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Top 10 des causes de décès dans le monde selon l’OMS

Publié le par Notre Terre

L’Organisation mondiale de la santé a publié la liste noire des maladies les plus mortelles dans le monde en 2011. Ce bilan permet de dresser l’état de santé de la planète et d’observer l’influence de la modernité sur son évolution.

On ne meurt plus aujourd’hui pour les mêmes raisons qu’autrefois. En effet, l’amélioration des connaissances médicales et le changement des habitudes de vie ont considérablement bouleversé les principales causes de décès depuis le début du XXe siècle. Afin de connaître l’évolution de la mortalité de cette dernière décennie, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier la liste des principales maladies ayant conduit à la mort de presque 55 millions de personnes en 2011.

 

Les maladies non transmissibles sont les plus pernicieuses, puisqu’elles sont responsablesdes deux tiers des décès dans le monde cette année-là. Parmi elles, les pathologies cardiovasculaires (cardiopathies ischémiques et accidents vasculaires cérébraux) sont arrivées en tête, faisant environ 13,2 millions de victimes.

 

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 Dans les pays à haut niveau de revenu, les personnes âgées d’au moins 70 ans sont les plus frappées par l’ensemble de ces maladies (7 décès sur 10). Ces personnes meurent principalement de maladies chroniques, telles que les problèmes cardiovasculaires, les cancers ou le diabète.

 

En revanche le tableau est très différent dans les pays pauvres. En effet, 40 % des décès concernent des enfants de moins de 10 ans, et seulement 20 % des individus de plus de 70 ans. Les principales causes de mortalité sont les maladies infectieuses comme les maladies diarrhéiques, les infections respiratoires, le Sida, le paludisme et la tuberculose. Les complications lors l’accouchement et la prématurité représentent également un risque majeur pour la santé dans cette partie du monde.

Entre 2010 et 2011, la situation n’a pas énormément évolué. Les six maladies le plus mortelles de 2011 sont les cardiopathies ischémiques, les accidents vasculaires cérébraux, les infections respiratoires, les maladies pulmonaires chroniques, les maladies diarrhéiques et le Sida. Latuberculose et les complications lors de l’accouchement ne font plus partie du top 10, mais elles restent pourtant très meurtrières et ne doivent pas être oubliées. Les accidents de la route s’insèrent quant à eux dans le peloton de tête, en remontant d’une place par rapport à 2010 pour atteindre la 9e position.

 

 

 

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L’agriculture incapable de suivre la croissance démographique

Publié le par Gerome

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La croissance prévisible des cultures sera insuffisante pour fournir assez de nourriture pour nourrir la population humaine d’ici 2050. C’est la conclusion – inquiétante – d’une nouvelle étude sur la productivité agricole face à l’explosion démographique.
Les cultures incapables de nourrir la population mondiale

Si on veut nourrir toute la population mondiale escomptée en 2050, la productivité agricole devra augmenter d’au moins 60% d’ici là et pourrait même devoir doubler, si on en croit une étude de chercheurs qui ont étudié les récoltes sur le plan mondial.



Selon Deepak Ray, chef de l’étude, la productivité agricole n’augmente pas assez vite actuellement pour fournir à la demande. Les chercheurs ont étudié les rendements de 4 récoltes clés : le maïs, le riz, le blé et le soja. Pour conclure que leur rendement s’accroit actuellement de seulement de 0.9% à 1.6% par an. Cette croissance n’aboutirait qu’à un accroissement global de 38 à 67% d’ici à 2050, ce qui ne serait suffisant pour nourrir la population mondiale qu’à la condition qu’on soit dans la fourchette haute de la croissance pour les cultures et le bas de la fourchette pour la demande de nourriture.

 

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Ce scénario ne prendre d’ailleurs pas en compte d’autres facteurs et notamment pas l’évolution du climat, qui ne va clairement pas dans le sens d’une amélioration globale à l’échelle planétaire : au contraire la Banque mondiale prédit qu’il y a aura des pénuries alimentaires massives dans plusieurs zones dès 2030.

L’étude remet en lumière le débat sur les cultures OGM et leur efficacité : certains scientifiques affirment qu’elles seront indispensables dans un futur pas si lointain si on veut pouvoir nourrir tout le monde, c’est à dire plus de 9 milliards de personnes au milieu du siècle.

    Production mondiale de blé
    Production mondiale de maïs
    Production mondiale de soja
    Production mondiale de riz



Certains pays très exposés à la famine

Selon cette nouvelle étude, certains pays sont en de bien moins bonne position que d’autres. C’est le cas du Guatemala par exemple. Dans ce pays, le rendement de la culture de maïs décline alors que la population augmente.

