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Eau non potable : 3,6 millions de morts chaque année

Publié le par Gerome

La Journée internationale de l’eau se déroulera le vendredi 22 mars. Alors que cet évènement qui fêtera sa 20e édition, mettra précisément l’accent cette année sur l’accès à l’eau potable de tous dans le monde, 3,6 millions de personnes meurent encore chaque année de maladies liées à la consommation d’eau viciée.

 

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Fortement mobilisée sur cette question vitale, l’association humanitaire SOLIDARITÉS INTERNATIONAL lance une vaste campagne de mobilisation via le film Water Ink. et propose au grand public d’agir en signant sa pétition contre la 1e cause de mortalité au monde sur le site votregouttedeau.org. Plus de 120 000 personnes se sont déjà engagées pour cette cause dont Bernard Kouchner, Florence Aubenas ou encore Thierry Ardisson.

La consommation d’eau insalubre est la première cause de mortalité dans le monde, affectant chaque année 1,5 million d’enfants qui meurent de maladies diarréhiques. La moitié de la population mondiale n’a pas encore accès à une eau potable.

 

 


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L'Afsca a bloqué 53.000 tonnes de maïs contaminé

Publié le par Gerome

L'Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Afsca) a bloqué depuis mardi 53.000 tonnes de maïs contaminé aux aflatoxines, des toxines cancérigènes, indique-t-elle jeudi soir dans un communiqué.

Dans un premier temps, l'Afsca a été alertée le 1er mars dernier par les autorités allemandes de la présence d'aflatoxines dans du maïs d'Europe centrale livré en Allemagne et aux Pays-Bas.

Mardi, l'agence fédérale a appris qu'un lot de maïs livré à un fabricant belge d'aliments pour bétail présentait une teneur en aflatoxines légèrement supérieure à la norme européenne.

Une partie de cette marchandise, transportée par bateau via le port de Gand, a été acheminée directement aux Pays-Bas. Cinq entreprises belges d'aliments pour animaux ont par ailleurs réceptionné la marchandise.

"L'Afsca est intervenue immédiatement dans tous ces endroits et a bloqué la plus grande partie de cet arrivage, soit environ 53.000 tonnes du maïs contaminé. Le reste avait été transformé en aliments pour porcs, volailles et, dans une moindre mesure, pour bovins", précise le communiqué.

L'évaluation du risque, sur base des analyses reçues d'Allemagne, indiquent "que la norme dans les aliments composés n'était généralement pas dépassée", ajoute l'agence fédérale. "Dans les cas où la norme était dépassée, les aliments encore présents chez les éleveurs ont été bloqués."

L'Afsca procède actuellement à l'analyse des aliments pour animaux saisis dans 13 fermes et du lait de 6 fermes laitières. L'industrie laitière examine de son côté une cinquantaine d'échantillons. Les résultats seront connus au début de la semaine prochaine.

 

 


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Cochon fluo et sauce à l'arsenic : la malbouffe made in China

Publié le par Gerome

Du porc au détergent, des œufs à la paraffine, du canard au nitrite de sodium, du riz au métal lourd... les scandales alimentaires alarment les Chinois.

Coup de chaud sur le lait en poudre. En Australie, la vente est désormais strictement rationnée : quatre boîtes au maximum par acheteur. En Nouvelle-Zélande, la demande est telle que l'industrie prévoit d'augmenter sa production d'un tiers. A Hongkong, des filières sauvages de contrebande vident quotidiennement les étalages, au point que des parents furieux ont lancé une pétition sur le site de la Maison-Blanche, intitulée : "Les bébés de Hongkong menacés par la faim ! Appel à l'aide internationale."

 

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Cette curieuse pénurie a pour origine la Chine, où une avalanche de scandales alimentaires pousse les parents à se ruer sur les produits d'importation, faisant grimper les prix et créant un appel d'air dans toute la région.

Cinq ans après la retentissante affaire du "lait mélaminé" qui a tué six bébés et en a rendu malades 300 000 autres, la sécurité alimentaire reste un vœu pieux en Chine. Les coupables ont beau avoir été sévèrement punis - la PDG de la compagnie laitière Sanlu a été condamnée à perpétuité -, une nouvelle affaire de lait toxique a éclaté il y a quelques mois, obligeant Yili, une grande marque nationale, à rappeler ses produits.

 


Pour les autorités chinoises, l'affaire Findus est un cadeau tombé du ciel, qu'elles ne se privent pas d'exploiter dans les médias officiels. Pas moins de 313 vidéos sur ce thème ont été diffusées par la chaîne nationale CCTV depuis le début de février. Malgré cette insistance, les Chinois réagissent par l'incompréhension. "Pourquoi ces Européens sont-ils si énervés ? Le cheval est bien meilleur que le bœuf, et plus cher aussi, même si rien ne vaut la viande d'âne. Qu'ils nous envoient toute cette bonne viande dont ils ne veulent pas."

