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La Commission européenne autorise la mise sur le marché d'aliments contenant des colzas OGM

Publié le par Gerome

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Une très mauvaise nouvelle pour la planète et les populations d'Europe et d'ailleurs, mais une très bonne affaire pour Monsanto et son pote Bayer. On sera tenté de dire une de plus...


Donc, les soit-disant.e.s élu.e.s du peuple qui siègent à Bruxelles et qui affament les populations d'Europe de par leurs choix et décisions politiques, stratégiques et économiques, au service du grand capital, de la mafia financière, des grands trusts pétrochimiques (Total, Shell, Chevron, etc), de l'industrie nucléaire (Areva, EDF, Bouygues, Vinci, Matra, Tepco, etc), et last but not least, des lobbies agro-industriels tels que Monsanto, autorisent 
la mise sur le marché de produits alimentaires issus des colzas génétiquement modifiés Ms8, Rf3 et Ms8 x Rf3 pour dix ans.Une très mauvaise nouvelle pour la planète et les populations d'Europe et d'ailleurs, mais une très bonne affaire pour Monsanto et son pote Bayer. On sera tenté de dire une de plus...

 

Bref, nous, nos gosses ne pouront plus bouffer sans s'empoisonner. Il reste à faire pousser nos légumes et réaliser tout nous-mêmes.

Décision irresponsable, prise comme d'habitude par nos représentant.e.s élu.é.e.s qui, comme d'habitude, servent de puissant levier au lobby agro-industriel et agrochimique !

Bayer, le Monsanto made in Europe profite des largesses des potes à Barroso.

Je vais encore en rajouter une couche tellement la moutarde me monte au nez, Bayer, entreprise de sinistre mémoire pendant la guerre, doit profiter des largesses de la communauté europénne étant donné que c'est une entreprise allemande et que l'Europe se prépare à créer une Zone de libre-échange  UE et Etats-Unis.

Faut bien harmoniser la législation entre les deux blocs capitalistes, Barroso, Merkel, Hollande et les autres... Obama l'a déjà fait cette année avec le Monsantoact.

Article d'actu-environnement.com et les liens pour confirmer le génocide planétaire sur le vivant en cours :

Par une décision publiée le 27 juin, la Commission européenne autorise la société Bayer CropScience à mettre sur le marché des denrées et ingrédients alimentaires contenant les colzas génétiquement modifiés Ms8, Rf3 et Ms8 x Rf3. L'autorisation est valable dix ans.

Ces produits sont soumis à des exigences d'étiquetage. La société bénéficiaire de l'autorisation doit également établir un plan de surveillance des effets sur l'environnement et remettre des rapports annuels à la Commission.


L'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) avait estimé en septembre 2012 que ces colzas "étaient aussi sûrs que leur homologue non génétiquement modifié quant à leurs effets potentiels sur la santé humaine et animale ou sur l'environnement".

Par une décision du 26 mars 2007, la Commission avait déjà autorisé l'utilisation d'aliments pour animaux contenant ces mêmes colzas génétiquement modifiés.

 


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OGM : Du riz avec des gènes de foie humain

Publié le par Gerome

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On se rapproche sournoisement du fameux film de science-fiction (d’anticipation selon Wikipédia, c’est tout dire) Soleil Vert, dans lequel les êtres humains qui n’ont pas les moyens d’acheter des aliments naturels à cause de leurs prix exorbitants, mangent un aliment de synthèse, produit par une multinationale, qui s’avérera être fabriqué à partir de cadavres humains. 

Selon le site américain WorldTruht TV, de réputation sérieux, la Société Ventria cultive dans le Kansas, du riz OGM contenant des gènes de foie humain dans le but d’en extraire les protéines artificielles et fabriquer des produits pharmaceutiques. 

Pratique scandaleuse au regard de la morale humaine universelle et des risques pour l’Humanité dont plus de la moitié dépend pour sa survie du riz quand on sait la capacité de propagation des graines OGM. 