 

La lente amélioration de la productivité agricole dans le monde contraste avec la nette amélioration qu’on a connu pendant la période de la « révolution verte » qui a enregistré une énorme croissance des rendements agricoles des années soixante au début des années 70.  C’est au cours de cette période qu’on a commencé à utiliser massivement les engrais artificiels, les pesticides et de nouvelles techniques agricoles. La révolution verte a permis la croissance démographique impressionnante qu’on a connu, notamment en Asie.
La dégradation des sols agricoles et des terres vierges.



La demande alimentaire croissante fait peser des menaces sur les rares étendues de terrains ou forêts vierges qui existent encore. Les défricher est un moyen de compenser l’insuffisante amélioration des rendements agricoles mais cela entraine, en retour, encore plus de dommage sur l’équilibre des écosystèmes et du climat. Les terres agricoles fertiles deviennent un actif de luxe que certains pays surexploitent.

Ceci dit, les auteurs de l’étude n’ont pris en compte que les rendements des grandes cultures et ils soulignent qu’il y a bien d’autres moyens d’accroitre la production alimentaire dans le monde :

     tout d’abord en stoppant le gaspillage alimentaire,
    en développant des cultures plus adaptées et diversifiées,
    en utilisant moins de terres pour produire des biocarburants,
    en consommant moins de viande
    en consommant plus d’algues, de légumineuses, d’insectes, …
    etc.

    Céréales  – le saviez-vous ?


    Près de 40% de ces céréales sont utilisées pour nourrir le bétail mondial, ce qui en détourne autant du marché de l’alimentation humaine.
    Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et pour  l’Agriculture, il faut :
    - 11 calories d’origine végétale pour produire 1 calorie de boeuf, ou de mouton,
    - 8 calories d’origine végétale pour produire 1 calorie de lait,
    - 4 calories d’origine végétale pour produire 1 calorie de porc, de volaille, ou d’oeuf.

La conclusion de Jon Foley, co-auteur de l’étude, est la suivante « Il est évident que le monde fait face à une crise agricole mondiale en gestation. La bonne nouvelle est qu’il y a bien des moyens d’améliorer les techniques agricoles. Mais si on veut avoir suffisamment d’influence sur la production agricole mondiales, il n’y a pas de temps à perdre.«

    9 milliards d’habitants sont prévus d’ici 2050. L’empreinte écologique de l’humanité sur la planète a plus que doublé au cours des 45 dernières années en raison de la croissance démographique. Cela représente 3 milliards de personnes de plus en très peu de temps, la plupart qui naitront dans les pays pauvres. D’ici à la fin du siècle, la Terre comptera 11 milliards d’habitants.

 

 

 

 

Ce scénario ne prendre d’ailleurs pas en compte d’autres facteurs et notamment pas l’évolution du climat, qui ne va clairement pas dans le sens d’une amélioration globale à l’échelle planétaire : au contraire la Banque mondiale prédit qu’il y a aura des pénuries alimentaires massives dans plusieurs zones dès 2030.

L’étude remet en lumière le débat sur les cultures OGM et leur efficacité : certains scientifiques affirment qu’elles seront indispensables dans un futur pas si lointain si on veut pouvoir nourrir tout le monde, c’est à dire plus de 9 milliards de personnes au milieu du siècle.

Certains pays très exposés à la famine

Selon cette nouvelle étude, certains pays sont en de bien moins bonne position que d’autres. C’est le cas du Guatemala par exemple. Dans ce pays, le rendement de la culture de maïs décline alors que la population augmente.

- See more at: http://actuwiki.fr/environnement/22928#sthash.UGGlfV5H.dpuf

Ce scénario ne prendre d’ailleurs pas en compte d’autres facteurs et notamment pas l’évolution du climat, qui ne va clairement pas dans le sens d’une amélioration globale à l’échelle planétaire : au contraire la Banque mondiale prédit qu’il y a aura des pénuries alimentaires massives dans plusieurs zones dès 2030.

L’étude remet en lumière le débat sur les cultures OGM et leur efficacité : certains scientifiques affirment qu’elles seront indispensables dans un futur pas si lointain si on veut pouvoir nourrir tout le monde, c’est à dire plus de 9 milliards de personnes au milieu du siècle.

Certains pays très exposés à la famine

Selon cette nouvelle étude, certains pays sont en de bien moins bonne position que d’autres. C’est le cas du Guatemala par exemple. Dans ce pays, le rendement de la culture de maïs décline alors que la population augmente.

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Ce scénario ne prendre d’ailleurs pas en compte d’autres facteurs et notamment pas l’évolution du climat, qui ne va clairement pas dans le sens d’une amélioration globale à l’échelle planétaire : au contraire la Banque mondiale prédit qu’il y a aura des pénuries alimentaires massives dans plusieurs zones dès 2030.

