nutrition & sante

Le slow food

Publié le par Gerome

Le Slow Food est un mouvement fondé en Italie en réaction à la généralisation du mode de consommation Fast Food. L'expression vient de l'anglais et signifie nourriture lente , en effet, contrairement à la restauration rapide, cette manière de réorganiser le circuit production alimentaire-consommation respecte les cycles naturels des saisons, les temps naturels de croissance mais aussi le temps du repas familial et convivial, le temps accordé à la commensalité !

 

Le Mouvement International Slow Food a été fondé à Paris en 1989 ; le siège est à Bra, en Italie. Des associations nationales ont été établies en France, aux USA, en Allemagne, en Suisse, au Japon et au Royaume Uni. Slow Food compte 100 000 adhérents dans 150 pays et 1 300 conviviums environ.

Slow Food est une association qui s'oppose aux effets dégradants de la culture de la fast-food qui standardisent les goûts ; qui promeut les effets bénéfiques de la consommation délibérée d'une alimentation locale, qui a des programmes d'éducation du goût pour les adultes et les enfants, qui travaille pour la sauvegarde et la promotion d'une conscience publique des traditions culinaires.


Elle aide les producteurs-artisans de l'agroalimentaire qui font des produits de qualité et encourage les initiatives de solidarité dans le domaine alimentaire. L'objectif de Slow Food est de développer un modèle d'agriculture moins intensif et nocif, capable de préserver et d'améliorer la biodiversité et d'offrir aussi des perspectives pour les régions moins riches.

Slow Food cherche à combiner le plaisir avec un profond sens de responsabilité à l'égard de l'environnement et du monde de la production agricole. On ne peut pas être gastronome et ne pas être sensible à la protection des cuisines locales, des races animales, des espèces végétales en danger d'extinction.


Le convivium est l'unité locale de Slow Food : c'est la voix d'un district qui possède une histoire culturelle et culinaire, et c'est la structure qui véhicule les idées Slow Food au niveau local. Les conviviums organisent des événements comme des ateliers du goût sur les mets et les vins, des visites chez des producteurs, des dîners thématiques.

Devenir adhérent de Slow Food signifie partager ce projet et participer aux activités proposées par le convivium.

 

Il s'agit donc de réagir contre la monoculture, les OGM, de retrouver les valeurs traditionnelles locales dans le respect de l'animal et de l'environnement, de revenir à nos racines. Les conviviums permettent de partager ces valeurs, de rétablir les liens entre producteurs et consommateurs et de renouer avec un mode de vie humain convivial. Alors qu'avec la restauration rapide, chacun dans la famille a tendance à manger son plat isolément et à son heure, on en revient à partager les spécialités locales, la cellule familiale reprend toute son importance. Tant sur le plan diététique que sur le plan psychologique, le fait de se poser pour partager le repas avec les siens peut être un bon moyen de lutter contre les désordres alimentaires que favorise la malbouffe.


Renouer avec les produits du terroir, cela voudra dire cuisiner à partir de produits frais, donc moins de tentation d'ouvrir un « snack » tout prêt à avaler. L'association liste les produits de l'arche du goût pour attirer notre attention (par allusion à l'arche de Noé qui a sauvé la faune de justesse) : si nous n'y prenons pas garde, nous allons perdre ces goûts, perdre les techniques de nos ancêtres. Ne parle-t-on pas déjà de légumes oubliés ? Des agriculteurs et des jardiniers passionnés et militants nous aident à les redécouvrir, mais il est temps !


Chacun peut adhérer à un convivium (plus de 40 en France et plus de 1 000 dans le monde. L'association travaille aussi en partenariat avec d'autres associations - dont les Colibris - qui partagent cette même analyse et prônent les mêmes solutions).

Un documentaire de terrain nous montre comment ce processus fou s'est emballé dans les années 60.

 

 


Publié dans Nutrition & Santé

Partager cet article

Ça Vous Regarde : Nutrition : quand notre assiette nous empoisonne...

