nature

La Chine autorise la vente de produits issus du tigre et du rhinocéros

Publié le par Notre Terre

La Chine autorise la vente de produits issus du tigre et du rhinocéros

Face à cette folie meurtrière, nous devons nous mobiliser pour montrer aux chinois que les êtres humains dans leur grande majorité ne veulent plus voir de tels massacres d'animaux sauvages.

A l'heure où l'humanité est responsable de la disparition de 60% d'espèces de mammifères vertébrés depuis les années 60, cette annonce de la Chine est un coup de couteau supplémentaire donné à la faune sauvage.

Montrons aux chinois que nous ne sommes pas d'accord et boycottons tous les produits fabriqués en Chine! Si nous agissons tous, nous ferons plier la Chine, de plus ce geste aura une portée écologique forte car nous éviterons à des produits plastiques et toxiques de traverser la planète pour venir jusque dans nos magasins.

STOP aux massacres des tigres et des rhinocéros!

STOP à l'achat de produits chinois!

"Mardi, la Chine a annoncé la reprise limitée du commerce de produits issus du tigre et du rhinocéros.

L'annonce par la Chine d'une reprise limitée du commerce de produits issus du tigre et du rhinocéros provoque la colère des défenseurs des animaux, qui parlent "d'arrêt de mort" pour ces espèces en danger.

La vente de produits tels que l'os de tigre ou la corne de rhinocéros, recherchés par la médecine traditionnelle, pourra être autorisée dans certaines circonstances "particulières", a annoncé le gouvernement chinois lundi dans une circulaire signée par le Premier ministre Li Keqiang.

Parmi celles-ci, Pékin cite la recherche scientifique, la vente d'oeuvres d'art et "la recherche et les traitements médicaux".
Une autorisation spéciale sera requise pour le recours à ces produits, stipule la circulaire. Seuls des médecins employés par des hôpitaux reconnus par l'Administration nationale de médecine traditionnelle pourront les utiliser.
"Blanchiment" de produits de braconnage

Cette libéralisation remplace une interdiction totale décidée en 1993. Mais le marché noir a remplacé le commerce légal et de nombreux produits interdits entrent en Chine, notamment par le Vietnam, selon des mouvements écologistes.

Ces derniers contestent la décision du gouvernement chinois, expliquant qu'elle est destinée à utiliser des produits issus d'animaux en captivité mais qu'elle ne pourra qu'accroître la menace sur la faune sauvage.


    "Par cette annonce, le gouvernement chinois signe l'arrêt de mort des rhinocéros et des tigres sauvages", accuse Iris Ho, responsable de l'association Humane Society International à Washington.

Selon elle, la nouvelle politique suivie à Pékin va aboutir à créer une filière de "blanchiment" de produits de braconnage.

    "La reprise du commerce légal risque non seulement de servir de couverture au trafic clandestin, elle va aussi stimuler une demande qui avait décliné depuis l'entrée en vigueur de la prohibition", abonde Margaret Kinnaird, responsable biodiversité au Fonds mondial pour la nature (WWF).

Médecine traditionnelle

Le tigre est classé dans la catégorie des espèces en danger d'extinction par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

Il existe une demande persistante en Chine pour des produits dérivés du tigre (os, griffes, moustaches, pénis..), parés de pouvoirs très controversées, notamment aphrodisiaques, dans la médecine traditionnelle.

Le nombre des tigres élevés en captivité en Chine a fortement augmenté ces dernières années: on en compte aujourd'hui plus de 6.000, alors que la planète n'abriterait plus au total qu'un peu plus de 3.000 individus en liberté.

Quant aux différentes espèces de rhinocéros, l'UICN les classe soit en catégorie "vulnérable", "quasi-menacée" ou "en danger critique d'extinction".

C'est le cas du rhinocéros noir, qui vivait encore à 100.000 spécimens en Afrique en 1960. En 2016, ils n'étaient que 28.000 rhinocéros toutes espèces confondues en Afrique et en Asie, selon un rapport de l'ONU.

