Le LI-FI, la technologie qui va enterrer le WIFI (et supprimer les ondes nocives)

Publié le par Notre Terre

 

 

Développé en France par la start-up Oledcom, le LiFi (Light-Fidelity) est un nouveau moyen d’envoi de données numériques d’une source à signaux lumineux à un terminal informatique, la technologie a été présentée lors de l’évènement Web2012 tenu à paris.

 

Le système se base sur le même principe de transmission en langue morse, il utilise la lumière LED pour acheminer les informations numériques, il fonctionne à une vitesse imperceptible par l’œil humain, la technologie transmette les données en s’allumant et s’éteignant pour créer un flux binaire de 1 et 0, le LiFi marche qu’avec les ampoules à diode électroluminescente (LED), il sera une vraie alternative aux ondes électromagnétiques du WiFi puisqu’il est à 80% plus économique, il peut atteindre un débit de 1 Gbit et peut être accessible gratuitement.

 

La technologie LiFi est pour le moment en phase d’essai et d’étude, elle est aussi expérimentée au Japon et aux États-Unis, la technologie à modulation d’intensité lumineuse a été standardisée au niveau international sous la norme IEEE 802, Oledcom espère commercialiser une lampe diffusant de la musique en 2013 avant de commencer la propagation d’internet par le réseau électrique en 2014.

 

Le LiFi a un usage multiple, il peut être utilisé comme un système d’interactivité dans les musées, un système de connectivité dans les trains et aux transports en commun, il peut à l’aide de la lumière diffuser du son et des vidéos partout où il est actif, le LiFi est surement la prochaine révolution d’accès à internet dans le monde et sera l’étape à franchir pour rendre le web plus disponible et gratuit.

 

 


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"Il était une Forêt"

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À travers son nouveau film, Luc Jacquet nous emmène dans un extraordinaire voyage au plus profond de la forêt tropicale, au cœur de la vie elle-même. Sa rencontre avec le botaniste Francis Hallé a donné naissance à ce film patrimonial sur les ultimes grandes forêts tropicales, sanctuaires de la biodiversité planétaire. De la première pousse à l’épanouissement des arbres géants de la canopée, en passant par le développement des liens cachés entre plantes et animaux, ce ne sont pas moins de sept siècles qui s’écoulent sous nos yeux. IL ÉTAIT UNE FORÊT offre une plongée exceptionnelle dans ce monde sauvage qui reste dans son état originel en parfait équilibre et où chaque organisme – du plus petit au plus grand – joue un rôle essentiel.

 

 


 


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La carte qui dévoile l'étendue de la déforestation sur la planète

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Des chercheurs ont utilisé des données du satellite Landsat pour mettre au point, pour la première fois, une carte interactive de la déforestation dans le monde. Une carte qui donne un aperçu de l'ampleur du phénomène.

Accrochez vous...


 

 


 

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La Commission autorise la mise sur le marché de onze produits issus d’OGM

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L’exécutif européen donne son feu vert à la commercialisation de onze nouveaux produits génétiquement modifiés. Des lacunes dans l’évaluation des risques sont toutefois pointées par certains spécialistes.
Trois décisions de la Commission européenne autorisant la mise sur le marché de dix produits contenant des organismes génétiquement modifiés (OGM) et du pollen produit à partir du maïs MON810 sont parues au Journal officiel de l’UE ce mercredi 13 novembre 2013. Ces décisions ont été prises par l’exécutif européen le 6 novembre dernier.

« La décision d’autoriser d’un coup dix PGM ( Plantes génétiquement modifiées ) et le calendrier de vote inhabituellement serré (moins de six mois) que la Commission européenne a suivi confirment que la dynamique d’autorisations d’OGM en masse pour l’alimentation humaine et animale est (re)lancée« , réagit l’association Inf’OGM, qui estime que l’adoption en juin dernier du nouveau règlement sur les risques sanitaires permettrait à la Commission « de se sentir les mains libres pour relancer les procédures d’autorisation de la cinquantaine de PGM en attente« .

Autorisation du pollen issu du MON810

La première décision autorise le pollen produit à partir du maïs MON810 de la société Monsanto pour l’alimentation humaine. L’Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) avait estimé en décembre 2012 que la modification génétique du MON 810 ne constituait pas un risque supplémentaire pour la santé.