Publié le par Gerome

Publié dans Nutrition & Santé

Partager cet article

Je vais vomir un peu et je reviens

Publié le par Gerome

Le malheur est dans nos assiettes, car pour des raisons discutables, l’industrie alimentaire est prête à nous faire avaler toutes les couleuvres, pourvu que çà lui profite.

Au moment où le salon de l’agriculture ouvre ses portes, c’est l’occasion de faire le point sur ce que nous proposent nos ingénieux commerçants.

Lorsque vous allez acheter votre steack quotidien, pour ceux qui le peuvent encore, des surprises se préparent.

Tout le monde connait (?) la pratique de la « remballe  » qui consiste à enlever les parties périmées d’un morceau de viande afin de redonner à l’entrecôte une seconde jeunesse, et en broyant les parties enlevées, votre boucher « remballeur » en fait d’éventuelles merguez bien épicées. vidéo

Mais il y a pire.


Certains bouchers peu scrupuleux n’hésitent pas à nettoyer la viande avariée avec de l’acide sulfurique, tel ce marseillais mis en examen en 2007. lien

En 2008, les autorités chinoises ont découvert une pratique peu encourageante : de l’eau est injectée dans la viande, afin d’augmenter la marge bénéficiaire, puisque l’eau coute moins cher que la viande.

Mais le plus inquiétant c’est que de la formaline peut y ajoutée (solution à base de formol) afin de la « désinfecter » et de lui redonner un "bel aspect" . lien


Les enquêteurs chinois ont relevé plus de 70 000 cas de fraude.

Plus de la moitié de la viande vendue dans leurs grandes surface est concernée par cette pratique, et le danger est d’autant plus important que des antiseptiques peuvent être injectés en même temps, et que des produits chimiques, tel l’atropine sont utilisés pour dilater les veines des animaux afin d’injecter une plus grande quantité d’eau. lien


Cette pratique ne se limite pas manifestement à la Chine. lien

Les anglais, gros consommateurs de poulets (1 million de tonne par an) ont découvert que ceux-ci, provenant souvent de Hollande, comportent près de la moitié d’eau.

Ce même poulet se vend aussi en France, et un vendeur de l’entreprise en cause avoue : « nous y rajoutons un peu d’eau, et plus on ajoute de l’eau, plus le prix devient intéressant. L’eau coute moins cher que le poulet ».  lien

Certaines fabricants proposent même un mélange de produits chimiques que vous pourrez injecter dans vos viandes, pour leur donner « du gout » avant de les passer au barbecue, ( lien) et pour donner du gout aux poulets, saucissons, poissons, fruits de mer, les industriels de la viande nous suggèrent d’y intégrer des phosphates, (lien) alors que d’ingénieux industriels proposent d’intégrer des fibres végétales qui permettent « une amélioration de la texture et plus de croquant ». lien


Et que dire de l’aspartame (E951) : il se retrouve dans au moins 6000 produits de consommation courante.

Alors que David Hattan, toxicologue à la FDA, affirme qu’il est sans danger, un autre spécialiste l’a donné à manger à des bébés souris et à observé les mêmes dégâts cérébraux produits par l’acide aspartique. vidéo

Après le lait frelaté à la mélamine, (lien) et celui du porc contaminé au clenbuterol, l’imagination des commerçants ne connait pas de limite. lien

On en vient à se dire qu’il ne faudrait plus prendre le risque de consommer des produits transformés.


Ecœuré, le consommateur se tourne donc vers les légumes, et les fruits, croyant échapper ainsi à ces pratiques dangereuses.

Mal lui en prend.

Les belles pommes rouges qu'il trouve chez son commerçant reçoivent en moyenne 27 traitements.

Plus de 50% des fruits, légumes et céréales consommées en France contiennent des résidus de pesticides, 7% des échantillons dépassant même les LMR (limites maximales en résidus). lien

Les raisins de table posent aussi des problèmes.