La corne était à l'origine prescrite en médecine traditionnelle contre la fièvre. Mais de prétendues vertus contre le cancer ont provoqué une augmentation de la demande, notamment au Vietnam, dans les années 2000."

Source : BFMTV.FR

Publié dans Nature

Partager cet article

La disparition des animaux sauvages s'accélère selon un nouveau rapport de WWF

Publié le par Notre Terre

tigres sauvages

Tous les deux ans, l’ONG internationale publie son rapport « Planète vivante » qui fait le point sur l’abondance d’animaux sauvages dans le monde. La dernière édition, publiée ce mardi, a pris en compte 16.700 populations et dresse de nouveau un constat alarmant…

  • Entre 1970 et 2014, les populations d’animaux vertébrés - poissons, oiseaux, mammifères…- ont chuté de 60 % au niveau mondial, pointe ce mardi le nouveau rapport «Planète Vivante» de WWF.
  • La principale menace qui pèse sur le vivant sauvage est la dégradation et la perte des habitats de ces animaux. Suivent la surexploitation, les espèces invasives, la pollution ou encore le réchauffement climatique.
  • Tout n’est pas noir tout de même : « quand on la laisse tranquille, la nature repart très vite », assure WWF en multipliant les exemples. Il reste à prendre les mesures internationales pour la conserver. En cela, 2020 sera une année cruciale.

Se dirige-t-on vers une disparition du monde sauvage sur Terre ? La question est une nouvelle fois posée par WWF qui sort ce mardi une nouvelle édition de son rapport Planète vivante.

« C’est notre grand rapport scientifique », glisse Pascal Canfin, directeur général du WWF France. Tous les deux ans depuis 1998, l’ONG internationale fait un point sur l’état des populations d’animaux vertébrés dans le monde. Mammifères, oiseaux, poissons, reptiles et amphibiens… La dernière édition de Planète vivante s’est penchée sur l’état de conservation de 16.700 populations représentant 4.005 espèces. Les relevés de population ont été faits à travers des milliers de points d’évaluation à travers le monde.
Une chute de 60 % depuis 1970, 89 % même en Amérique du Sud

Il en ressort un tableau général alarmant. « Entre 1970 et 2016, les populations de vertébrés que nous avons étudiées ont chuté de 60 % au niveau mondial, indique Pascal Canfin. Cette chute s’est encore accélérée ces dernières années. Le rapport Planète vivante de 2016, le dernier en date qui se basait sur des données de 2014, constatait une baisse générale de 58 % toujours par rapport à 1970. » Les observations de WWF s’inscrivent dans la veine de l’étude publiée dans la revue Proceedings of the Nationale Academy of Sciences (PNAS) à l’été 2017 et qui avait fait grand bruit en concluant à un recul massif des animaux vertébrés sur Terre au point de devoir parler d’une « sixième extinction de masse des espèces ».

60 % est la baisse moyenne mondiale. Les tropiques, l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale enregistrent des déclins plus important encore avec une perte de 89 % par rapport à 1970. A l’inverse, les populations du Néarctique (Amérique du Nord, nord du Mexique et Groenland) et du Paléarctique (Europe, Afrique du Nord, Moyen-Orient et deux-tiers nord de l’Asie) s’en sortent mieux avec des déclins de population respectivement de 23 et 31 %.
Dégradation et perte d’habitat comme première menace

La dégradation et la perte d’habitat de ces animaux sauvages sont la première cause à ce déclin de population. « C’est l’artificialisation des sols, la déforestation en Amazonie pour la culture du soja ou en Asie du Sud-Est pour celle de l’huile de palme », illustre Pascal Canfin. Vient ensuite la surexploitation, menace qui pèse en particulier sur les poissons. Depuis plus de 20 ans, les captures mondiales stagnent autour de 100 millions de tonnes de poissons par an alors que les capacités de pêche (nombre et puissance des bateaux) ne cessent d’augmenter. Cette surexploitation se pose aussi sur les terres. Via le braconnage notamment. Le trafic d’ivoire cause la mort de 20.000 à 30.000 éléphants chaque année [soit 100 par jour environ], évalue WWF. « Or, il reste environ 465.000 éléphants dans le monde en comptant les populations d’Asie et d’Afrique, soit l’équivalent d’une ville comme Lyon », rappelle Pascal Canfin.

