le solaire c'est l'avenir

Solar PV Atlas : Un rapport édifiant sur l’énergie solaire

Publié le par Notre Terre

panneau-solaire-photovoltaique-450x450

 

Le WWF (World Wild Fund for Nature) s’est associé à First Solar, 3TIER et Fresh Generation pour élaborer un rapport intitulé « Solar PV Atlas: l’énergie solaire en harmonie avec la nature”, qui montre au travers de plusieurs cas que moins de 1% de toute la surface au sol serait requise pour répondre à 100% de la demande projetée à l’horizon 2050, si seule la production d’électricité photovoltaïque (PV) devait être sollicitée.


Une rencontre a été organisée à Rabat le mardi 22 octobre dernier, lors de laquelle les représentants de WWF et de First Solar ont présenté le rapport «Atlas Solaire PV », établit par le WWF, qui met en lumière l’impact environnemental fort limité de la ressource PV, tout en soulignant le rôle de la société civile dans le développement de l’énergie photovoltaïque au Maroc.  L’objectif de la rencontre est également de  s’associer aux efforts du WWF au Maroc pour une meilleure compréhension d’un des grands enjeux nationaux actuels, qu’est la production d’électricité solaire PV à grande échelle, ses avantages économiques, environnementaux et sociaux, et de viser par la suite une adhésion et une appropriation de cette source d’énergie déjà fort populaire dans le monde.

Actuellement au Maroc, le WWF travaille notamment sur les aspects liés à la gestion intégrée des ressources en eau et dans le renforcement des capacités des organisations de la société civile.

En 2008, le WWF a promu et anime depuis lors une plateforme d’une vingtaine d’ONG marocaines le « Groupe de Travail sur la Politique Européenne de Voisinage » (GdT PEV Maroc WWF). Sa présence sur l’ensemble du territoire marocain assure la représentation d’un très large éventail de la société civile. Une de ses activités est le plaidoyer en faveur du rôle de la société civile dans les politiques liées à l’eau, l’environnement et au développement durable, dans lequel l’énergie constitue un enjeu essentiel. Et cela au niveau national, régional et international.

La rencontre s’est également basée sur l’activité de First Solar – qui a déployé 8.000MW de centrales PV dans le monde, sur la base d’une technologie PV avancée, dite à « couches minces ».

Bien connue depuis des décennies pour des usages à petite échelle dans des zones isolées, l’électricité solaire photovoltaïque (PV) représente désormais une alternative compétitive et abondante, en particulier au Maroc où l’électricité est issue en grande partie d’origine fossile. Le solaire photovoltaïque est une nouvelle solution qui présente des atouts clefs, dont une indépendance par rapport aux prix des combustibles, une diversification du mix énergétique, une très faible empreinte CO2, un temps de retour énergétique court, et un faible usage de la surface nationale.

Une rencontre a été organisée à Rabat le mardi 22 octobre dernier, lors de laquelle les représentants de WWF et de First Solar ont présenté le rapport «Atlas Solaire PV », établit par le WWF, qui met en lumière l’impact environnemental fort limité de la ressource PV, tout en soulignant le rôle de la société civile dans le développement de l’énergie photovoltaïque au Maroc.  L’objectif de la rencontre est également de  s’associer aux efforts du WWF au Maroc pour une meilleure compréhension d’un des grands enjeux nationaux actuels, qu’est la production d’électricité solaire PV à grande échelle, ses avantages économiques, environnementaux et sociaux, et de viser par la suite une adhésion et une appropriation de cette source d’énergie déjà fort populaire dans le monde.

Actuellement au Maroc, le WWF travaille notamment sur les aspects liés à la gestion intégrée des ressources en eau et dans le renforcement des capacités des organisations de la société civile.

En 2008, le WWF a promu et anime depuis lors une plateforme d’une vingtaine d’ONG marocaines le « Groupe de Travail sur la Politique Européenne de Voisinage » (GdT PEV Maroc WWF). Sa présence sur l’ensemble du territoire marocain assure la représentation d’un très large éventail de la société civile. Une de ses activités est le plaidoyer en faveur du rôle de la société civile dans les politiques liées à l’eau, l’environnement et au développement durable, dans lequel l’énergie constitue un enjeu essentiel. Et cela au niveau national, régional et international.