Une grande enquête menée par 5 ONG européennes sur 124 échantillons de raisins dans des magasins appartenant à 16 enseignes différentes est inquiétante.

Un seul échantillon ne comportait aucune trace de pesticides.

99,2 % des raisins contenaient des résidus de pesticides, et 4,8% des échantillons dépassaient la LMR. lien

C’est l’occasion de rappeler que la norme n’empêche pas le danger, car même si le produit consommé ne la dépasse pas, les pesticides ingérés s’additionnent dans notre corps, et auront fatalement des conséquences pour notre santé.

Il est plus que probable que tous les autres fruits connaissent le même problème.


Oublions donc les fruits, et optons pour les légumes.

Inutile de s’attarder sur les OGM, technique qui consiste à intégrer les pesticides dans la plante, de façon a tuer les insectes prédateurs qui auraient le malheur de s’y aventurer, mais c’est oublier que si ces pesticides OGM sont dans les fibres de la plante, ils se retrouveront aussi dans nos assiettes. lien

Pour ceux qui ne l’ont pas encore visionné, c’est le moment de découvrir l’émission d’Elise Lucet et Lionel de Coninck « pièces à conviction  » : « assiettes tous risques : manger peut nuire à la santé » (4, 5, 6) mais aussi cette vidéo « des toxiques dans nos assiettes  », et ce documentaire d’Eric Guéret, avec Isabelle Saporta diffusée le 16 février 2011 sur FR3. lien


Une bonne nouvelle quand même : le conseil d’état vient de condamner le Cruiseur, mais il reste d’autres pesticides qui menacent notre santé, et celle des abeilles dont on constate aujourd’hui l’effarante mortalité. lien

Une technique fait fureur aujourd’hui : l’irradiation des aliments. Pour ne pas effrayer le consommateur, vous ne verrez pas ce mot apparaitre, il est remplacé par celui « d’ionisation », mais le résultat est le même.

Il s’agit donc de soumettre les aliments à un rayonnement radioactif afin de tuer les bactéries qui pourraient les abimer, d’empêcher la germination (oignons, pommes de terre), et de ralentir le murissement des fruits. lien

Même nos herbes aromatiques sont irradiées.


En France, 80% de nos fruits et légumes subissent ce traitement. lien

Pour ceux qui se demandent quel est le danger d'une telle pratique, il leur suffit de cliquer sur ce lien

Les contrôles sont rares ou quasi inexistants : entre 100 et 200 échantillons par an, et ne concernent quasiment que les aliments importés.

Cette technique discutable est pourtant tout à fait légale, en vertu d’un accord passé entre la FAO (Food and Agriculture Organisation) et l’AIEA (agence internationale de l’énergie atomique).

Un collectif français s’est crée contre l’irradiation des aliments, et vous pouvez les rejoindre sur ce lien.


Devant cette avalanche de mauvaises nouvelles, il ne reste que peu d’alternatives au consommateur : acheter directement à un producteur, en se limitant aux fruits et légumes de saison, en s’étant assuré qu’il ne traite pas, ou encore mieux acheter bio.

Ceux qui rétorquerons qu’il coute un peu plus cher, on peut répondre que notre santé à un prix, et qu’il est bien plus onéreux de traiter un cancer (entre 2000 et 6000 € par mois).lien

Et puis, les légumes et fruits non traités ont du gout, et ont une supériorité nutritionnelle à ceux issus de l’agriculture industrielle.

De nombreuses études l’ont prouvé, même s’il faudrait en réaliser une sur le long terme pour le prouver définitivement. lien

La BIO, considérée longtemps comme l’apanage des bobos de gauche vient d’être considérée par la FAO comme une réelle solution.