Les espèces invasives – introduites volontairement ou involontairement par l’homme dans un milieu qui n’était pas le leur – complètent le tableau des menaces avec la pollution ou le changement climatique.
« La nature repart très vite du moment qu’on la laisse tranquille »

Si les chiffres inquiètent, la situation n’est pas désespérée, insiste WWF. C’est un avantage qu’a d’ailleurs cet enjeu de la préservation de la biodiversité sur celui du réchauffement climatique. « Il n’y a pas de solutions aujourd’hui pour retirer de l’atmosphère le surplus de gaz à effet de serre que l’on émet, rappelle le directeur de WWF France. En revanche, du moment que nous la laissons tranquille et que nous prenons des mesures pour la préserver, la nature repart très vite. »

Les pandas sauvages en Chine, les saumons de la Loire, les thons rouges en mer Méditerranée et en Atlantique, les baleines bleues… Plusieurs espèces ont ainsi vu leurs populations repartir à la hausse grâce à l’arrêt de la pêche et/ou l’instauration de programme de conservation. Les tigres sauvages sont un autre exemple. En 2010, alors que la population mondiale de tigre était estimée à moins de 3.200 individus, treize pays de sa zone de répartition naturelle [en Asie] s’étaient engagés à doubler la population d’ici 2022. « Le Népal y est d’ores et déjà parvenu sur son territoire et la population globale repartait à la hausse en 2016, indique Valérie Gramond, directrice des programmes de conservation au WWF. Or, en protégeant le tigre, le pays préserve du même coup des forêts entières et six bassins-versants qui alimentent en eau les grands centres urbains d’Inde, de Malaisie, de Thaïlande… »

C’est un autre point sur lequel insiste WWF. Préserver la biodiversité, c’est aussi s’assurer de la continuité des services que nous fournit à ce jour gratuitement la nature. La pollinisation, la production de nutriment nécessaire à la croissance des plantes, l’épuration naturelle des eaux, la production d’oxygène…

Pascal Canfin renvoie alors à une étude menée en 2014 par l’économiste américain Roberto Costanza et qui concluait que la valeur de ces services écologiques globaux fournis par la nature s’élevait à 125 milliards de dollars par an (110 milliards d’euros). « Soit près de 1,5 fois le PIB mondial, rappelle le directeur général de WWF France. Autrement dit, notre économie dépend très fortement de ces services écologiques. »
Une année 2020 cruciale

La communauté internationale s’est d’ores et déjà fixé l’objectif de zéro perte supplémentaire du vivant d’ici 2030. C’est l’un des 17 objectifs de développements durables définis en 2015 par les Nations Unies. Pour y parvenir, il faudra en passer par des accords internationaux concrets, à l’image du processus en cours sur le réchauffement climatique. 2020 sera une année cruciale sur ce point avec le congrès de l’ UICN (Union internationale pour la conservation de la Nature) à Marseille en juin, suivi de la Convention sur la diversité biologique (COB) l’équivalent des COP sur le climat, en novembre à Pékin.

En parallèle, WWF veut impliquer dès à présent d’autres acteurs sur le sujet. « Les banques de développement, les collectivités locales, les entreprises en faisant en sorte qu’elles s’engagent à ce que leurs activités ne se fassent plus au détriment de la préservation de la biodiversité, explique Pascal Canfin. « Sans oublier les consommateurs qui, à leur échelle, par leurs achats, peuvent lutter contre la déforestation ou limiter les atteintes à la fertilité des sols ou la surexploitation de certaines espèces », complète Valérie Gramond.

Publié dans Nature

Partager cet article

La planète nous parle, il est temps de l'écouter.

Publié le par Notre Terre

planète terre malade

Depuis cet été l'humanité doit faire face à des catastrophes climatiques et sismiques rarement observées, jamais il n'y avait eu autant de catastrophes naturelles concentrées en si peu de temps.

