Espérance de vie, l'industrie agro chimique nous assassine

Publié le par Gerome

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Note personnelle concernant l'article précédent :

 

notre espérance de vie diminue principalement à cause de notre alimentation bourrée de pesticides, colorants chimiques alimentaires, conservateurs, édulcorants (aspartame), nos gels douches à la fleur de Monoï ou la à la rose du Maroc, bourrés de saloperies chimiques. L'eau que nous buvons en bouteille en plastique, plastique contenant du BPA (perturbateur endocrinien reconnu), mais aussi l'eau du robinet bourrée de nitrates (surtout en Bretagne : région la plus polluée de France à cause d'une agriculture irrespectueuse de l'environnement).

 

La pollution atmosphérique des grandes villes, mais aussi les pollutions visuelles et sonores qui génèrent du stress et qui attaquent  et fragilisent l'organisme. La wifi de nos box allumées en permanence, le rayonnement de nos écrans, les ondes de nos portables que nous collons à notre cerveau plusieurs heures par semaine, les antennes relais ultra puissantes placées sur nos toits d'immeubles et qui balancent en permanence des ondes nocives et mortelles. Les lignes à haute tension qui traversent villes et villages et qui déclenchent des leucémies ou des tumeurs, les médicaments que nous prenons qui nous rendent souvent encore plus malades qu'au début....

 

Ces fameux sous vêtements à la mode en synthétique (comme le marque Freegun) (produit issu du raffinage du pétrole) que nous collons sur nos parties génitales.

Les réacteurs nucléaires dispersés un peu partout (58 rien que pour la France), les accidents nucléaires de Tchernobyl et Fukushima.

Vous savez quoi? C'est l'occident qui détient les taux de cancers les plus élevés au monde (Europe, USA, Canada), nul besoin de vous faire un dessin. Malgré la pauvreté les pays en développement ont des taux de cancers très bas, notamment en Inde.


Lisez bien ceci et retenez bien ce que je vais dire : dans moins de quarante ans, il n'y aura plus de centenaires, ni même de nonagénaires ou octogénaires. La mort nous emportera avant même la retraite. On travaillera comme des cons toute notre vie dans des boîtes qui nous mépriseront et on finira dans une autre boîte beaucoup plus petite. Non, non pas des cerceuils, des pots. Oui des pots car les cimetières seront plein à craquer.

 

 

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Publié dans Nutrition & Santé

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Espérance de vie, le mensonge

Publié le par Gerome

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VIVONS-NOUS VRAIMENT PLUS LONGTEMPS?
NON,.... MAIS ON LE CROIT.

Les médias martèlent que l’espérance de vie ne cesse de s’allonger. Et ce grâce aux progrès de la médecine. Or l’Etat français dépense actuellement près d’un milliard d’euros par jour pour assurer les soins de la population. Malgré l’énormité de cette somme, le nombre de malades augmente et la morbidité a plus que doublé depuis 1970. Auto-persuasion naïve ou manipulation du lobby pharmaceutique?


Dans un article paru dans le magazine Nexus n° 74 des mois de mai et juin, Sylvie Simon, journaliste entêtée qui fait son boulot (ce qu’on ne peut plus dire de la majorité des journalistes de la presse actuelle quand il s’agit de santé publique) compare les faits avec la propagande pharmaceutique et remet les pendules à l’heure. Et les faits sont têtus.

(..) L’amélioration de notre espérance de vie par la médecine est l’une des plus grandes contrevérités de ce siècle qui relève d’une manipulation de chiffres. Il est exact que la mortalité infantile, en bas âge et en couche, a fortement diminué grâce à l’hygiène de vie, mias la mortalité prématurée, c’est à dire celle qui intervient avant l’âge de 65 ans, est à l’origine de 25% des décès annuels dans l’Hexagone.


(…) Le 14 février 2004, le professeur Dominique Belpomme, cancérologue à l’hôpital Georges-Pompidou, a confirmé sur France Inter que l’allongement de la durée de vie au-delà de soixante ans était quasiment nul et que les chiffres optimistes viennent surtout de la réduction de la mortalité néonatale et infantile, grâce aux antibiotiques et, encore une fois, à l’hygiène de vie.
Ce qui n’empêche pas certains (mal informés?) d’entonner encore et encore le même refrain avec le même enthousiasme:

(…) Le 29 septembre 2005, Thierry Breton, ministre de l’Economie, affirmait sur France Inter que “l’espérance de vie s’allonge de trois mois par an” grâce aux sommes dépensées par la Sécurité sociale. Et depuis, ces propos sont repris ad libitum par toutes nos autorités de santé, afin de convaincre de leur efficacité.


Ces affirmations sont d’autant plus ridicules que les nombreuses personnes âgées encore en vie ont eu très peu recours à la médecine chimique dans leur jeunesse, mangent sainement, et ont laissé les maladies infantiles forger leur système immunitaire sans vaccins.
(…) Non seulement, nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades et de plus en plus dépendants de l’industrie médico-pharmaceutique.