Elle est présente dans 120 pays, recouvre 31 millions d’hectares, et représente un marché de 40 milliards de dollars. lien


La FAO a reconnu que l’agriculture biologique permet de freiner, voire d’arrêter, la stérilisation du sol, évitant ainsi le recours aux engrais chimiques, réduisant ainsi l’utilisation des carburants fossiles, en permettant aussi une meilleure production en terme de gout,

La FAO dans un rapport des 3/5 mai 2007 le conclut ainsi :

« l’agriculture biologique est un mode de gestion globale de la production qui exclut l’utilisation d’engrais et de pesticides de synthèse et d’organismes génétiquement modifiés, réduit au maximum la pollution de l’air, du sol et de l’eau, et optimise la santé et la production des communautés interdépendantes de végétaux, d’animaux et d’être humains ». lien

Et pourtant le BIO est menacé. lien


Les privilégiés sont ceux qui ont leur jardin, et leurs arbres fruitiers à condition bien sur qu’ils ne traitent pas chimiquement le sol, et la production.

En effet, des études ont prouvé que certains jardiniers, espérant une meilleure production, dépassent souvent la dose prescrite, rendant du coup celle-ci plus dangereuse que celle que l’on trouve dans le commerce. lien

L’idéal est de se contenter d’apports naturels, en fabriquant son propre compost, ce qui réduira d’autant le contenu de sa poubelle, et contribuera doublement au développement durable.


Il ne faut pas non plus oublier cette nouvelle technologie, le BRF (bois raméal fragmenté) qui permet de cultiver sans arrosage, et qui recrée de l’humus. lien

Tout n’est donc peut-être pas perdu.

Comme disait mon vieil ami africain :

« La mère est celle qui prend le couteau par la lame ».

 

 

 


Publié dans Nutrition & Santé

Partager cet article

Le potager bio

Publié le par Gerome

Aujourd’hui, dans le monde entier et plus encore dans notre société occidentale, chacun de nous est largement dépendant, pour s’alimenter, de l’industrie agro-alimentaire et du commerce mondial. Cultiver ses aliments, au moins en partie, cela signifie s’autonomiser d’un système qui repose aujourd’hui sur l’injustice sociale et la dégradation accélérée des ressources naturelles. C’est aussi garder le contrôle sur la production et s’assurer de la qualité de ce qu’on mange… 


Et puis, à condition d’y mettre un peu d’énergie (humaine !), cela peut engendrer des économies substantielles dans un budget un peu trop serré !

Pour prendre la responsabilité de ce que l'on mange, la première idée est de produire soi-même ! Commencer par quelques fruits et légumes, « bio » si possible ! 200 m² doivent permettre d’obtenir une production adaptée pour 4 personnes. On peut au minimum commencer par quelques pots, des herbes aromatiques, comme le thym, la ciboulette, le persil…

 

Pourquoi créer son potager bio ?

  • Pour contribuer à se nourrir par soi-même et gagner en autonomie
  • Pour se reconnecter à la terre, au vivant, à la nature
  • Pour apprendre et comprendre comment poussent les fruits, les légumes, les céréales, découvrir les spécificités du sol, des semences…
  • Pour participer à la sauvegarde des terres nourricières, de la biodiversité, des variétés anciennes de semences.
  • Pour le plaisir ! Quelle joie, quelle fierté de manger ses propres fruits et légumes une fois arrivés à maturité…

Les principes du jardinage biologique : - la qualité et la vie du sol : pas de produits polluants. Favoriser le développement des insectes et micro-organismes du sol. Le travail du sol se fait sans retournement et par simple aération. - l'amendement organique : à partir du compost fait de déchets végétaux et fumiers animaux, de purins de plantes et d'engrais verts. - la couverture du sol : comme en forêt, le sol est toujours couvert d'une culture ou d'un paillage qui évitent son délavement et sa destructuration. - la rotation des cultures : à part les cultures pluriannuelles ( fraises, artichauts...) et les tomates, on change chaque année l'emplacement des légumes : une rotation sur quatre ans paraît la norme pour pouvoir repositionner une culture au même endroit ( les cycles des plantes sont variables) - la biodiversité : le jardin accueille le maximum d'espèces et de familles végétales, (y compris haies et fleurs) et comporte des refuges pour les animaux auxiliaires utiles de façon à créer un équilibre de vie, source de régulation des nuisibles et des maladies.