Voici une liste qui se veut la plus exhaustive possible des dernières catastrophes naturelles qui ont frappé l'humanité :

-Mi-septembre 2018, l'ouragan Florence dévaste le sud-est des Etats-Unis, faisant 31 morts.

-Vendredi 28 septembre, la Martinique est secouée par un séisme de 6,1 sur l'échelle de Richter.

-Au Guatemala, au mois de juin 2018, le Volcan de Fuego s'est réveillé : 75 personnes ont péri dans la catastrophe et 196 autres sont portées disparues.

-Au Japon, sur l'île d'Okinawa, aujourd'hui 30 septembre 2018, un puissant typhon balaye le pays à une vitesse de 216 km/h, le typhon se dirige sur l'île d'Honshu qui se prépare à des pluies diluviennes : de lourds dégâts matériels et des dizaines de blessés.

-Un précédent typhon, Jebi, le 21e de l'année dans la région, avait tué plus de 10 personnes début septembre dans l'ouest de l'archipel, provoqué divers dégâts matériels, et paralysé l'aéroport d'Osaka, construit sur une île artificielle en mer, avec des pistes envahies par les eaux.

-Au Japon toujours, des pluies diluviennes se sont abattues sur le pays du 5 au 8 juillet 2018, causant la mort de 140 personnes. A ce jour des centaines de personnes disparues n'ont toujours pas été retrouvées.

-En Indonésie, le 29 septembre 2018, un puissant séisme de 7.5  sur l'échelle de Richter déclenche un tsunami qui s'abat sur l'île des Célèbes : bilan au moins 400 morts.

-En Indonésie toujours, le 19 aout 2018, l'île de Lombok est secouée par deux séismes d'une magnitude supérieure à 6, causant de lourds dégâts matériels et un bilan humain lourd : 515 morts et plus de 7000 blessés.

-Le Viêt-Nam a subi de fortes inondations causées par le typhon Son Tinh au mois de juillet 2018, faisant au moins 19 morts.

-En Inde, au mois d'août 2018, l'Etat du Kerala est frappé une mousson meurtrière faisant au moins 445 morts. Cette mousson est la plus violente depuis un siècle

-Aujourd'hui 30 septembre, la Grèce est en état d'alerte maximale, le pays se prépare à affronter un "medicane", ouragan se formant en méditerranée. Des vagues de 7 à 8 mètres et des vents à 100 km/h sont attendus.

-Le Mexique et la Californie se préparent à faire face au cyclone Rosa, qui vient de passer de la catégorie 3 à 4, sur une échelle de 5.

-Au Canada, le 21 septembre 2018, dans la région d'Ottawa, des tornades ont frappé durement la région détruisant des centaines d'habitation.

-Antilles-Martinique : la tempête tropicale Kirk balaye la région causant d'importantes inondations

-L'Europe occidentale subit, quant à elle, une sécheresse historique, l'Allemagne cuit et sa production agricole est en chute libre avec 1.4 milliard d'euros de perte.

-L'été 2018 a été terrible pour la Suède qui a connut des incendies, eux aussi  historiques : plus de cinquante incendies de forêt dont certains au dessus du cercle polaire!

-L'été caniculaire n'a pas épargné le pôle Nord dont les températures ont augmenté de 30 degrés au dessus des normales saisonnières, un triste record...

-En France, l'été caniculaire de 2018, a tué 1500 personnes de plus qu'un été normal selon les chiffres du ministère de la santé.

-Et je ne vous parle pas de ces dizaines de volcans qui sont en train de se réveiller à travers le monde...

-D'ici 2100, 2 européens sur 3 seront affectés par des événements climatiques extrêmes selon une étude publiée en août par la revue " The lancet planetary health".

j'ai attrapé l'humanité

La planète nous parle et nous n'entendons rien! Elle nous demande de cesser de la maltraiter sinon elle continuera à déclencher des catastrophes naturelles jusqu'à ce qu'elle soit débarrassée de nous. A ce propos, en 2014, la NASA finança une grande étude dont le résultat était attendu : la fin de notre civilisation dans quelques décennies.