La question du miel contaminé par ce pollen autorisé serait juridiquement réglée à la condition de respecter les règles d’étiquetage.

Dix plantes génétiquement modifiées autorisées

Deux autres décisions autorisent la mise sur le marché de produits contenant des maïs génétiquement modifiés pour l’importation et l’alimentation humaine ou animale au bénéfice des sociétés Monsanto et Dow AgroSciences. La première concerne le maïs MON89034 X 1507 X MON88017 X 59122 et huit de ses sous-combinaisons. La deuxième porte sur le maïs MON89034 × 1507 × NK603, dit « maïs Smartstax ».

L’Efsa avait rendu un avis favorable en septembre 2010 sur ces deux maïs estimant qu’ils étaient aussi sûrs que leur pendant non modifié génétiquement pour ce qui est des effets potentiels sur la santé humaine et animale ou sur l’environnement. L’Agence sanitaire avait également estimé « qu’aucune raison d’ordre biologique ne donn[ait] à penser que l’une des sous-combinaisons issues de cet empilement d’événements de transformation et présentes dans [leur] descendance en ségrégation pourrait susciter des préoccupations sanitaires par rapport aux usages prévus« .

Dans un avis complémentaire rendu en novembre 2011 suite à une demande de la Commission, l’Efsa avait estimé « peu probable » qu’une quelconque combinaison des événements des deux maïs « puisse avoir des effets néfastes sur la santé humaine et animale ou sur l’environnement, dans le cadre des usages prévus« .

Un point de vue non partagé par certains spécialistes. Inf’OGM rapporte que l’association allemande Testbiotech a dénoncé des lacunes dans l’évaluation des risques du maïs SmartStax. « Des cas d’insectes ayant développé des résistances aux protéines insecticides exprimées ont par ailleurs été rapportés par le Pr. Tabashnik« , ajoute l’ONG, selon laquelle la société Syngenta a admis elle-même de telles résistances en en faisant un argument de vente d’un insecticide contre la chrysomèle.

 

 


Publié dans OGM j'en veux pas!

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Un iceberg de la taille de Manhattan dérive dans l'Antarctique

Publié le par Notre Terre

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Un iceberg géant dérive depuis plusieurs jours dans l'Antarctique, et pourrait constituer une menace pour la navigation, ont annoncé jeudi 14 novembre des chercheurs britanniques chargés de le surveiller et de prédire sa trajectoire.
 

"Un iceberg de la taille de Manhattan pouvant constituer une menace pour les voies de navigation est en train d'être surveillé par une équipe de chercheurs de l'université de Sheffield afin d'éviter qu'il ne constitue une menace", indique l'université dans un communiqué diffusé sur son site internet.


La masse de glace, de la taille de l'arrondissement new-yorkais de Manhattan, s'est détachée début juillet du glacier de Pine Island, situé dans l'ouest de l'Antarctique. Mais il ne dérive que depuis "une ou deux semaines" dans l'Atlantique, à la faveur du printemps austral.

"La raison principale pour laquelle nous surveillons cet iceberg c'est qu'il est très grand, indique l'un des chercheurs. Un iceberg de cette taille peut dériver vers le nord pendant un an ou plus et se retrouver près de routes maritimes dans l'océan Austral."


 POTENTIEL DANGER POUR L'ENVIRONNEMENT


A cause de sa grande taille, cet iceberg pourrait avoir un impact sur l'environnement lors de sa fonte, estime le professeur Grant Bigg :

"Si l'iceberg reste autour des côtes de l'Antarctique, il va fondre tout doucement et rajouter beaucoup d'eau douce au courant côtier, altérant la densité et la vitesse de celui-ci. (...) De la même manière, s'il devait se déplacer vers le nord, il fondrait plus rapidement et pourrait altérer la circulation des courants en créant une couche d'eau douce au-dessus de l'eau de mer plus dense."

Bien que cet iceberg ne soit pas assez grand pour avoir seul un impact "important" sur l'environnement, "si ces événements devenaient plus fréquents, ils pourraient conduire à une accumulation d'eau douce aux conséquences durables", précise le professeur.


Des icebergs de la taille de celui qui dérive actuellement se détachent de glaciers en moyenne une fois tous les deux ans dans le monde. Mais c'est la première fois que l'un d'entre-eux est surveillé de près afin de prédire sa trajectoire, assure l'université de Southampton.

 

 


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