 

Où planter en ville ?

Dans son jardin ou sa cour, dans un jardin partagé, sur les toits, dans les terrains vagues, dans un coin de parc, sur les balcons, terrasses et appuis de fenêtre, les accotements, et même en appartements… Ouvrez grands les yeux et vous découvrirez toutes sortes d’espaces disponibles autour de chez vous. Pourquoi pas les occuper pacifiquement avec de petites plantations ?

 

Mise en pratique

Le mois de mai est le bon moment pour commencer un potager, car c’est la grande époque des semis et des plantations.

Avant de préparer le terrain, il convient de définir sa taille idéale. Commencer petit, il sera temps, l’année prochaine, d’agrandir la surface cultivable. L'idéal est de choisir un endroit ensoleillé, plat et proche de la maison afin d’y accéder facilement.

 

En ligne, en planche, en carré, surélevé ?

Rectiligne, le potager conventionnel a l’avantage d’être simple à dessiner et fonctionnel, surtout si on trace deux grandes allées, en croix, permettant le passage d’une brouette, et des petits chemins menant à chaque planche. Matérialiser les voies avec des matériaux de récupération comme des briques pilés ou de l’ardoise concassée, des plaquettes de chêne, des bandes de pelouse ou tout simplement des planches ou dalles de bois. Les potagers en hauteur, très décoratifs et faciles à travailler par tous, peuvent être bordés de bois tressés, de planches ou de pierres. Les mauvaises herbes s’y ressèment moins et la terre est plus chaude.

 

Le travail du sol

Pour bien connaître la terre, il est possible de la faire analyser. Des laboratoires spécialisés indiqueront, après examen, les améliorations à apporter (comme le LAMS de Claude et Lydia Bourguignon).   Pour bien démarrer, retirer toutes les herbes, les racines, les cailloux, ensuite, crocheter puis ratisser. Pour les cultures suivantes, on utilisera une bêche écologique qui permet de bêcher la terre sans la retourner pour ne pas perturber la vie du sol.

 

Que planter, que semer ?

Commencer par des légumes faciles à cultiver, comme des radis, des navets, des tomates, des salades à repiquer. Cultiver des plantes aromatiques et des fleurs dans son potager est primordial, car plus il y a de diversité au jardin moins il y a de maladies et d’invasion d'indésirables.

 


 

 