« A moins que vous achetiez du riz « certifié biologique », vous pourriez peut-être manger du riz contaminé avec de véritables gènes humains. 

Il s’agit d’un riz OGM réalisé par la société de biotechnologie Ventria Bioscience qui est actuellement cultivé sur 3.200 hectares à Junction City, Kansas – et peut-être ailleurs – et la plupart des gens n’ont aucune information à ce sujet. 

Depuis environ 2006, Ventria procède discrètement à la culture d’un riz OGM contenant des gènes de foie humain dans le but d’extraire les protéines artificielles produites par ce « Frankenrice » (contraction de « Frankenstein et « rice », riz en anglais- ndrl) afin de les utiliser dans des produits pharmaceutiques. Avec l’approbation de l’US Department of Agriculture (USDA), Ventria a utilisé l’une des céréales les plus largement cultivées au Monde aujourd’hui, et l’a transformée en un catalyseur pour produire de nouveaux médicaments. 

A l’origine, la culture de ce riz OGM, qui se décline en trois variétés approuvées (http://www.aphis.usda.gov/brs/biotech_ea_permits.html), a été limitée à l’environnement de laboratoire. Mais en 2007, Ventria a décidé d’exporter le riz à l’extérieur. L’entreprise a d’abord essayé de planter les cultures dans le Missouri, mais a rencontré une résistance de Anheuser-Busch et d’autres, qui ont menacé de boycotter tout le riz de l’Etat dans le cas où Ventria commence à planter son riz à l’intérieur des frontières de l’Etat (http://todayyesterdayandtomorrow.wordpress . com ). 

Ventria s’est finalement rabattue sur le Kansas, où elle a développé sa culture du riz OGMdans le but de fabriquer des médicaments sur 3.200 hectares à Junction City. Et alors que ce riz OGM à base de gènes humains n’a jamais été approuvé pour la consommation humaine, il est maintenant cultivé dans des champs ouverts où le risque de contamination et la propagation effrénée de se gènes indésirables est pratiquement acquis. 


»Ce n’est pas un produit que tout le monde veut consommer», a déclaré Jane Rissler de l’ Union of Concerned Scientists (UCS) au Washington Post en 2007. »Il n’est pas sage de produire des médicaments en dehors des plantes. »Bien que des dizaines de milliers de réactions hostiles ont eu lieu et que beaucoup s’inquiètent à juste titre la propagation des gènes OGM, l’USDA a approuvé la culture ouverte du riz Ventria alors que la Food and Drug Administration (FDA) avait refusé l’approbation du riz OGM de Ventria en 2003.(http://www.kansasruralcenter.org/publications/PharmaRice.pdf ).Le riz «pharmaceutique» OGM pourrait causer davantage de maladies, indique le rapport 

Outre la menace de contamination et de propagation sauvage, ce riz OGM, qui est soi-disant cultivé pour aider les enfants du tiers monde à surmonter la diarrhée chronique, peut provoquer à l’inverse d’autres maladies chroniques. 

«Ces médicaments issus du génie génétique pourraient exacerber certaines infections, ou provoquer des réactions dangereuses du système immunitaire ou allergiques», a déclaré Bill Freese, analyste de la politique scientifique au Centre for Food Safety (CFS), qui a publié un rapport en 2007 sur les dangers du riz OGM de Ventria. 

Vous pouvez consulter ce rapport ici:http://www.centerforfoodsafety.org

Les sources de cet article: 

http://www.organicconsumers.org/ge/humangene042505.cfm

http://www.washingtonpost.com

http://www.worldwatch.org/node/4956

http://todayyesterdayandtomorrow.wordpress.com

http://www.naturalnews.com/035745_GMO_rice_human_genes_Kansas.html # ixzz1tqzFZAjZ

Source: WordlTruth.TV (en américain, traduction Eldon)



http://www.blogapares.com/dur-riz-ogm-avec-des-genes-de-foie-humain/

 


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Un représentant de Monsanto lauréat du Prix Mondial de l'Alimentation

Publié le par Gerome

Ce prix constitue un premier pas vers "l'acceptation de la technologie OGM". 