Voici l'article en question que j'ai retrouvé sur le site du nouvelobs.com :

"Une étude menée par une équipe multidisciplinaire, basée sur des travaux de mathématiques appliquées aux sciences humaines, financée par la Nasa, et dont le contenu vient d'être révélé par le site du "Guardian".

Plusieurs facteurs à l'origine du déclin des grandes civilisations

En étudiant les cas précédents, l'équipe menée par le mathématicien Safa Motesharrei a identifié les facteurs à l'origine du déclin des grandes civilisations : la population, le climat, l'eau, l'agriculture et l'énergie. La chute surviendrait lorsque ces facteurs convergent pour provoquer deux éléments cruciaux :

- la réduction des ressources due à la pression mise sur la capacité de charge écologique (la taille maximale de population qu'un milieu peut supporter). Traduction : trop de monde sur Terre par rapport aux ressources disponibles (nourriture, eau, matières premières nécessaires pour maintenir la civilisation...)

- la stratification de la société entre élites (riches) et masses (pauvres). Ce phénomène aurait joué un rôle central dans la chute dans tous les exemples étudiés sur les derniers 5000 ans. Traduction : un trop grand fossé entre ceux qui contrôlent les richesses et les autres. Cela désigne également le clivage entre pays riches et pays pauvres.

Distribution des ressources et consommation d'énergie

Les chercheurs ont modélisé différents scénarios, qui mettent en avant que les élites (qui ont le monopole des richesses) sont protégées plus longtemps que les gens du commun des désastres environnementaux, et qu'elles sont donc tentées de continuer à vivre comme si de rien était, en dépit des catastrophes prévisibles. Traduction : dans notre cas, cela pourrait signifier par exemple le refus d'admettre la réalité du changement climatique et de prendre les mesures nécessaires avant qu'il ne soit trop tard...

Même s'ils l'estiment "difficile à éviter", ils semblent penser que la catastrophe n'est pas totalement inévitable, à condition de prendre les mesures structurelles nécessaires pour cela... Les deux solutions-clé étant d'assurer une distribution des ressources plus équitable, et de réduire drastiquement la consommation d'énergie en se basant sur des ressources renouvelables... en réduisant la croissance de la population. Tout cela nous mènerait alors peut-être à une civilisation plus stable.

Des sacrifices nécessaire à la survie de notre civilisation

Alors, on fait quoi ? Ce n'est pas la première fois que les inégalités Nord-Sud, l'exploitation à outrance de ressources non renouvelables et la surpopulation sont pointées du doigt. La nouveauté, ici, c'est qu'un modèle mathématique les a décrites comme des causes très probables de la chute de la civilisation actuelle.

C'est un peu comme pour le changement climatique. Il y a ceux qui mettent en avant les chiffres et le temps, et d'autres qui expliquent par A plus B qu'il n'existe pas. Et ceux qui se foutent du résultat, et ne veulent tout simplement pas changer. De plus, toute société a ses propres mécanismes de défense et son inertie : ceux qui bénéficient de la situation sont ceux qui ont le contrôle, et donc ceux qui pourraient éventuellement changer les choses de manière "souple".

La question que l'on pourrait tous se poser serait de savoir quels sacrifices nous serions individuellement et collectivement prêts à faire pour que ce changement survienne s'il s'avérait nécessaire à la survie de cette civilisation..."

 

Publié dans Nature, Pollution

Partager cet article

La phrase du jour

Publié le par Notre Terre

 

Publié dans Nature

Partager cet article

Cette croissance qui tue...lentement

Publié le par Notre Terre

françois ruffin

La croissance ne fait plus le bonheur....la croissance augmente mais le bonheur par habitant baisse. La croissance s'est hissée sur le dos des classes pauvres et sur la destruction de la nature.

https://www.youtube.com/watch?v=fRUxBKOq9kc

 

Publié dans Nature

Partager cet article