Publié dans Nutrition & Santé

Partager cet article

Les légumes perpétuels

Publié le par Gerome

Nom Latin Type Caractéristiques
ache des marais apium graveolens var. graveolens aromatique vivace
agastache agastache foeniculum vivace semis spontané
ail à carènes allium carinatum
ail des ours allium ursinum vivace rustique & semis spontané s’aidera de ses graines comme de ses bulbes pour rapidement coloniser tout l’espace disponible
ail des vignes allium vineale
ail hair allium hair
ail rocambole, ail d’Espagne, oignon d’Égypte, poireau rocambole Allium scorodoprasum = allium sativum var ophioscorodon aromatique vivace
Ail sudafricain panaché tulbaghia violacea variegata vivace mais pas rustique Ne fait pas partie des aulx.
alliaire, herbe à ail alliaria pétiolata
ansérine ou arroche Bon Henri , voir Chénopode Bon-Henri
armoise artemisia
arroche (rouge, verte ou blonde) atriplex hortensis semis spontané
arroche étalée atriplex patula sauvage
arroche rouge atriplex hortensis var. rubra
artichaut cynara scolymus vivace rustique
asperge asparagus officinalis vivace rustique
balsamite chrysanthemum balsamita
bette sauvage, blette sauvage Beta vulgaris subsp maritima sauvage
bette, Bette à tondre, blette Beta vulgaris var. cicla semis spontané
betterave semis spontané
bourrache corse borago pygmaea = laxiflora vivace
bourrache officinale borago officinalis semis spontané fleurs bleues ou blanches
bourrache orientale borago orientalis ou trachystémon orientale vivace
boussingaulthéa baselloïdes vivace non rustique
calaminthe
camomille chamaemelum nobile "trenaegue"
camomille ordinaire ou allemande matricaria chamomilla
camomille romaine anthemis nobilis
canna edulis vivace en serre chaude
câprier capparis spinosa non rustique
capucine tubéreuse vivace non rustique
capucine tubéreuse de Colombie Tropaelum tubérosum racine vivace non rustique
cardamone elettaria cardamomum non rustique
cardon cynara cardunculus vivace rustique
carvi carum annuel
céleri à couper Apium graveolens secalinum bisannuel résiste bien l'hiver
céleri perpétuel voir livèche
cerfeuil musqué myrrhis odorata vivace
cerfeuil tubéreux chaerophyllum bulbosum les feuilles sont toxiques
châtaigne de terre Carum bulbocastanum
chayotte vivace non rustique
Chénopode, Chénopode bon-henri Chenopodium bonus-henricus vivace rustique
Chénopode géant chenopodium giganteum semis spontané
chervis sium sisarum Le semis est difficile. La bouture de racines reprendrait très facilement racine sucrée et farineuse(fine hélas)
chicorée sauvage cichorium intybus semis spontané
chou crambé Kotschhyana 2 M de Haut, 2M de large, supporte -20°, sol alcalin à neutre, surtout pas acide, sol riche et rocheux. N'aime pas les stresses racinaires, originaire d'Himalaya à 4300m d'altitude et à 2500m d'altitude au kashmir. Hermaphrodite.

Il ressemble beaucoup au Crambe Cordiflora, mais possède des fleures plus grosses. Les feuilles et racines doivent se cuisiner pour être mangées.

chou crambé oriental -20°, zone 7, 1M/1M sol alcalin a neutre sol pauvre drainé n'aime pas les perturbations racinaires.

Se bouture par les racines comme tous les Crambés.

chou crambé de Tartarie Tartarica Choux vivace à racine très grosse pivotante et très sucrée.

Pousse aussi bien qu'une consoude (choux feuille, les pousses peuvent être blanchies comme le choux marin ainsi que ses inflorescences). Originaire Bulgarie, les enfants le considèrent comme un bonbon. Il est très florifère et mellifère. Il forme un buisson de fleures blanche de 1m/1M zone 5. Sol alcalin a neutre, drainé