 

 

 

 

 

 

Source:https:// essaipat.wordpress.com/2011/05/ 24/ vivons-nous-vraiment-plus-longt emps-non-mais-on-le-croit/
ARTICLES:
http://www.intelligenceverte.org/EsperanceVie.asp

http://www.alimentation-responsable.com/un-constat-inquietant

http://www.liberation.fr/medias/01012325728-l-esperance-de-vie-a-commence-a-baisser

VIDEOS:
"Alerte à Babylone"
avec Claude Bourguignon:
http://www.koreus.com/video/alerte-babylone.html

"Alerte dans nos assiettes"
Le film entier (5 parties se suivent): http://www.dailymotion.com/video/xdeq2t_alerte-dans-nos-assiettes-1x5-fr-ph_news#

AUTRES INFORMATIONS:
Qu'il y a t'il dans mon assiette???:
http://www.pesticides-non-merci.com/alimentation-pesticides.html

http://www.pesticides-non-merci.com/pesticides-sante.html

 

 


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La citation du jour

Publié le par Gerome

“En permettant l'homme, la nature a commis beaucoup plus qu'une erreur de calcul: un attentat contre elle-même.”


Emil Michel Cioran

 

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80 % de la jungle de Bornéo modifiée par l’Homme

Publié le par Gerome

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À Bornéo, on découvre régulièrement de nouvelles espèces. Voilà qui pourrait rapidement changer, car la forêt tropicale est mise à mal : son anthropisation impacte 80 % de la jungle malaisienne.


L’île de Bornéo est célèbre pour la richesse de sa biodiversité. Des dizaines de milliers d’espèces animales et végétales se partagent cette immense forêt tropicale qui s’étend sur le Brunei, la Malaisie et l’Indonésie. Cependant, l’île est menacée par une déforestation qui frappe par sa rapidité. L’industrie du bois, le développement des plantations de palme ainsi que les feux de forêt ravagent complètement la jungle. Dans une nouvelle étude, parue dans la revue Plos One, une équipe montre que la partie malaisienne de l’île est à 80 % impactée par l’anthropisation des sols.

 

À partir des données satellite issues du projet Carnegie Landsat Analysis System-lite (CLASlite), l’équipe menée par le chercheur Greg Asner a montré qu’entre 1990 et 2009 près de 364.000 km de routes ont été construits dans la forêt du côté malaisien. L’état de dégradation des États de Sabah et Sarawak n’avait jamais été quantifié de façon aussi précise. D’après l’étude, seulement 8 % et 3 % des zones de forêts de Sabah et Sarawak demeurent intactes. À titre de comparaison, 54 % de la forêt tropicale du Brunei est épargné.

 

 

Les études antérieures utilisaient des méthodes de cartographie satellite. Or, par ce moyen, les résultats ne pouvaient pas prendre en compte la dégradation de la forêt. « L'exploitation forestière lourde laisse un sillage de dégradation des forêts, et ce même si la zone peut encore ressembler à une forêt dans l'imagerie satellite classique. Avec le système CLASlite, nous pouvons voir les effets de l'exploitation sur la voûte intérieure de la forêt. Le système a révélé une dégradation extrêmement répandue dans ce cas », commente Greg Asner. Bornéo est une île de biodiversité, mais tout comme Madagascar, elle est confrontée à une frénésie d’utilisation des sols qui, non réglementée, pourrait bien mettre en danger l’écosystème entier de l’île.

 

 


Publié dans Nature

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Au Venezuela, un projet minier suscite une vive inquiétude parmi les Indiens

Publié le par Gerome

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Une délégation d’Indiens ye’kuana et sanema se sont rendus à la capitale vénézuélienne pour exprimer leur inquiétude face aux effets dévastateurs de l’exploitation minière sur leurs terres.

Les orpailleurs envahissent les territoires indiens du sud du Venezuela depuis de nombreuses années, polluant les cours d’eau et détruisant les forêts.

L’organisation ye’kuana Kuyjani a déclaré : ‘La terre est fondamentale pour les Indiens ye’kuana et sanema; c’est sur notre terre que notre culture est née, c’est ici que nous éduquons nos enfants… notre territoire garantit notre sécurité alimentaire, celle de nos enfants et des générations futures’.



Les Indiens appellent à l’arrêt immédiat et total de l’exploitation de l’or, du diamant et de tout autre minerai dans le bassin du rio Caura,qui est un sanctuaire de biodiversité pour les Ye’kuana et les Sanema ainsi que pour la nation vénézuélienne dans son ensemble.

En mars dernier, la COIAM, une fédération d’organisations indigènes, avait exprimé sa profonde préoccupation devant le projet gouvernemental visant à autoriser la CITIC, une compagnie minière chinoise, à prospecter dans ‘l’Arc minier de l’Orénoque’ dans lesEtats d’Amazonas et de Bolivar.

CITIC compte établir cinq campements miniers dans des régions habitées par différents groupes indiens, dont les Ocamo qui viventau cœur du territoire yanomami.



Dans son communiqué, la COIAM exprime la ‘profonde préoccupation’ des Indiens et leur ‘refus’ du projet minier qui aura des impacts socio-environnementaux destructeurs et ‘contraires à leur conception de la vie et de la terre mère essentielle à leur survie collective’. Elle appelle le gouvernement à reconsidérer de toute urgence son projet minier et sa politique indigène.

La COIAM affirme qu’il n’y a eu aucune consultation préalable et informée des peuples indigènes, ce qui viole la Constitution vénézuélienne et la législation internationale relative aux droits des peuples autochtones.

Publié dans Pollution

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