La rencontre s’est également basée sur l’activité de First Solar – qui a déployé 8.000MW de centrales PV dans le monde, sur la base d’une technologie PV avancée, dite à « couches minces ».

Bien connue depuis des décennies pour des usages à petite échelle dans des zones isolées, l’électricité solaire photovoltaïque (PV) représente désormais une alternative compétitive et abondante, en particulier au Maroc où l’électricité est issue en grande partie d’origine fossile. Le solaire photovoltaïque est une nouvelle solution qui présente des atouts clefs, dont une indépendance par rapport aux prix des combustibles, une diversification du mix énergétique, une très faible empreinte CO2, un temps de retour énergétique court, et un faible usage de la surface nationale.

- See more at: http://actuwiki.fr/3/39270/#sthash.JMt5WlmI.dpuf
Partager cet article

L'Inde va construire la plus grande centrale solaire du monde

Publié le par Notre Terre

cellule-photovoltaique-polymere.jpg

 

Développée conjointement par le gouvernement et des entreprises publiques, la nouvelle centrale sera installée au cœur du Rajasthan et produire 4.000 MW d’énergie propre pour l’ouest du pays.


Dans sa première phase, qui verra le jour en 2016, la centrale génèrera déjà 1.000 MW, soit déjà dix fois plus que les centrales solaires présentes jusqu’à présent dans le pays. Aux côtés du gouvernement, cinq sociétés nationales sont impliquées dans le projet : BHEL, Powergrid Corporation, Solar Energy Corporationof India, Hindustan Salts et Rajasthan Electronics & Instruments Limited.


Ce projet est annoncé peu de temps après celui du conglomérat Tata qui a de son côté prévu de construire une centrale à charbon d’une capacité similaire. Contrairement à cette dernière, la centrale solaire se nourrit d’une énergie naturelle et renouvelable et ne devra pas importer du charbon, particulièrement polluant pour fonctionner. Quoiqu’il en soit, il est nécessaire pour l’Inde de s’équiper de centrales électriques pour satisfaire les besoins d’une population qui croit à un rythme toujours très rapide. C’est une bonne nouvelle que le gouvernement s’engage dans des projets comme celui-ci.

 

En parallèle l'Inde a testé au mois d'août dernier sa première centrale solaire flottante.


L’Inde, qui compte plus d’un milliard d’habitants, assure 81,2% de sa production d’électricité grâce aux énergies fossiles qui sont la source principale des émissions mondiales de CO2. Selon l’Observatoire des Energies renouvelables, l’Observ’ER, la production indienne de charbon a été multipliée par 4.8 depuis les années 1980. Mais le gouvernement indien s’engage en faveur des énergies renouvelables.

 

Ainsi, dans l’optique de développer la part de l’énergie d’origine photovoltaïque, des universitaires de Calcutta ont mis au point un prototype de centrale solaire flottante. Cette solution innovante, déjà utilisée dans le monde et qui est en Inde encore en phase de recherche, apporte notamment des solutions face au manque d’espace terrestre pour implanter les panneaux solaires dans certaines régions.

 

 


Partager cet article

Des panneaux photovoltaïques imprimés à la vitesse de l’éclair

Publié le par Gerome

Grâce à une nouvelle imprimante, une équipe de scientifiques australiens est parvenue à imprimer des panneaux photovoltaïques souples de la taille d’une feuille A3, à raison d’une cellule solaire toutes les deux secondes.


Panneaux-solaires-imprimes.jpg

 

Une technique simple

« Nous utilisons les mêmes techniques que celles que l’on utiliserait pour imprimer une image en sérigraphie sur un T-shirt », explique le coordinateur du projet et chercheur à l’Université de Melbourne, David Jones. Les cellules solaires sont directement imprimées avec des encres semi-conductrices sur des supports fins et souples en plastique ou en acier. La simplicité de la technique et la rapidité et l’ampleur de la production des panneaux solaires offrent de multiples possibilités.