 

 

Certains internautes redoublent de hargne contre CCTV, notant qu'elle a pris garde de n'aborder qu'une seule fois le dernier scandale alimentaire domestique, déclenché par la saisie dans la province du Liaoning de quantités industrielles de faux mouton. Il s'agissait en réalité de canard, deux fois moins cher.

Quarante tonnes de filets marinaient dans un jus peu ragoûtant nécessaire à la "transformation", mêlant la graisse d'agneau à un produit chimique hautement toxique, le nitrite de sodium, utilisé à des quantités 2 000 fois supérieures à la norme. En 2009 déjà, une première escroquerie au canard avait déclenché l'émoi. Le procédé consistait à tremper les flets dans de l'urine d'agneau, histoire de leur donner "bon" goût.

Le catalogue des scandales alimentaires est aussi long qu'ahurissant. De la sauce soja à l'arsenic présent dans les sols ; du pop-corn fluorescent, à la suite d'un traitement à un produit décolorant ; du riz au cadmium, métal lourd rejeté par les fonderies ; des fruits de mer pleins de formaline, un fongicide ; des pastèques, aspergées d'accélérateur de croissance, qui "explosent" comme des grenades ; du tilapia nourri aux excréments humains ; du porc, surnommé "Tron bleu", couvert de bactéries qui diffusent une lueur bleuâtre dans l'obscurité.

 


A quoi s'ajoute la liste d'une gigantesque industrie de la contrefaçon : desserts dont la gélatine a été obtenue à partir du cuir de vieilles chaussures ; faux œufs faits d'acide alginique, de gélatine industrielle, de paraffine et de colorants ; faux riz composé d'un mélange de pomme de terre et de résine synthétique ; vin dilué d'eau sucrée ; faux miel fabriqué à partir de sirop de maïs, de malt d'orge et de mélasse. Largement distribué, le pire produit demeure l'huile récupérée dans les égouts, au pied des restaurants.

 

Avant la multiplication des scandales en 2007, la Banque asiatique de Développement estimait à 300 millions le nombre de Chinois affectés chaque année par des maladies liées au défaut de sécurité alimentaire. Pour cette nation de fines gueules qui mettent les plaisirs de la table au-dessus de tous les autres, la frustration est terrible. "Déjà notre air est totalement vicié, notre eau polluée, voici que notre merveilleuse cuisine est devenue nauséabonde", tempête la classe moyenne.

Chez vous, les escrocs ne font que remplacer une viande par une autre. En Chine, ils la trafiquent, la déguisent, même s'il faut pour cela l'enduire de poison. On ne sait plus si ce qu'on mange est encore comestible, se lamente une mère pékinoise. Du coup, on ne va pratiquement plus au restaurant et je m'arrange pour que ma fille rentre déjeuner chaque jour à la maison. Dieu sait ce que sert la cantine."

Même quand ils ne sont pas frauduleusement adultérés, les produits alimentaires chinois sont souvent dangereux.

Le clenbuterol, par exemple, est généreusement administré aux porcs pour obtenir une viande maigre. Or ce produit, prisé des culturistes, peut avoir des effets cardio-vasculaires et neurologiques graves. Les produits d'élevage chinois en sont tellement gavés que les entraîneurs des équipes nationales interdisent à leurs sportifs de consommer de la viande plusieurs semaines avant les tournois, de peur que les contrôles d'urine se révèlent positifs.

Tout le monde intoxique tout le monde

"Nous vivons dans une malbouffe généralisée où tout le monde intoxique tout le monde, les coupables étant à leur tour victimes d'abus commis par d'autres", écrit un professeur de l'université Tsinghua.

"Moi, j'appelle ça bouffer la merde les uns des autres", déclare Wu Heng, surnommé "Food Warrior", le guerrier de la nourriture. Wu Heng, 27 ans, lunettes d'intellectuel, d'un enthousiasme contagieux, ne s'intéresse que depuis peu à la qualité du contenu de son assiette. "Comme je n'ai pas d'enfant, j'ai à peine remarqué cette histoire de lait à la mélamine", avoue-t-il.

 

Mais le jeune étudiant de Shanghai est un amateur de soupe au bœuf, qu'il avait l'habitude d'acheter 10 yuans le bol (1,20 euro) dans un boui-boui proche de la fac. "C'était pas cher ! Et il y avait plein de morceaux de boeuf !" Jusqu'au jour où éclate le scandale du faux bœuf. Wu Heng découvre que son plat préféré est en fait du porc passé au borax, un détergent, puis teint au rouge du Soudan, hautement cancérigène.

