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La plante qui combat le cancer et dont personne ne parle

Publié le par Notre Terre

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Une étude menée à l'Université de Purdue à Lafayette (États-Unis) a récemment découvert que les feuilles de l'arbre Graviola tuaient les cellules cancéreuses chez six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon. Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie comme le fruit de Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

 

Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité, et tuer les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas, et est jusqu'à 10.000 fois plus forte en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à «l'Adriamycine, un médicament de chimiothérapie couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de «l'arbre Graviola seulement tue les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines.

 

Une importante société pharmaceutique américaine a alors oeuvré durant sept ans à essayer de synthétiser deux des ingrédients anti-cancer du Graviola. Mais il n'a pas été possible de synthétiser en aucune façon les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L'original tout simplement n'a pas pu être reproduit.

 

Le National Cancer Institute a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola se sont révélés efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics.

 

 

 

 


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« On produit de la viande comme on fabrique des bagnoles »

Publié le par Notre Terre

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En 2009, dans son livre « Bidoche » (éditions Les liens qui libèrent), le journaliste Fabrice Nicolino s’était penché sur les ravages de l’industrialisation de la viande. Aujourd’hui qu’éclate le « Findusgate », ou le « horsegate », comme on préfère, son analyse radicale prend toute sa saveur.
Le mal semble plus profond que cette histoire de fraude ne veut bien le faire penser : c’est tout notre rapport à la viande qui est à repenser. Pas seulement parce que l’excès de consommation de « produits carnés », comme on dit, nuit à l’environnement et à la santé, mais parce qu’on a perdu le contrôle du système.

Cette affaire en est la preuve et devrait logiquement déclencher une prise de conscience des consommateurs : qui peut se satisfaire de manger du minerai de viande, dont « avant, on n’osait pas faire de la bouffe pour chat » ?

 

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Interview réalisée par Rue89.

 

Rue89. Qu’est-ce qui vous frappe dans la crise actuelle ?

Fabrice Nicolino. La crise n’est pas celle qu’on croit. Arrivant après tant d’autres, elle montre que le système de la viande industrielle est en bout de course. Plus personne n’a confiance, mais aucune autorité n’a et ni n’aura le courage de reconnaître enfin que le roi est nu.

La première chose qui m’a frappé, c’est d’entendre Stéphane Le Foll dire à la radio qu’il découvrait « la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne ». Mais quelle hypocrisie ! Ce ministre de l’Agriculture, petit-fils de paysan, titulaire d’un BTS d’agriculture, connaît très bien cet univers pour avoir notamment copiné avec Xavier Beulin, le patron de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA)… alors quand il feint de découvrir la lune, il se moque du monde. Il sait très bien comment ça se passe.


Pourquoi fait-il cela ?

Parce que comme tous les acteurs de l’industrie agroalimentaire, il a une trouille bleue de se retrouver face à une crise de l’ampleur de celle de la vache folle. Il a pris des cours de communication de crise, dans le but de calmer le jeu. Et la communication de crise, en cette circonstance, passe par deux trucs vieux comme le monde :

    désigner un coupable ;
    et annoncer qu’on va multiplier d’implacables contrôles.

Comme il fallait trouver un bouc émissaire, on a cherché d’abord du côté de la Roumanie, puis de la Hollande, et enfin en France avec Spanghero, au pays basque. Un truand a trahi la confiance, on lui retire l’agrément, et comme on est responsables et efficaces, ça ne se reproduira pas. Tout cela n’a qu’un seul but : calmer l’opinion pour éviter un scandale majeur, qui remettrait en cause des intérêts économiques et financiers gigantesques.

Ce n’est pas une erreur du système mais le cœur du système qui dysfonctionne ?

Bien sûr car on est passé d’une situation où la viande était issue d’un élevage plus ou moins artisanal, où il y avait un contrôle social étroit sur la manière dont les animaux étaient élevés, à une industrie de la viande, avec des abattoirs modernes, des traders, des Bourses, des régions comme la Bretagne devenues ateliers de viande et de lait…

Aujourd’hui, on peut dire que la viande a atteint la perfection industrielle, c’est une industrie mondialisée, qui appartient souvent à des fonds de pension ou des organismes financiers et qui pose les mêmes problèmes que l’économie financiarisée : la nécessité de dégager des taux de rentabilité de 8 à 10%…

Peut-être que Spanghero a été pris à la gorge par ce système. Se plaindre de cela c’est remettre en cause l’ensemble du système industriel.