Une multitude d’applications

« Il existe tant de choses que l’on peut faire avec des panneaux de cette taille », se réjouit le spécialiste des matériaux Scott Watkins. « Nous pouvons les intégrer aux panneaux publicitaires, aux éclairages et à d’autres éléments interactifs. Nous pouvons même les insérer dans les housses d’ordinateurs portables afin d’offrir une alimentation de secours à l’appareil qu’elles contiennent. »

« Nous envisageons qu’un jour [ces panneaux] seront stratifiés aux fenêtres qui couvrent les gratte-ciels », ajoute Jones. « En imprimant directement sur des matériaux comme l’acier, nous serons également en mesure d’intégrer les cellules aux matériaux de toiture. »


Les cellules photovoltaïques organiques, qui produisent entre 10 et 40 watts d’électricité par mètre carré, pourraient également être utilisées pour améliorer l’efficacité des panneaux solaires en silicium. « Les différents types de cellules captent la lumière depuis différentes parties du spectre solaire. Plutôt que de se faire concurrence, ces technologies sont donc en réalité très complémentaires », déclare Watkins.


L’Australie à la pointe de la technologie solaire

Les scientifiques prévoient que le futur bouquet énergétique mondial dépendra de nombreuses sources d’énergies non conventionnelles. Pour Watkins, l’Australie se doit donc de développer de nouvelles technologies qui permettent en particulier de profiter de son ensoleillement. De nouvelles installations devraient bientôt faire du site du projet l’une des plus grande imprimerie de panneaux solaires au monde.

 

 


Partager cet article

Relance de la filière photovoltaïque : 1000 mégawatts de projets solaires en France dès 2013

Publié le par Gerome

Des mesures d’urgence avec les nouveaux tarifs pour le photovoltaïque ont été publiées au journal officiel ce matin. Objectif : relancer la filière photovoltaïque française

  1. Télécharger le dossier de presse (pdf)

 

A l’occasion de la visite de l’entreprise MPO, fabricant de cellules photovoltaïques, en Mayenne, le 7 janvier 2013, Delphine Batho avait présenté des mesures d’urgence pour la filière photovoltaïque.


Conformément aux décisions prises dans le cadre de la conférence environnementale des 14 et 15 septembre derniers, les mesures présentées visent à atteindre le développement annuel d’au moins 1000 mégawatts de projets solaires en France en 2013. Soit un doublement des volumes cibles qui était de 500 mégawatts par an.

Double objectif : réorienter la politique de soutien vers la mise en place d’une filière industrielle durable créatrice de valeur ajoutée sur le territoire national, permettant de réduire le déficit commercial du secteur solaire qui est estimé à 1,35 Mds € en 2011 ; et s’inscrire dans la perspective du "patriotisme écologique" pour que le développement des énergies renouvelables soit un facteur de compétitivité et de créations d’emplois.


Le gouvernement agit sur les deux mécanismes de soutien


Le dispositif de soutien au photovoltaïque fait appel à deux mécanismes distincts suivant la puissance de l’installation :

  • des appels d’offres pour les installations sur bâtiments de plus de 100 kilowatts crêtes (kWc) et les centrales au sol ;
  • des tarifs d’achats, ajustés chaque trimestre, pour les installations sur bâtiments de moins de 100 kWc (seuil équivalent à une surface de 1 000 mètres carrés de panneaux photovoltaïques).

Le schéma ci-dessous présente le détail de ces deux mécanismes et les nouvelles cibles annuelles correspondantes.

 

dispositif-de-soutien-photovoltaique-03.jpg

 

Grandes installations : soutien aux technologies françaises innovantes

La ministre a transmis à la Commission de régulation de l’énergie (CRE) les conditions du prochain appel d’offres pour les grandes installations photovoltaïques (d’une puissance supérieure à 250 kilowatts). Cet appel d’offres, d’un volume de 400 mégawatts, sera destiné à parts égales :

  • Aux technologies innovantes : photovoltaïque à concentration et photovoltaïque avec suivi du soleil
  • Aux technologies matures sur ombrières et sur toitures.

Concernant les centrales au sol, l’appel d’offres privilégiera le développement sur des sites dégradés (friches industrielles, anciennes carrières ou décharges etc.) pour éviter les conflits d’usage notamment avec les terres agricoles.

L’appel d’offres valorisera la compétitivité-coût des projets proposés, mais aussi leur contribution à la protection de l’environnement et du climat ainsi qu’à la recherche, au développement et à l’innovation. Ces critères ont vocation à soutenir la filière solaire française dans un contexte de concurrence déloyale.



Un second appel d’offres sera lancé au cours de l’année 2013, ciblant notamment d’autres technologies innovantes dans le domaine solaire.