 

 

Il lance un appel indigné sur le Net qu'il conclut par : "Allez ! On peut faire bouger les choses", suivi de 17 points d'exclamation. Avec une poignée de bénévoles qui lui répondent, il fonde un site conçu comme une base de données, qui recense les scandales rapportés par les organes officiels d'informations. "On a appelé notre site Zhichu chuangwai [«Jette par la fenêtre»], en référence au geste du président américain Theodore Roosevelt qui, en 1906, écœuré par la lecture d'un reportage sur les abattoirs de Chicago, jeta par la fenêtre de la Maison-Blanche la saucisse qu'il était en train de manger. Après quoi il a créé la Food and Drug Administration."

Aujourd'hui le site (www.zccw.info), qui affiche sur sa page d'accueil une carte de Chine des derniers scandales alimentaires, est géré par une trentaine de contributeurs qui se contentent de répertorier les informations "publiques". Le modèle collaboratif de Wikipedia a été choisi "pour éviter d'être soupçonnés de créer une organisation". Le succès est au rendez-vous avec 5 millions de clics par mois.


Dans le sillage de ce site, une application pour iPhone, nommée "le Guide de survie en Chine" est lancée en 2012 et se hisse d'emblée au premier rang des applications les plus téléchargées de Chine. Il y a de quoi faire. La dernière trouvaille des aigrefins de la bouffe, ce sont ces fausses noix, dont les cerneaux ont été remplacés par des petits cailloux emballés dans du papier blanc, avant que soient recollées soigneusement les deux moitiés de la noix. Une escroquerie quasi vénielle, si l'on songe à tous les poisons injectés dans la chaîne alimentaire.

 

 


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MONSANTO PROTESTE CONTRE LE JARDIN BIO DE MICHELLE OBAMA

Publié le par Gerome

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L’association américaine qui représente des grands noms de l’agrochimie a récemment écrit à Michelle Obama pour protester contre son jardin bio. Leur crainte : que l’exemple de la First lady ne donne aux consommateurs une mauvaise image de l’agriculture « conventionnelle ».

« Cultivez et manger bio pour faire peur à Monsanto ! », s’amuse un des blogueurs deGreenpeace au Canada. La MACA, l’association américaine qui représente des grands noms de l’agrochimie, dont le géant des pesticides et des semences OGM Monsanto, a récemment écrit à Michelle Obama. Objet du courrier : le jardin bio que la première dame des Etats-Unis a créé dans l’enceinte de la Maison Blanche.

Ce jardin où fruits et légumes sont cultivés sans pesticides pourrait donner aux consommateurs, par comparaison, une mauvaise image de l’agriculture conventionnelle dont les produits sont « sains, savoureux et plus économique », assure la MACA.

Les géants de l’agrochimie estiment aussi que Michelle Obama devrait soutenir leurs méthodes de production agricole.

« Si les Américains devaient encore cultiver eux-mêmes des produits de première nécessité pour subvenir aux besoins de leur famille, les Etats-Unis seraient-ils les leaders dans les domaines scientifiques, de la communication, de l’éducation, de la médecine, des transports et de l’art ? », s’interroge encore cette association d’agrochimistes.

Michelle Obama a décidé de créer un jardin biologique pour faire la promotion d’une nourriture saine. Sa production doit permettre de fournir en fruits et légumes les occupants, les salariés et les invités de la Maison Blanche.

 

 


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Les médicaments dans la viande, un autre scandale alimentaire à venir ?

Publié le par Gerome

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Fabrice Nicolino, journaliste, jette un sacré pavé dans la mare dans Le Monde de ce lundi. Pour lui, un autre scandale alimentaire s’annonce : celui des médicaments présents dans la viande. Un constat que fait aussi l’Union vétérinaire belge qui tire la sonnette d’alarme.

 

 

Samedi, le ministre français de l’Agriculture Stéphane Le Foll annonçait que trois carcasses de viande de cheval contenant des produits potentiellement nocifs pour la santé humaine avaient été consommées en France. Ces carcasses avaient été détectés positives au phénylbutazone, un anesthésiant anti-inflammatoire pour les chevaux de course, en Grande-Bretagne et exportées vers la France. Trois ont été bloquées mais trois autres n’ont pas été retrouvées et ont donc été consommées.

 

Le ministre a cependant relativisé : les doses retrouvées ne sont pas dangereuses.

 

Oui, mais… Selon le journaliste d’enquête Fabrice Nicolino, qui s’exprime dans Le Monde, tout n’est pas si simple. Et cette histoire n’est que la partie émergée de l’iceberg. Il cite ainsi deux études : l’une datant de 2011, qui montrait la présence dans le lait d’anti-inflammatoires, d’antibiotiques, de bêta bloquants; l’autre datant de 2012 qui avait trouvé la présence d’antibiotiques et d’antiparasitaires dans les petits pots pour bébé. Tout ça en doses très faibles.

 

La législation est assez complète concernant la prise d’antibiotiques et de médicaments. Ainsi, une limite maximale de résidus est définie au niveau européen.