L’étude remet en lumière le débat sur les cultures OGM et leur efficacité : certains scientifiques affirment qu’elles seront indispensables dans un futur pas si lointain si on veut pouvoir nourrir tout le monde, c’est à dire plus de 9 milliards de personnes au milieu du siècle.

Certains pays très exposés à la famine

Selon cette nouvelle étude, certains pays sont en de bien moins bonne position que d’autres. C’est le cas du Guatemala par exemple. Dans ce pays, le rendement de la culture de maïs décline alors que la population augmente.

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Espérance de vie, l'industrie agro chimique nous assassine

Publié le par Gerome

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Note personnelle concernant l'article précédent :

 

notre espérance de vie diminue principalement à cause de notre alimentation bourrée de pesticides, colorants chimiques alimentaires, conservateurs, édulcorants (aspartame), nos gels douches à la fleur de Monoï ou la à la rose du Maroc, bourrés de saloperies chimiques. L'eau que nous buvons en bouteille en plastique, plastique contenant du BPA (perturbateur endocrinien reconnu), mais aussi l'eau du robinet bourrée de nitrates (surtout en Bretagne : région la plus polluée de France à cause d'une agriculture irrespectueuse de l'environnement).

 

La pollution atmosphérique des grandes villes, mais aussi les pollutions visuelles et sonores qui génèrent du stress et qui attaquent  et fragilisent l'organisme. La wifi de nos box allumées en permanence, le rayonnement de nos écrans, les ondes de nos portables que nous collons à notre cerveau plusieurs heures par semaine, les antennes relais ultra puissantes placées sur nos toits d'immeubles et qui balancent en permanence des ondes nocives et mortelles. Les lignes à haute tension qui traversent villes et villages et qui déclenchent des leucémies ou des tumeurs, les médicaments que nous prenons qui nous rendent souvent encore plus malades qu'au début....

 

Ces fameux sous vêtements à la mode en synthétique (comme le marque Freegun) (produit issu du raffinage du pétrole) que nous collons sur nos parties génitales.

Les réacteurs nucléaires dispersés un peu partout (58 rien que pour la France), les accidents nucléaires de Tchernobyl et Fukushima.

Vous savez quoi? C'est l'occident qui détient les taux de cancers les plus élevés au monde (Europe, USA, Canada), nul besoin de vous faire un dessin. Malgré la pauvreté les pays en développement ont des taux de cancers très bas, notamment en Inde.


Lisez bien ceci et retenez bien ce que je vais dire : dans moins de quarante ans, il n'y aura plus de centenaires, ni même de nonagénaires ou octogénaires. La mort nous emportera avant même la retraite. On travaillera comme des cons toute notre vie dans des boîtes qui nous mépriseront et on finira dans une autre boîte beaucoup plus petite. Non, non pas des cerceuils, des pots. Oui des pots car les cimetières seront plein à craquer.

 

 

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Espérance de vie, le mensonge

Publié le par Gerome

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VIVONS-NOUS VRAIMENT PLUS LONGTEMPS?
NON,.... MAIS ON LE CROIT.

Les médias martèlent que l’espérance de vie ne cesse de s’allonger. Et ce grâce aux progrès de la médecine. Or l’Etat français dépense actuellement près d’un milliard d’euros par jour pour assurer les soins de la population. Malgré l’énormité de cette somme, le nombre de malades augmente et la morbidité a plus que doublé depuis 1970. Auto-persuasion naïve ou manipulation du lobby pharmaceutique?


Dans un article paru dans le magazine Nexus n° 74 des mois de mai et juin, Sylvie Simon, journaliste entêtée qui fait son boulot (ce qu’on ne peut plus dire de la majorité des journalistes de la presse actuelle quand il s’agit de santé publique) compare les faits avec la propagande pharmaceutique et remet les pendules à l’heure. Et les faits sont têtus.

(..) L’amélioration de notre espérance de vie par la médecine est l’une des plus grandes contrevérités de ce siècle qui relève d’une manipulation de chiffres. Il est exact que la mortalité infantile, en bas âge et en couche, a fortement diminué grâce à l’hygiène de vie, mias la mortalité prématurée, c’est à dire celle qui intervient avant l’âge de 65 ans, est à l’origine de 25% des décès annuels dans l’Hexagone.


(…) Le 14 février 2004, le professeur Dominique Belpomme, cancérologue à l’hôpital Georges-Pompidou, a confirmé sur France Inter que l’allongement de la durée de vie au-delà de soixante ans était quasiment nul et que les chiffres optimistes viennent surtout de la réduction de la mortalité néonatale et infantile, grâce aux antibiotiques et, encore une fois, à l’hygiène de vie.
Ce qui n’empêche pas certains (mal informés?) d’entonner encore et encore le même refrain avec le même enthousiasme:

(…) Le 29 septembre 2005, Thierry Breton, ministre de l’Economie, affirmait sur France Inter que “l’espérance de vie s’allonge de trois mois par an” grâce aux sommes dépensées par la Sécurité sociale. Et depuis, ces propos sont repris ad libitum par toutes nos autorités de santé, afin de convaincre de leur efficacité.


