OGM : l'Italie interdit la culture du MON810 pour 18 mois

Publié le par Gerome

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Le 12 juillet 2013, les ministres italiens de l'Agriculture, Nunzia De Girolamo, de la Santé, Beatrice Lorenzin, et de l'Environnement, Andrea Orlando, ont interdit par décret la culture du maïs génétiquement modifié MON810, pour une période de 18 mois, rapporte Inf'OGM.

Le décret, qui vient d'être notifié à la Commission européenne, s'appuie sur l'article 34 du règlement 1829/2003, qui permet à un État membre de prendre des mesures "lorsqu'un produit autorisé (…) est, de toute évidence, susceptible de présenter un risque grave pour la santé humaine, la santé animale ou l'environnement", explique Inf'OGM, précisant que l'argumentaire de l'Italie s'appuie sur des études montrant des impacts négatifs sur la biodiversité, les organismes aquatiques, et les systèmes agraires.

Neuf Etats membre ont déposé une mesure d'urgence ou une clause de sauvegarde : Allemagne, Autriche, Bulgarie, France, Grèce, Hongrie, Italie, Luxembourg et Pologne.

 

 


Publié dans OGM j'en veux pas!

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Des arbres centenaires d'Amazonie rasés pour la visite du pape

Publié le par Gerome

UNE INFO A FAIRE CIRCULER D'URGENCE

 

 

 

Les autorités du Brésil ont qualifié l'attitude des dirigeants de l'Eglise comme criminelle après avoir abattu plus de 300 arbres centenaires dans un parc national de manière à ce que les pèlerins puissent célébrer la messe lors de la visite du Pape à Rio de Janeiro, prévue à la fin du mois.

 

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Les organisateurs de l'événement, qui aura lieu dans le diocèse de Sao Sebastiao de Itaipu, dans la ville de Niteroi, ont affirmé qu'il avait été nécessaire de raser une partie de la forêt tropicale afin de pouvoir accueillir environ 800 pèlerins. Au total, ce sont 334 arbres centenaires, situés à l'orée du parc national Serra da Tiririca et sur des terres appartenant à l'Eglise, qui ont été abattus.

Pour l'adjoint au maire de Niteroi, Axel Grael, l'Eglise n'avait pas reçu la permission de déboiser ces terres. "C'est une attitude lamentable. Un événement qui vise les jeunes doit être éducatif et montrer un engagement pour l'environnement et l'avenir". Même son de cloche à l'Institut pour l'environnement où Andre Ilha déclare: "Cette déforestation est un acte criminel" et de confirmer que cette destruction n'a jamais été autorisée.

"La zone détruite servait de zone tampon au parc Tiririca. Nous n'aurions jamais autorisé ces abattages. Il s'agit d'un fragment de la forêt tropicale de l'Atlantique qui est en voie de disparition. Nous comptons bien les poursuivre en justice". Face aux critiques, le diocèse aurait proposé de replanter des arbres, mais le mal est fait.

Ce n'est pas la première fois que les organisateurs de la Journée mondiale de la jeunesse sont critiqués pour leur mépris de l'environnement. Il y a quelques jours, une pétition a circulé pour éviter la suppression de 11 cocotiers situés au bord de la plage de Leme, où le pape doit célébrer une messe. L'autorisation avait été accordée, mais après le tollé engendré, le maire de Rio, Eduardo Paes, a fait marche arrière.

 

 


Publié dans Nature

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La Twizy électrique de Nissan

Publié le par Gerome

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Le partenaire de Renault a annoncé qu’il préparait une voiture électrique aux caractéristiques proches de celle de la Twizy – alors qu’il dispose déjà d’une version rebadgée du Twizy appelée New Mobility Concept

Cette micro-citadine électrique serait munie d’une carrosserie fermée, à l’image de celle du Land Glider dévoilé par Nissan en 2008. Etienne Henry, le chef de projet stratégique de Nissan a déclaré au site internet Automotive News Europe :«le futur véhicule combinera la compacité d’une moto et la protection aux intempéries qu’offre une voiture.»

 

Ce dernier aspect étant absent de la feuille de route qui amena la production de la Twizy, ce qui ne l’a pourtant pas empêché de très bien se vendre. La petite française commercialisée exclusivement en Europe a trouvé davantage d’acquéreurs (9.000) que la Mitsubishi i-MiEV électrique dans le monde (8.000) l’année dernière. Un signe qui ne trompe pas notamment grâce a un prix de vente de 8.000 euros minimum la mettant en concurrence directe avec des scooters tels que le sécurisant « trois-roues » Piaggio MP3.