Installations de taille moyenne : évolution des critères de l’appel d’offres


Delphine Batho a décidé de la suite à donner à l’appel d’offres automatique dédié aux installations sur toiture d’une puissance comprise entre 100 et 250 kilowatts. Les résultats des premières périodes ayant été peu satisfaisants en termes de retombées industrielles, cet appel d’offres sera poursuivi avec des conditions améliorées pour un volume global de 120 MW sur un an, répartis en trois tranches de 40 mégawatts. Outre le prix, l’appel d’offres accordera désormais une attention particulière à la contribution des projets à la protection du climat en intégrant un critère d’évaluation carbone du processus de fabrication des modules photovoltaïques.

Petites installations : bonification du tarif d’achat en fonction du lieu de fabrication

La ministre a également signé les arrêtés tarifaires pour les petites installations sur toiture (d’une puissance jusqu’à 100 kilowatts), entérinant le doublement des volumes cibles de 200 à 400 mégawatts par an :

  • La grille tarifaire sera simplifiée pour mettre fin à la distinction faite entre installations selon l’usage du bâtiment
  • Les tarifs d’intégration simplifiée au bâti seront augmentés de 5%.
  • Tous les projets pourront bénéficier d’une bonification supplémentaire allant jusqu’à 10% en fonction du lieu de fabrication des modules photovoltaïques pour prendre en compte les différences de coût observées.
  • Le tarif T5 dédié aux autres installations sera baissé de 20% mais également assorti de la bonification d’au plus 10%, afin de privilégier le développement des installations créatrices d’innovation et de développement local.

L’ensemble de ces mesures génèrera des investissements de plus de 2 milliards d’euros et permettra la création ou le maintien d’environ 10 000 emplois. Leur coût annuel pour la collectivité est maîtrisé et estimé entre 90 et 170 millions d’euros, soit environ 1€ à 2€ par an en moyenne par ménage.

 


Un travail à court et moyen terme va être engagé avec les acteurs de la filière sur l’amélioration du financement des entreprises, la structuration de la chaîne de valeur, l’innovation et les choix technologiques du prochain appel d’offres. Un répertoire des entreprises industrielles de la filière photovoltaïque française sera mis en ligne le 1er février afin de faciliter l’information du grand public.



Enfin, le débat national sur la transition énergétique permettra de définir un cadre prévisible, stable et durable pour le développement de l’énergie solaire et des autres énergies renouvelables dans la perspective de l’objectif fixé par le Président de la République à l’horizon 2025.

 


Partager cet article

Ouverture de la centrale solaire géante de Shams 1 aux Emirats

Publié le par Gerome

centrale-solaire-emirats.jpg

 

Les Emirats arabes unis (EAU) ont inauguré dimanche la plus grande centrale solaire concentrée au monde, dont la mise en service est présentée comme une étape clé dans le développement des énergies renouvelables au Moyen-Orient.

Le groupe Masdar, détenue par l'émirat d'Abou Dhabi et dédié aux énergies renouvelables et ses partenaires français Total et espagnol Abengoa ont mis trois ans pour sortir la centrale Shams 1 de terre, au prix d'un investissement de quelque 600 millions de dollars (460 millions d'euros).

Le Moyen-Orient, à cause de ses ressources en énergies fossiles, accuse un fort retard sur l'Europe, les Amériques et l'Asie en matière d'énergies renouvelables.


"A l'image du reste du monde, la région est confrontée à des besoins croissants en énergie et s'efforce en même temps de réduire son empreinte environnementale", a déclaré Sultan Ahmed Al Jaber, PDG de Masdar, dans un communiqué publié à l'occasion de l'inauguration.

L'émirat le plus riche des EAU vise une proportion de 7% de son électricité provenant de sources alternatives à l'horizon 2020. A titre de comparaison, cet objectif a été atteint ou dépassé par 21 des 27 Etats membres de l'Union européenne il y a quatre ans.


Shams 1 aura une capacité de 100 mégawatts, dix fois supérieure à celle de la deuxième centrale la plus importante du pays et suffisante pour alimenter 20.000 foyers en électricité.

Cela reste modeste au regard des capacités installées de milliers de MW en Allemagne ou en Espagne ces dernières années, tandis que l'Inde a des capacités de 1.200 MW.

L'Arabie saoudite, qui ambitionne de devenir un gros producteur d'énergie solaire, dispose à ce jour de capacités de moins de 50 MW.

 

 


Partager cet article

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>