Ces affirmations sont d’autant plus ridicules que les nombreuses personnes âgées encore en vie ont eu très peu recours à la médecine chimique dans leur jeunesse, mangent sainement, et ont laissé les maladies infantiles forger leur système immunitaire sans vaccins.
(…) Non seulement, nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades et de plus en plus dépendants de l’industrie médico-pharmaceutique.

 

 

 

 

 

 

Source:https:// essaipat.wordpress.com/2011/05/ 24/ vivons-nous-vraiment-plus-longt emps-non-mais-on-le-croit/
ARTICLES:
http://www.intelligenceverte.org/EsperanceVie.asp

http://www.alimentation-responsable.com/un-constat-inquietant

http://www.liberation.fr/medias/01012325728-l-esperance-de-vie-a-commence-a-baisser

VIDEOS:
"Alerte à Babylone"
avec Claude Bourguignon:
http://www.koreus.com/video/alerte-babylone.html

"Alerte dans nos assiettes"
Le film entier (5 parties se suivent): http://www.dailymotion.com/video/xdeq2t_alerte-dans-nos-assiettes-1x5-fr-ph_news#

AUTRES INFORMATIONS:
Qu'il y a t'il dans mon assiette???:
http://www.pesticides-non-merci.com/alimentation-pesticides.html

http://www.pesticides-non-merci.com/pesticides-sante.html

 

 


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Cinq fois plus de pesticides autorisés dans l’eau du robinet depuis un an ! En toute discrétion

Publié le par Gerome

Ne le lisez pas trop fort, ça risquerait de s’ébruiter : En catimini, en février 2011, le ministère de la Santé a décidé de multiplier par 5 la concentration maximale autorisée pour les pesticides dans l’eau du robinet. Désormais à consommer avec modération.

 

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C’est l’association Générations Futures, ONG spécialisée dans la question des pesticides, qui a levé le lièvre le 7 février 2012, dans une indifférence médiatique totale.

 

Depuis 1998, un avis du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France (CSHPF) tenait lieu de réglementation. Dans une transposition quelque peu olé-olé de la directive européenne 98/83, le CSHPF avait en effet décidé que l’eau ne devait « pas être utilisée, ni pour la boisson, ni pour la préparation des aliments » si un pesticide s’y trouvait à une quantité supérieure à 20% d’une valeur répondant au doux nom de « valeur sanitaire maximale » (VMax, définie par divers organismes : OMS, EFSA, AFSSA…). Une interprétation qui dépassait déjà largement les normes européennes.

Les pesticides, c’est bon… buvez-en !

 

La « nouveauté », c’est qu’en février 2011, une instruction de la Direction Générale de la Santé (DGS, dépendant du ministère de la Santé), passée totalement inaperçue jusque là, a tout chamboulé. Sans tambour ni trompette, le ministère s’est donc jeté à l’eau et a décidé de porter les « seuils de potabilité » à 100% de la VMax. Soit une multiplication par 5 des seuils en vigueur ! Défoliant Décoiffant !

 

« Autrement dit : on va tolérer dans de très nombreuses localités des quantités de pesticides dans l’eau 5 fois plus importantes qu’avant décembre 2010 ! » déclare François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. « Ainsi pour un pesticide comme le folpet, pourtant classé cancérigène probable aux Etats-Unis, on va maintenant tolérer jusqu’à 300 μg/l pendant plus d’un mois alors qu’auparavant on ne pouvait dépasser les 60 μg/l pendant la même durée ! » fulmine-t-il.

 

Le ministère de la Santé en eaux troubles…

 

Autre conséquence de cette nouvelle mesure sanitaire : la baisse artificielle du nombre de personnes concernées par une présence excessive de pesticides nécessitant une restriction d’utilisation de l’eau. On est ainsi passé de 34 300 personnes touchées par ces restrictions en 2009 à une estimation de 8 939, selon les chiffres du ministère ! De la belle ouvrage…

 

« Cette amélioration en trompe l’oeil n’est due qu’à une manipulation des valeurs de pesticides acceptées dans l’eau et pas à une véritable amélioration de la situation » proteste François Veillerette qui voit là « la preuve que les autorités publiques ont renoncé à améliorer la situation en changeant les pratiques agricoles en profondeur mais préfèrent changer les graduations du thermomètre que de faire vraiment baisser la fièvre !« …

 

Et bientôt, au fil de l’eau, il suffira d’arroser son jardin pour le désherber ? On n’arrête pas le progrès…

 

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