26 éléphants massacrés dans une réserve classée au patrimoine mondial

Publié le par Gerome

Au moins 26 éléphants ont été massacrés lundi par des braconniers dans le site classé au patrimoine mondial de l'humanité de Dzanga Bai, au sud-ouest de la Centrafrique, selon un communiqué du WWF vendredi.

éléphants morts

"Au moins 26 éléphants ont été massacrés (...) après l'entrée de 17 individus armés de kalachnikov dans cette réserve unique d'éléphants", rapporte l'ONG. Les braconniers "se sont présentés comme faisant partie des forces du gouvernement de transition (Séléka)", au pouvoir depuis six semaines, ajoute l'ONG. 

Mardi, le WWF avait déjà alerté les médias de la présence de ces braconniers dans le parc, appelant "la communauté internationale à aider à rétablir la paix et l'ordre en République centrafricaine qui a été secoué par la violence et le chaos depuis le début de l'année" et à aider "à préserver ce site unique du patrimoine mondial". 

L'Afrique centrale est régulièrement frappée par des opérations de braconnage. En février 2012, au moins 300 éléphants ont été tués pour leur ivoire dans le parc national de Bouba N'Djidda (nord du Cameroun).

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Les oiseaux migrateurs menacés par la montée des océans

Publié le par Gerome

Une étude réalisée sur les flux des vols migratoires entre la Russie et l’Asie révèle que la montée des océans fait peser une menace plus grande que prévue sur les oiseaux migrateurs. Les espèces marines pourraient être les plus sévèrement touchées car leurs aires de reproduction seront submergées.

 

oiseau-migrateur.jpg


Parmi les nombreuses catastrophes qu’entraînera dans les prochaines années la montée des océans due au réchauffement climatique provoqué par l’Homme, se trouve la menace qui pèse sur les oiseaux migrateurs. Ce sont plus particulièrement les espèces marines qui risquent d’être affectées, la montée des eaux devant détruire leurs aires de reproduction.


L’étude à l’origine de ces prévisions s’est basée sur une nouvelle modélisation mathématique. Elle montre que les flux migratoires se réduisent beaucoup plus vite que l’habitat perdu des dix oiseaux migrateurs côtiers utilisant la route Asie de l'Est-Australasie. Ainsi, les scientifiques relèvent "que si la montée des océans inonde entre 23 et 40% de l'estran [zone littorale couverte par la marée] sur leurs routes migratoires, elle entraîne une réduction de flux de population pouvant atteindre 72%".


 Or, on observe déjà que certaines zones possèdent une fréquentation inférieure de 30 à 80%. "Ces zones humides sont extrêmement vulnérables à la montée des océans et pourraient être perdues dans quelques décennies. Si les oiseaux ne peuvent plus y faire étape pour 'faire le plein', ils sont incapables de terminer leur voyage vers leurs lieux de nidification", explique le chercheur Richard Fuller cité par l'AFP.


Au sein des espèces les plus menacées, on compte la barge rousse, le bécasseau cocorli, le bécasseau de l'Anadyr, le chevalier de Sibérie, le pluvier de Mongolie ou encore le bécasseau maubèche.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Monsanto : on empoisonne des gens et on le fait bien.

Publié le par Gerome

monsanto.jpg

 

 

Publié dans OGM j'en veux pas!

Partager cet article

Près d'un tiers des colonies d'abeilles ont péri cet hiver aux Etats-Unis

Publié le par Gerome

Près d'un tiers des colonies d'abeilles aux Etats-Unis ont été décimées au cours de l'hiver 2012-2013, sans qu'une raison particulière ait pu être dégagée, selon une étude réalisée par le ministère de l'agriculture américain (USDA) et des associations professionnelles, publiée mardi 7 mai. 

 

abeilles pesticides

 


La population d'abeilles a décliné de 31,1 % l'hiver dernier, selon les résultats préliminaires d'une enquête réalisée auprès de plus de 6 200 producteurs d'abeilles aux Etats-Unis par l'USDA, en collaboration avec l'association AIA (Apiary Inspectors of America) et Bee Informed Partnership. 

CAUSES MULTIPLES DE SURMORTALITÉ 

Selon cette étude, la perte subie ces derniers mois par les abeilles américaines est 42 % plus importante que l'hiver précédent, lorsque 21,9 % d'entre elles avaient disparu. Les abeilles connaissent depuis six ans de très importants taux de mortalité, de 30,5 % en moyenne, sans que les experts s'accordent sur un facteur déterminant. 

Selon les autorités américaines, plusieurs raisons participent ces dernières années de la surmortalité des abeilles sans qu'aucune soit prévalente, comme "les parasites, les maladies, les facteurs génétiques, une mauvaise nutrition et l'exposition aux pesticides"

Dans l'UE, les autorités ont annoncé, le 29 avril, la suspension pour deux ans, à compter du 1er décembre, l'utilisation de trois insecticides impliqués dans le déclin accéléré des abeilles domestiques et des insectes pollinisateurs (bourdons, papillons, abeilles sauvages, etc.). La décision, toutefois, n'implique pas une disparition totale de ces substances dans l'environnement. 

Les trois molécules interdites, l'imidaclopride, le thiaméthoxame et la clothianidine appartiennent à la famille des néonicotinoïdes, insecticides parmi les plus utilisés au monde en agriculture et que l'on retrouve dans des dizaines de produits tels le Cruiser, le Gaucho, le Poncho ou le Cheyenne. Depuis de nombreuses années, ces substances sont suspectées d'être un élément déterminant de l'effondrement des populations d'abeilles et de pollinisateurs sauvages.

 

 


Publié dans Nature

Partager cet article

Greenpeace tacle Volkswagen

Publié le par Gerome

Allez un peu de légereté ça fait du bien!!! Avis aux fans de Starwars!

 

 

Publié dans Les bonnes nouvelles

Partager cet article