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Le scientifique Marc Van Montagu est le premier Belge à recevoir le Prix Mondial de l'Alimentation. C'est le secrétaire d'État américain John Kerry qui l'a annoncé mercredi à Washington D.C., indiquent dans un communiqué l'Université de Gand et le VIB, institut de recherche en sciences biologiques. Les recherches du professeur portent sur des technologies OGM permettant la création de plantes génétiquement modifiées aux propriétés favorables. 

Marc Van Montagu et les Américains Mary-Dell Chilton et Robert T. Fraley (vice-président exécutif de Monsanto) reçoivent le prix 2013 "pour leurs contributions au développement" de la technologie verte moderne. Leurs travaux ont notamment permis aux agriculteurs de cultiver des plantes qui résistent aux insectes ainsi que le développement à court terme de plantes adaptées aux environnements défavorables. Marc Van Montagu est l'ancien directeur du VIB Department of Plant Systems Biology de l'Université de Gand et actuellement conseiller scientifique du VIB. Il a découvert à la fin des années 70 avec le professeur Jeff Schell un "vecteur permettant de modifier génétiquement les plantes". 

Pour le lauréat belge, ce prix constitue un premier pas vers "l'acceptation de la technologie OGM" comme "partie intégrante d'une production durable" d'aliments. En 2012, la superficie OGM totale dans les pays en développement était pour la première fois supérieure à celle des pays industrialisés, ce qui renforce "la sécurité alimentaire", précise le communiqué. Aujourd'hui, "1 personne sur 8 dans le monde souffre de la faim", ajoute Kenneth M.Quinn, président de la Fondation World Food Prize, soulignant la contribution des lauréats à l'augmentation de la quantité de nourriture disponible. Le prix ainsi qu'un montant de 250.000 dollars à partager entre les trois lauréats seront remis en octobre prochain.

 

 


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La résistance des insectes ravageurs s'accroît face aux plantes OGM

Publié le par Gerome

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Il existe de plus en plus de cas d'insectes résistant à la protéine Bt de plantes génétiquement modifiées pour être protégées contre leurs attaques, affirme une étude publiée lundi 10 juin dans Nature Biotechnology. Les auteurs de ces travaux ont passé en revue 77 études conduites dans huit pays et cinq continents à partir de données issues de champs abritant des OGM, principalement du maïs et du coton. 

Des plantes sont génétiquement modifiées pour développer une protéine bactérienne (bacillus thuringiensis, Bt) qui est toxique pour les ravageurs. Sur les treize types de ravageurs étudiés, cinq espèces étaient devenues résistantes en 2011, contre une seule en 2005. Le ravageur est considéré comme résistant lorsque plus de 50 % des insectes d'un champ ont développé cette résistance. Sur les cinq insectes résistants, trois s'attaquent aux champs de coton et deux aux cultures de maïs. 

UNE ADAPTATION INÉLUCTABLE 

Trois des cinq cas de résistance ont été recensés aux Etats-Unis, qui abritent la moitié des surfaces d'OGM produisant la protéine Bt, les deux autres en Afrique du Sud et en Inde. Un autre cas de résistance a été repéré aux Etats-Unis mais moins de 50 % des insectes du champ étaient devenus résistants. 

Dans ce contexte, les scientifiques ont aussi démontré que le délai de survenue de la résistance variait de manière significative en fonction des pratiques agricoles. Dans le pire des cas, les signes de résistance sont apparus au bout de deux ou trois ans, alors que dans d'autres cas les plantes OGM étaient toujours efficaces contre les ravageurs quinze ans plus tard. 

La différence vient de la pratique ou pas de "zones refuges", soit des parcelles de plants non OGM plantés à côté de champs OGM. Cette configuration réduit la probabilité que deux insectes résistants se reproduisent en transmettant chacun le gène de la protéine Bt. Pour qu'un insecte naisse résistant, il faut que ses deux parents lui transmettent le gène de la protéine. Les auteurs de l'étude estiment qu'une adaptation des ravageurs aux plants OGM Bt est inéluctable mais que les zones refuges permettent de la ralentir.

