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Des tournesols géants au coeur de la future écocité de Masdar

Publié le par Gerome

Pour lire le premier article de l'aventure écologique de Masdar City cliquez ici : LA VILLE DE TOUS LES ESPOIRS


D'immenses ombrelles en forme de tournesols suivent la course du soleil pour ombrager une vaste place piétonne, avant de se refermer à la nuit tombée pour relâcher la chaleur capturée dans la journée : le centre-ville de la future écocité de Masdar, dont le chantier vient de débuter dans le désert d'Abou Dhabi, a désormais un visage.

La jeune agence Laboratory for Visionary Architecture (LAVA), fondée en 2007 avec des bureaux à Sydney (Australie) et Stuttgart (Allemagne), a remporté, le 28 août, la compétition internationale organisée par la capitale des Emirats arabes unis pour donner corps à son projet de créer la première ville de la planète zéro carbone, zéro déchet, zéro voiture.



L'émirat pétrolier d'Abou Dhabi veut faire de cette cité futuriste la vitrine de sa mue en 'capitale du développement durable'.

Le plan général de la ville, conçu par l'architecte britannique Norman Foster, mêle technologies de pointe et urbanisme arabe traditionnel. On ne s'y déplacera qu'à pied ou dans des bulles à guidage magnétique mues par l'énergie solaire. Son coût est évalué à 22 milliards de dollars (15,4 milliards d'euros) et la ville est censée accueillir ses 90 000 habitants en 2016.

 


Première étape de ce développement, le coeur de Masdar comprendra une grand-place, un hôtel cinq étoiles, une résidence, un centre de congrès, un centre de loisirs et des commerces. Les bâtiments, dont l'architecture s'inspire des formes créées par l'érosion dans les canyons d'Arabie, seront coiffés de toitures végétalisées et de panneaux photovoltaïques.

Ils intégreront des cultures vivrières et participeront au recyclage de l'eau et des déchets. Cette 'oasis du futur' a pour ambition 'd'utiliser la nature, de s'inspirer d'elle et de nous y adapter', résume l'architecte Tobias Wallisser, du LAVA. Quant aux tournesols high-tech, ce système 'écologique peut être adapté partout et ouvre des perspectives pour la vie en plein air, même dans le désert', estime son collègue Chris Bosse.


Plan aérien de Masdar

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Comment faire des économies en récupérant l’eau de pluie

Publié le par Gerome

La récupération d’eau de pluie est un excellent moyen de faire des économies. L’eau de pluie peut en effet être utilisée pour le nettoyage de votre voiture ou encore pour les toilettes. Cette action devrait vous permettre de réaliser des économies d’eau. Cet article vous permettra d’en apprendre plus sur les techniques de récupération d’eau de pluie et ainsi vous aider à économiser de l’argent.

La plupart du temps nous utilisons l’eau potable (très chère) pour laver notre voiture ou pour l’arrosage. Mais savez qu’on peut parfaitement récupérer l’eau de pluie pour accomplir ces taches ? L’utilisation de l’eau de pluie peut vous permettre de faire d’importantes économies.

Pour récupérer l’eau de pluie vous aurez besoin d’une cuve de récupération afin de la stocker. Vous aurez normalement à choisir entre une cuve hors sol ou une cuve enterrée. Le choix va dépendre surtout de l’utilisation de l’eau que vous allez faire et du volume d’eau requis. Pour l’arrosage ou pour le nettoyage des voitures une cuve hors sol devrait être suffisante. Normalement vous pouvez trouver des cuves de différentes contenances allant de 200 à 500 litres. Cela devrait être adéquat pour arroser un jardin de 50m2. Si vous voulez économiser de l’argent vous pouvez aussi construire une cuve de stockage à l’aide d’une cuve plastique disponible en jardinerie.

Une cuve enterrée devrait vous permettre de garder l’eau à l’abri de la lumière et de la chaleur. Cela devrait protéger l’eau des risques de contamination bactériologique. L’absence de lumière devrait aussi protéger l’eau de la prolifération des algues. Normalement les cuves enterrées ont une plus grande capacité et peuvent aller jusqu’à 20 000 litres d’eau.

D’une manière générale, les cuves hors sol sont recommandées pour les maisons existantes afin d’éviter des travaux d’enfouissement. Si vous procéder à la construction de votre maison, vous pouvez choisir d’enterrer votre cuve de récupération une fois pour toutes. La récupération d’eau de pluie peut être un moyen efficace de réduire ses dépenses en eau et d’avoir de l’eau disponible en cas de pénurie. L’eau de pluie peut certainement être utile pour le nettoyage ou pour les toilettes. On peut même aller plus loin et produire sa propre eau potable grâce à des équipements appropriés.

Dans son site EspaceEcologie.com, Alain Tranchemer vous aide à devenir un consommateur éco-responsable et profiter du courant ascendant des énergies renouvelables

Source : http://Contenu-Gratuit.com


Plan détaillé du montage d'une cuve enterrée


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Les lampes à économie d'énergie dangereuses pour la santé

Publié le par Gerome

Dans pas longtemps on s'éclaire à la bougie! Les ampoules classiques vont être rétirées du marché à la fin de l'année car elles consomment trop et contribuent de ce fait au réchauffement climatique de la planète. Elles vont être remplacées par les ampoules basse consommation : elles consomment peu, éclairent aussi bien que les ampoules classiques et en plus durent près de 10 ans! Génial, le choix est vite fait!