 

Des nouveautés ne devraient pas tarder à voir le jour


Pour mémoire, la Twizy peut emmener ses occupants à 80 km/h sur près de 100 km dans sa version la plus dynamique. Ce sera sans doute également le cas du futur véhicule de Nissan qui pourrait s’inspirer de cet engin étonnant dévoilé en 2008, le Land Glider avec sa capacité a s’incliner dans les virages. La Twizy qui dispose d’une longueur d’avance va sans doute devoir affronter une forte concurrence dans son secteur car Nissan n’est pas seul en piste. On se souvient de la présentation de l’i-Road de Toyota au dernier salon de Genève. Ce modèle, lui aussi entièrement fermé subira un test grandeur nature dès l’année prochaine avec l’intégration de plusieurs prototypes d’i-Road au service de voitures en libre-service de Grenoble. Le marché des micro-citadines électriques en est à ses débuts mais les bonnes ventes de la Twizy ne manqueront pas de donner des idées aux constructeurs!

 

 


l'évolution climatique était très lente. Hors, on constate à présent une accélération du réchauffement de la planète. Et le risque pour les espèces vivantes réside justement là, dans cette accélération. Le rythme du changement est trop brutal pour pouvoir s'y adapter. C'est ce que démontre l'étude réalisée par le professeur John Wiens de l'Université de l'Arizona. Les changements climatiques ne sont pas des phénomènes nouveaux. La Terre dans son histoire a effectivement connu de grands bouleversements climatiques. Cependant, ils étaient jusqu'alors "naturels" (éruptions volcaniques, collisions de grosses météorites, etc...). Or, le principal responsable aujourd'hui des perturbations majeures du climat, c'est l'homme. Pour satisfaire la demande toujours plus importante de notre société de consommation, pour produire sans cesse de l’énergie, l'être humain à besoin de brûler une quantité considérable de matière carbone. Résultat : une libération massive dans l'atmosphère de gaz qui ont pour effet de réchauffer notre planète. Depuis 200 ans, ces activités humaines toujours plus nombreuses ont causé une augmentation inquiétante de ces gaz à effet de serre, ce qui cause un réchauffement anormal.
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/extinction-masse-en-vue-tres-grand-nombre-especes-pourrait-disparaitre-ici-2100-en-raison-dereglement-climatique-alexandre-hassa-787680.html#2Ihb2jwH0HprycAI.99
Une étude réalisée par John Wiens de l'université de l'Arizona a montré que certaines espèces animales ne pourront pas s'adapter et s'éteindront. En cause : la rapidité du réchauffement climatique.
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Une étude réalisée par John Wiens de l'université de l'Arizona a montré que certaines espèces animales ne pourront pas s'adapter et s'éteindront. En cause : la rapidité du réchauffement climatique.
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Une étude réalisée par John Wiens de l'université de l'Arizona a montré que certaines espèces animales ne pourront pas s'adapter et s'éteindront. En cause : la rapidité du réchauffement climatique.
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Une étude réalisée par John Wiens de l'université de l'Arizona a montré que certaines espèces animales ne pourront pas s'adapter et s'éteindront. En cause : la rapidité du réchauffement climatique.
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Publié dans Les bonnes nouvelles

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Cinq fois plus de pesticides autorisés dans l’eau du robinet depuis un an ! En toute discrétion

Publié le par Gerome

Ne le lisez pas trop fort, ça risquerait de s’ébruiter : En catimini, en février 2011, le ministère de la Santé a décidé de multiplier par 5 la concentration maximale autorisée pour les pesticides dans l’eau du robinet. Désormais à consommer avec modération.

 

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C’est l’association Générations Futures, ONG spécialisée dans la question des pesticides, qui a levé le lièvre le 7 février 2012, dans une indifférence médiatique totale.

 

Depuis 1998, un avis du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France (CSHPF) tenait lieu de réglementation. Dans une transposition quelque peu olé-olé de la directive européenne 98/83, le CSHPF avait en effet décidé que l’eau ne devait « pas être utilisée, ni pour la boisson, ni pour la préparation des aliments » si un pesticide s’y trouvait à une quantité supérieure à 20% d’une valeur répondant au doux nom de « valeur sanitaire maximale » (VMax, définie par divers organismes : OMS, EFSA, AFSSA…). Une interprétation qui dépassait déjà largement les normes européennes.