Mais, explique le journaliste dans Le Monde, aucune étude n’est menée sur les effets combinés de ces médicaments sur la santé humaine.

 

L’utilisation d’antibiotiques, un danger

 

Pis, il pointe le problème des antibiotiques administrés aux animaux : les maladies deviennent plus résistantes à ces remèdes. Des tests sont ainsi menés en Belgique. En 2011, « la présence de staphylocoque aureus résistant à la méticiline (MRSA) a été détectée dans 6,5% des élevages de poulets de chair et 0,7% des élevages de poules pondeuses« , explique l’Afsca. Et cette résistance peut devenir une menace réelle pour la santé publique.

 

La législation l’a d’ailleurs pris en compte depuis quelques années. « Les antibiotiques vétérinaires ne peuvent être utilisés que pour un usage thérapeutique. Toute utilisation préventive ou comme facteur de croissance est interdite dans l’Union européenne depuis le 1er janvier 2006« , précise le porte-parole de l’Afsca.

 

Depuis des années également, Test-Achats dénonce la présence d’antibiotiques dans l’alimentation des Belges. En 2010, l’association de défense des consommateurs a ainsi testé six produits, dont des crevettes, du pangasisus, du porc et de la dinde en Belgique, en Italie, en Espagne et au Portugal. Les résultats étaient plutôt encourageants.

 

Seul un échantillon espagnol de crevettes contenait du chloramphénicol, un produit potentiellement toxique, les autres denrées testées ne posaient pas de problème. A l’époque Sigrid Lauryssen, experte alimentation de Test-Achats, concluait : « Ce sont les auto-contrôles du secteur et les contrôles officiels qui doivent garantir que la législation est respectée. C’est pourquoi Test-Achats continue à encourager le secteur agroalimentaire à utiliser les antibiotiques de manière raisonnable et responsable dans l’élevage« .

 

Le cri d’alerte des vétérinaires

 

Mais, justement, le secteur ne semble pas si bien s’auto-réguler. Réagissant au scandale de la viande de cheval, l’Union professionnelle vétérinaire belge a tenu à rappeler un combat un peu oublié dans le scandale actuel : celui du trafic de médicaments. « Nous prions instamment les autorités sanitaires et judiciaires de soutenir ce combat contre les brebis galeuses du secteur. Entre autres, l’importation de produits alimentaires provenant de pays tiers, le trafic de médicaments par internet, la pratique de vétérinaires d’autoroute doivent faire l’objet d’une vigilance toute particulière de la part des autorités« , expliquaient-ils dans un communiqué.

Et Alain Schonbroodt, de l’Union vétérinaire, de noter qu’il y a de gros problèmes avec les médicaments vendus sur internet, mais également avec les éleveurs peu scrupuleux qui détournent les médicaments qui leur sont prescrits. Il pointe aussi la viande provenant d’autres pays, où les contrôles pourraient ne pas être aussi développés. Selon lui, les hormones ne sont plus vraiment un problème, mais les fraudes aux anti-inflammatoires et aux antibiotiques se répandent de plus en plus.

 

A travers les mailles du filet

 

Bien sûr, des contrôles existent en Belgique, mais ils ne sont pas systématiques.

 

Ainsi, précise l’Afsca, 9627 échantillons ont été prélevés dans les abattoirs en 2011 avec 99,9% de conformité pour ce qui est des résidus de médicaments.

« A chaque abattage un vétérinaire officiel expertise l’animal vivant et la carcasse. Chaque année un certains nombre d’animaux sont exclus de la chaine alimentaire sur base de ces expertises ( 2125 bovins, 29 482 porcs, 4 000 000 volailles), en cas de doutes des échantillons peuvent être prélevés. 230 échantillons suspects ont été prélevés à l’abattoir en 2011, 61, 3% étaient conformes« , explique le porte-parole de l’Afsca, se basant sur le rapport annuel de 2011.

 

Des contrôles sont aussi pratiqués dans les autres Etats membres de l’Union. Et la législation européenne s’applique également aux entreprises hors UE. C’est l’Office alimentaire et vétérinaire de la Commission européenne qui veille au respect des ces exigences.

 

Pour ce qui est de l’utilisation des médicaments dans les exploitations, c’est l’Afsca qui contrôle l’administration des médicaments au niveau des exploitations agricoles. L’Agence des médicaments contrôle le respect des bonnes pratiques vétérinaires.

 

« Le stock de médicaments, la présence d’un registre, de documents de fournitures des vétérinaires… y sont notamment inspectés. Sur les 4151 inspections menée en 2012, seuls 2% étaient non conformes« , explique le porte-parole Jean-Paul Denuit.

 

Mais même si être pris peut coûter cher, certains tentent de passer à travers les mailles du filet…

 

 


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