Chou Daubenton vivace rustique
chou frisé brassica oléacéa var acéphala
chou maritime, crambé maritime Crambe maritima vivace rustique 8 à 10 ans
chou moellier Brassica medullosa
chou red russian Vivace Choux feuilles pour salades.
chou tronchuda,chou beurre du Portugal 2M de haut, 0.50 de large, zone 8, tout sol ,hermaphrodite, bisannuel
chrysanthème comestible chrysanthénum coronarium semis spontané
ciboule à l'ail chinoise allium tubérosum
ciboule commune allium fistulosum
ciboule des bergers allium senescens
ciboule Saint Jacques allium lusitanicum
ciboulette américaine allium cernuum
ciboulette commune allium schoenoprasum
citronelle cymbopogon citratus non rustique
cive vivace vierge
Concombre Grimpant cyclanthéra pédata annuel Mexique
consoude symphytum
coriandre coriandrum sativum annuelle
cresson de jardin panaché baebarea verna variégata semis spontané
Cresson de jardin vivace Barbarea verna
cresson de terre semis spontané
échalote vivace (Sainte-Anne)
crosnes du Japon stachis tubérosa vivace rustique
épinard fraise chénopodium capitatum semis spontané
estragon artémisia dracunculus
fenouil semis spontané
fenouil des Alpes meum athamanticum
fenouil marin cristhnum maritimum
fenouil vert ou bronze foeniculum vulgare
feuille de poivre lipidium latifolium
fraise des bois sauvage
glycine tubéreuse ou patate en chapelet apios american
Hélianti hélianti héliantus strumosus vivace rustique
herbe aux bisons hierochloe odorata
herbe aux chats népéta cataria
hysope hyssopus officinalis commune, albus, roseus
igname de Chine discorea batatas
lavandes
livèche, céleri perpétuel livisticum officinale
macéron smyrnium olusatrum semis spontané
mâche semis spontané
mâche perpétuelle valeriana phu
mauve vivace rustique
melisse citronelle melissa officinalis
menthes mentha
menthe australienne prosthanthera cunéata
Menthe buisson à feuilles rondes prostanthera rotundifolia non rustique Australie
Menthe poilue des montagnes Pycnanthemum pilosum Amérique du Nord
Menthe spirée des montagnes pycnanthemum verticillatum Amérique du Nord
mitsuba ou persil japonais cryptotaenia japonica atro-purpurca
monarde didyma (bergamote) monarda didyma vivace aromatise le thé de Pensylvanie
Moutarde pourpre Brassica junceae semis spontané
myrthe myrthus communis
oca du Pérou oxalis crénata racine, vivace non rustique
oignon de catawissa cepa var proliférum
oignon patate Allium aggrégatum un gros calibre! Se multiplie comme les pommes de terre. nécessite du temps pour s'adapter au sol, augmentent de calibre d'année en année
oignon rocambole allium fistulosum = cepa var viviparum ou fistulosum aromatique vivace un quinzaine de variétés, toutes assez proches les unes des autres
origans origarium
ortie vivace rustique sauvage
oseille sauvage sauvage
oseille commune rumex acetosa vivace rustique
oseille d'Espagne rumex scutatus var silver shied
oseille épinard ou patiente rumex patienta vivace rustique
oseille sanguine rumex sanguineus
oseille vierge pourpre rumex montanus var sanguineus
pépino - poire melon solanum muricatum vivace non rustique
persil cheval smyrnium perfoliatum semis spontané
persil tubéreux petroselinum crispum radicosum
physalis
Pimprenelle Sanguisorba minor
pissenlit vivace rustique sauvage
plantain corne de cerf plantago coronopus semis spontané
plante à curry helichrysum italicum
plante à huître mertensia maritima
plante à sucre stevia rebaudiana vivace mais pas rustique
plante sucrée des Aztèques lippia dulcis annuelle
poire de terre, yacon polymnia édulis vivace non rustique
poireau des vignes, asperge du pauvre allium ampéloprasum var holmense
poireau perpétuel allium porum
poireau perpétuel , ail d'Orient allium ampeloprasum
pomme de terre vivace non rustique
pourpier vivace rustique sauvage
pourpier de cuba semis spontané
raifort armoracia rusticana aromatique vivace envahissant
raiponce campanula rapunculus semis spontané
réglisse glycyrrhiza glabra
renouée sauvage
rhubarbe Rheum rhaponticum
romarin romarinus
roquette semis spontané
roquette orientale bunias orientalis
Roquette vivace, roquette sauvage Diploataxis tenuifolia semis spontané
rue ruta graveolens
safran crocus sativus
sarriette satureja montana
sauge officinale
sclarée
souchet, amande de terre cypérus esculentus var. sativus racine, vivace non rustique Afrique de l’Est. très envahissant en climat tempéré et chaud. En climat froid garder les rhizomes dormants pendant l'hiver absolument au sec à 5°C. Rempoter à la mi-printemps
souci Calendula officinalis semis spontané
stellaire sauvage
tanaisie tanacetum vulgare, crispa, aurea
taro colocasia esculentus racine, vivace non rustique Originaire de l'Océanie
tétragone semis spontané
thyms
Topinambour envahissant
truffe sur arbres ensemencés
ulluco ullucus tubérosus racine, vivace non rustique, vivace en serre chaude
verveine citronelle lippia triphylla ou citriodora non rustique

Publié dans Nutrition & Santé

Partager cet article