Les pesticides, c’est bon… buvez-en !

 

La « nouveauté », c’est qu’en février 2011, une instruction de la Direction Générale de la Santé (DGS, dépendant du ministère de la Santé), passée totalement inaperçue jusque là, a tout chamboulé. Sans tambour ni trompette, le ministère s’est donc jeté à l’eau et a décidé de porter les « seuils de potabilité » à 100% de la VMax. Soit une multiplication par 5 des seuils en vigueur ! Défoliant Décoiffant !

 

« Autrement dit : on va tolérer dans de très nombreuses localités des quantités de pesticides dans l’eau 5 fois plus importantes qu’avant décembre 2010 ! » déclare François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. « Ainsi pour un pesticide comme le folpet, pourtant classé cancérigène probable aux Etats-Unis, on va maintenant tolérer jusqu’à 300 μg/l pendant plus d’un mois alors qu’auparavant on ne pouvait dépasser les 60 μg/l pendant la même durée ! » fulmine-t-il.

 

Le ministère de la Santé en eaux troubles…

 

Autre conséquence de cette nouvelle mesure sanitaire : la baisse artificielle du nombre de personnes concernées par une présence excessive de pesticides nécessitant une restriction d’utilisation de l’eau. On est ainsi passé de 34 300 personnes touchées par ces restrictions en 2009 à une estimation de 8 939, selon les chiffres du ministère ! De la belle ouvrage…

 

« Cette amélioration en trompe l’oeil n’est due qu’à une manipulation des valeurs de pesticides acceptées dans l’eau et pas à une véritable amélioration de la situation » proteste François Veillerette qui voit là « la preuve que les autorités publiques ont renoncé à améliorer la situation en changeant les pratiques agricoles en profondeur mais préfèrent changer les graduations du thermomètre que de faire vraiment baisser la fièvre !« …

 

Et bientôt, au fil de l’eau, il suffira d’arroser son jardin pour le désherber ? On n’arrête pas le progrès…

 

Publié dans Nutrition & Santé

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Des résidus de pesticides dans les fraises vendues en France

Publié le par Gerome

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Spécialisée dans la question des pesticides, l'association Générations futures a révélé, mardi 9 juillet, les résultats d'une enquête montrant que les fraises d'origine espagnole ou française vendues en France comprennent dans plus de deux tiers des cas (71,42 %) des résidus de produits phytosanitaires ayant une activité de perturbateur endocrinien (PE).

De telles substances, susceptibles d'interférer avec les mécanismes hormonaux, sont présentes dans 65,38 % des échantillons produits en France et dans 78,26 % de ceux en provenance d'Espagne, selon les analyses effectuées par le laboratoire belge Fytolab. De plus, deux échantillons français sur 26 (soit 7,69 %) et deux échantillons espagnols sur 23 (soit 8,69 %) contenaient un pesticide interdit en Europe depuis au moins six ans. Trois autres échantillons français (11,53%) et deux autres échantillons espagnols (8,69%) contenaient des substances autorisées dans le pays mais pas sur la fraise.

"PRENDRE DES MESURES IMMÉDIATES ET FORTES"

Ces données sont rendues publiques alors que le ministère de l'écologie français a mis en place, en février, un groupe de travail destiné à l'aider à définir, pour le mois de juillet, sa stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE). "Nous alertons nos dirigeants sur la nécessité de prendre des mesures immédiates et fortes pour réduire l'exposition des populations aux pesticides PE et d'adopter une stratégie nationale sur les PE ambitieuse ", déclare François Veillerette, porte-parole de Générations futures.

L'association, qui participe au groupe de travail, salue les avancées du texte en cours de validation. Elle s'inquiète cependant de dispositions prévoyant de pouvoir " réviser les critères d'exclusion " de certaines substances, retirées du marché après une "étude d'impact " prenant en compte les "conséquences en matière de protection de la santé, de l'environnement ainsi que de substances actives disponibles. " Selon elle, ce serait un recul par rapport au règlement européen de 2009, "qui se base sur la dangerosité intrinsèque des pesticides reconnus PE".

Publié dans Nutrition & Santé

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