Cependan, les ampoules basse consommation fluo-compactes (LBC) seraient dangereuses pour la santé à cause de puissants champs électromagnétiques qu'elles génèrent. Les scientifiques du Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem) et de l'Arca Ibérica (Espagne) ont réalisé un banc d'essai de ce type d'ampoules et montré leur dangerosité. Elles sont pourtant recommandées pour la lutte contre le réchauffement de la planète et les économies d'énergie.

L'expérimentation, menée près de Valence, en Espagne, et réalisée en chambre anéchoïque - des pièces dont les murs et le plafond absorbent totalement les ondes sonores ou électromagnétiques - avec différentes lampes, de marques et puissances variées, montre que les ampoules LBC, dès l'allumage, sont à l'origine d'importants rayonnements radioélectriques.

Ces champs électromagnétiques sont la résultante des ballasts électroniques présents dans le culot des ampoules. Ces circuits électroniques régulent la tension électrique entrant dans l'ampoule ce qui permet d'économiser de l'énergie. Mais ils sont chargés également, pour éviter un effet de scintillement, d'augmenter la fréquence du courant traversant l'ampoule. Pour ce faire, ils transforment les émissions basse fréquence des ampoules en fréquences bien plus élevées, sources des rayonnements radioélectriques élevés.

Selon le Criirem, contrairement aux ampoules classiques, les champs détectés autour des LBC allumées atteignent, à 20 cm, entre 180 volt par mètre (V/m) et 4 V/m pour des puissances allant de 20 à 11 Watts. Avec des puissances de 7 ou 5 Watts, les champs électriques radiofréquences mesurées vont de 34 à 2 V/m à moins de 20 centimètres. Il faut attendre 1 mètre pour retrouver une valeur de 0,2 V/m, correspondant au bruit de fond radiofréquences ambiant. Le Conseil de l'Europe a fixé la limite de ces émissions à 28 V/m pour éviter au public tout effet thermique.



En conclusion, la Criirem préconise de ne pas utiliser ces ampoules "en tant que lampes de chevet ou de bureau et demande aux fabricants de remédier à cette électropollution". Le Criirem souligne qu'aucun "blindage électromagnétique n'a été constaté dans le culot des ampoules testées. Ce dernier pourrait réduire les émissions électromagnétiques.


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Si notre habitat se réduisait comme la banquise....

Publié le par Gerome



C'est un ami qui m'a envoyé cette vidéo par mail et je voulais vous la faire partager. C'est tourné comme un spot publicitaire, vous allez voir c'est édifiant.

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L'empreinte légère des nouvelles maisons écologiques

Publié le par Gerome



Dans l’architecture écologique, la dernière tendance, c’est l’habitat quasi-nomade, ou en tout cas très léger, facile à monter et économe en matériaux autant qu’en énergie. Consacrée par un récent article du monde, cette tendance en phase avec les nouvelles mobilités façon GPS et MP3 a pour cible les "nonos" (contraction de nouveau-nomade) - une clientèle nantie de "Touaregs des villes" écumant les capitales. C'est pour eux, en tout cas, que l'architecte allemand Werner Aisslinger a imaginé son "Loft Cube", une structure sur pilotis de 39 ou 56 m2 en Corian (minéraux naturels, résine acrylique et pigments alimentaires) capable de s'amarrer sur le toit d'un immeuble : habitable, transportable (par hélicoptère ou démonté en deux containers), entièrement écologique et recyclable, avec terrasse, jacuzzi et piscine en option... (et achetable à partir de 109 000 euros).

C'est pour eux aussi qu’ont été imaginées la cabane en bois "Suite Home", aux grandes baies vitrées (60 000 euros), et le chalet refuge "Joshua Tree" (70 000 euros) dessinés par les Italiens de Hangar Design. Aux Etats-Unis, certains fabricants de maisons individuelles sont d'ores et déjà spécialisés sur ce créneau, comme Blu Homes, et les étudiants de l’école d’architecture Frank Lloyd Wright  ont conçu Mod.Fab, un prototype d’habitat léger écologique, compact et prêt-à-commercialiser, avec panneaux solaires et récupération d’eau de pluie.
 En France, le bureau d'étude Ecop Habitat, spécialisé dans la conception d'habitat écologique, propose de son côté, pour un coût relativement modeste (de 42 000 à 88 000 euros), le "Mini-Loft 36" - un mini loft transportable d'une surface de 36 m2 (24 m2 au rez-de-chaussée et 12 m2 à l'étage), entièrement autonome en énergie grâce à son éolienne, ses panneaux photovoltaïques (solaires), son récupérateur d'eau de pluie et ses toilettes sèches avec compost.

Mais ces éco-cabanes  d’un genre nouveau ont plus que la légèreté à leur actif : non seulement elles sont moins gourmandes en matériaux mais en plus la préfabrication permet de préparer les modules en usine, plutôt que sur le chantier, et d’assembler la maison en quelques jours à peine, ce qui limite les déchets et les risques d’accidents sur le chantier. Idéal pour alléger l'empreinte écologique de nos maisons…

Source : mescoursespourlaplanète

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