitaires et écologiques que représente cet OGM, de plus en plus de pays européens (récemment l'Allemagne) ont pris un moratoire sur sa culture. En France, 86 % des citoyens* demandent une interdiction temporaire ou définitive des cultures en plein champ d'OGM. Pourtant, le gouvernement se refuse à prendre un moratoire sur le MON810.
En vue du Grenelle de l'environnement, Greenpeace demande donc au gouvernement d'agir fermement pour protéger l'environnement et l'alimentation des risques transgéniques en instaurant un moratoire immédiat sur la culture du maïs transgénique MON810 et en réalisant la récolte préventive des 20.000 ha déjà plantés.
« C'est la seule façon d'éviter la pollution génétique des cultures voisines et ce sera certainement moins onéreux que de faire face aux multiples contentieux de contamination des champs non OGM », selon Arnaud Apoteker (source : site Greenpeace France).

L'OGM cultivé dans les champs est le maïs MON810, de Monsanto, génétiquement modifié pour produire un insecticide et résister à la pyrale du maïs, un insecte ravageur.
Face aux dangers sanitaires et écologiques que représente cet OGM, de plus en plus de pays européens (récemment l'Allemagne) ont pris un moratoire sur sa culture. En France, 86 % des citoyens* demandent une interdiction temporaire ou définitive des cultures en plein champ d'OGM. Pourtant, le gouvernement se refuse à prendre un moratoire sur le MON810.
En vue du Grenelle de l'environnement, Greenpeace demande donc au gouvernement d'agir fermement pour protéger l'environnement et l'alimentation des risques transgéniques en instaurant un moratoire immédiat sur la culture du maïs transgénique MON810 et en réalisant la récolte préventive des 20.000 ha déjà plantés.
« C'est la seule façon d'éviter la pollution génétique des cultures voisines et ce sera certainement moins onéreux que de faire face aux multiples contentieux de contamination des champs non OGM », selon Arnaud Apoteker (source : site Greenpeace France).