On va en savoir plus sur cette viande grâce à des tests ADN.

Mais ce n’est pas le problème de savoir si c’est du bœuf ou du cheval ! Cette question-là est psychologique et non sanitaire. Le vrai scandale est de savoir ce que contient réellement la viande, d’où qu’elle provienne. Faire un test ADN est très facile, mais ce qui changerait tout, ce serait de faire des analyses chimiques complètes, et donc très coûteuses.

On se rendrait compte alors que dans l’univers mondialisé, la viande contient quantité de molécules chimiques toxiques, potentiellement dangereuses pour la santé humaine. Tout simplement parce qu’il faut « produire » de la viande le plus vite qu’il est possible, et que les techniques pour y parvenir sont connues : anabolisants, hormones de croissance, antibiotiques qui, dans certains cas, peuvent également doper la croissance des muscles.

Mais on ne fera pas ces analyses, car on serait sûr de trouver des résultats affolants. On produit de la viande comme on fabrique des bagnoles : il faut aller vite, à la chaîne, en réduisant les coûts intermédiaires.

Comment protéger le consommateur européen ?

On ne peut pas. On a créé une créature digne de Frankenstein, un système qui a échappé au contrôle social et moral des humains. Les crédits pour le contrôle ne cessent de régresser, les services vétérinaires sont insuffisants. Et puis on ne peut pas contrôler la viande qui circule dans le monde entier. C’est comme pour les billets de banque, on est obligés de faire confiance, or la confiance n’est plus là.

Je trouve très éclairant l’exemple du MRSA, le Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (Sarm), qui prolifère de manière extraordinaire dans les élevages porcins. Des études aux Etats-Unis montrent que cette bactérie mutante est présente dans la moitié des porcheries.

Une enquête menée aux Pays-Bas prouve sa présence dans 57% des porcheries industrielles et chez 29% des salariés des porcheries. Un article du New York Times, basé sur des chiffres officiels, dit qu’elle a tué 19 000 personnes en 2005 aux Etats-Unis, soit plus que le sida ! C’est une bombe sanitaire autrement angoissante que la viande de cheval roumaine !

Or, on ne cherche pas sa présence de manière active en France aujourd’hui. Pourquoi ? A cause du système verrouillé de cogestion de l’agriculture industrielle, qui mêle depuis cinquante ans ministère de l’Agriculture, FNSEA et industriels ?

Il est nécessaire de sortir de l’élevage industriel, mais je ne connais pas un responsable capable de dire ça. Si Le Foll disait la vérité sur ce système, il sauterait demain matin, bien entendu.

Mais je n’oublie pas que les consommateurs réclament un prix extrêmement bas pour leur alimentation (rappelons que la part de l’alimentation dans le budget des familles n’a cessé de baisser depuis un siècle). Les gens préfèrent avoir trois téléphones portables plutôt que de payer le juste prix pour une nourriture qui les maintiendrait pourtant en bonne santé.

 

 

 


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Du Round-UP a été retrouvé dans les urines de personnes n’en ayant jamais utilisé !

Publié le par Notre Terre

Le glyphosate, un herbicide courant, passe dans l’organisme sans que l’on comprenne encore comment.

 

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Monsanto encore au cœur des attaques d’écologistes. Cette fois, c’est le désherbant le plus célèbre, Round-Up, qui est en cause. Plus précisément l’un de ses composants, le glyphosate. L’association Les Amis de la Terre a testé 10 Français volontaires censés n’avoir jamais utilisé de substances susceptibles de contenir du glyphosate. D’après les analyses, trois des échantillons contenaient du glyphosate. Cette enquête, bien qu’à très petite échelle, va dans le même sens que d’autres mesures réalisées dans d’autres pays par les versions étrangères de cette association, où du glyphosate a été découvert dans des urines de personnes n’ayant jamais utilisé de désherbant.