 

 


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Des poissons OGM toujours plus gros et plus voraces

Publié le par Gerome

NotesSes détracteurs l’appellent le « Frankenfish » : un saumon génétiquement modifié qui grossit deux fois plus vite que ses congénères naturels, baptisé « AquAdvantage » par ses concepteurs. Il pourrait très prochainement être commercialisé aux États-Unis. AquaBounty Technologies, l’entreprise qui a créé ce poisson, assure qu’il n’y aucun risque de dissémination dans la nature.

 

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Et si cela se produisait quand même et que plusieurs de ces saumons d’élevage prenaient le large ? L’hypothèse a été étudiée par l’Université Memorial de Terre-Neuve (Canada). Le résultat est effrayant. Les saumons génétiquement modifiés ont été croisés avec des truites sauvages : 40 % des rejetons hybrides issus de ce croisement héritent du gène ajouté artificiellement au génome de leur parent (un gène d’anguille qui accélère la croissance). Et ces hybrides grandissent encore plus vite que le saumon créé par Aquabounty !

Les saumons transgéniques AquAdvantage atteignent leur maturité en 18 mois, au lieu de trois ans pour les saumons « naturels ». Leur poids augmente de 1,9 % par jour (contre 1,5 et 1,7 % pour les saumons et truites « naturels »). Et celui de leurs rejetons hybrides de 2,1 % ! Autre conséquence : la présence de ces hybrides en milieu semi-naturel – les bassins utilisés pour l’expérience – a provoqué la diminution de moitié de la croissance des saumons sauvages. Logique : ils s’accaparent tous les aliments. Et si les rejetons de ces hybrides grossissaient eux-mêmes encore plus vite ? Un scénario catastrophe ?



Poissons mi-saumon mi-truite avec gène d’anguille



Peut-être les saumons hybrides s’en sortiraient-ils moins bien en milieu naturel. Peut-être les croisements entre espèces sont-ils plus rares dans la nature [1]. AquaBounty affirme ne produire que des saumons femelles, stérilisées. La stérilisation n’est cependant efficace qu’à 99,8 %, admet l’entreprise. Elle attend l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour pouvoir commercialiser ses saumons transgéniques.



Ces résultats ne donneront-ils pas envie aux créateurs d’animaux GM d’expérimenter d’autres croisements entre espèces ? Les producteurs de saumons GM ne seront-ils pas tentés, pour accroître leurs rendements, de procéder à quelques expériences non autorisées, puisque les rejetons hybrides semblent avoir un net « avantage compétitif » sur leurs parents ? Qui peut affirmer que ces saumons d’élevage, « confinés » dans des bassins, ne se retrouveront pas en masse dans les eaux où leur prolifération deviendra incontrôlable ?

 

La transmission d’un gène d’anguille à des poissons mi-saumon mi-truite vient poser de nouvelles questions sur la transgénèse animale, alors que des cochons génétiquement modifiés avec un gène de souris attendent leur autorisation de mise sur le marché au Canada. Et que les poulets transgéniques, les chèvres avec un gène d’araignée, les lapins et autres poissons-zèbres fluorescents sortent déjà des laboratoires de biotechnologies. Pour le moment, personne n’a encore songé à fabriquer des requins OGM...



- Lire l’étude parue dans Proceedings of the Royal Society – Biological Sciences, le 29 mai 2013.
- Lire notre enquête Ces animaux mutants que la cuisine génétique vous prépare.

[1] « Le saumon de l’Atlantique (Salmo salar) s’accouple parfois dans la nature avec la truite brune (Salmo trutta), une espèce qui lui est apparentée. Toutefois, les taux d’hybridation dépassent rarement 1%. Par contre, quand ce sont des saumons d’élevage qui se retrouvent dans le milieu naturel, les taux peuvent atteindre jusqu’à 41%. »

 

 


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