 

« Nous sommes exposés quotidiennement à ce produit, pourtant, on ne sait pas comment il pénètre dans nos corps et peu de choses sont connues sur sa dissémination dans l'environnement ou sur ces conséquences néfastes pour notre santé. Alors que c'est l'herbicide le plus utilisé en Europe, il est scandaleux que les pouvoirs publics ne contrôlent que rarement s'il y a du glyphosate dans nos aliments et dans l'eau potable. Pourtant, quand on fait ces recherches, comme les Amis de la Terre, il s'avère que la contamination humaine est répandue. » s’emporte Christian Berdot, des Amis de la Terre France.


Le glyphosate étant très utilisé, il n’est pas choquant d’en retrouver des traces. D’autant plus qu’il ne s’agit pas d’une molécule biodégradable. Elle reste présente dans le sol plus d’un mois minimum. La question est : dans quelle quantité ? L’effet toxique du glyphosate sur les animaux et sur l’homme reste discuté. Dans les études contradictoires existantes, les unes prouvent sa toxicité, les autres son innocuité. L’Union Européenne doit s’intéresser au glyphosate en 2015.

 

 


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Les ingrédients de certains nuggets de poulet ne vont pas vous plaire

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Tout le monde aime ça, les nuggets. C’est facile à manger, ce n’est pas cher et les enfants adorent ça. Mais de quoi se composent réellement ces petits beignets ? De poulet, bien sûr. Sauf que, selon les recettes, le terme de « poulet » peut parfois revêtir une acception franchement large.


Cela concerne en tout cas deux nuggets qui ont été testés par des chercheurs américains. Dans leur étude intitulée The Autopsy of Chicken Nuggets Reads « Chicken Little » et publiée en septembre, ils révèlent que ces deux beignets particuliers, prélevés au hasard dans deux chaînes de fast-food aux Etats-Unis, contiennent chacun moins de 50% de filet de poulet. Ces quantités minimales de blanc ou de cuisse sont mélangées, au choix, avec de la peau, des os, de la graisse ainsi que divers abats et nerfs. Ce n’est pas exactement une révélation, mais les scientifiques soulignent que les deux restaurants en question – dont ils n’ont pas révélé les noms – parlaient malgré tout de « poulet » sur leur menu.

Les fast-food contraints à la transparence

Interrogé par Reuters, le Dr. DeShazo du Centre de recherche médicale de l’Université du Mississippi indique que les morceaux étudiés ne sont que des produits dérivés de poulet, composés essentiellement de sel, de sucre et de gras. Il admet néanmoins que l’étude n’étudie pas un échantillon suffisant pour généraliser aux milliards de nuggets produits chaque année.

Par ailleurs, comme le rappelle l’Observatoire américain de la volaille, les ingrédients ne restent jamais réellement secrets, puisque les chaînes sont tenues légalement de fournir toutes les informations concernant leurs préparations. Finalement, la question reste encore de savoir pourquoi ces chercheurs se sont limités à l’analyse de deux nuggets.

Une histoire d’amour avec les enfants

On sait que les nuggets sont un des mets préférés des enfants – ils ont pratiquement été inventés pour eux et constituent l’un des principaux choix dans les menus qui leur sont réservés au restaurant.

Ce dont on ne se rend pas forcément compte, c’est que certains en sont tellement fans qu’ils mangeraient leurs morceaux de poulet même si on leur démontre qu’ils sont faits à partir d’une bouillie répugnante. C’est le triste résultat de l’expérience qu’a menée le chef anglais Jamie Oliver :

 

 

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CANCER – Les téléphones mobiles augmenteraient le risque de 300%

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Une nouvelle étude suédoise révèle un risque accru de 300% du cancer du cerveau pour les utilisateurs de téléphone mobiles et sans fil rapporte l’association Robin des Toits.

 

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Des études antérieures avaient montré une association cohérente entre l’utilisation à long terme des téléphones mobiles et sans fil et le gliome et le neurinome acoustique, mais pas pour le méningiome, souligne l’ONG en guerre contre les risques sanitaires liés aux technologies sans fil. L’étude voulait évaluer la relation à long terme (> 10 ans) entre l’utilisation des téléphones sans fil et le développement de tumeurs cérébrales malignes.

Ses résultats confirment les études antérieures affirme l’association, révélant l’impact de cette utilisation dans le déclenchement et le développement de ces cancers du cerveau. L’Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé le téléphone mobile en tant que cancérogène « possible » pour l’homme précise Robin des Toits.


Pour en savoir + : http://www.spandidos-publications.com/10.3892/ijo.2013.2111

 

 


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