Et si nos capacités intellectuelles et mentales étaient en danger ? Les chercheurs sont formels : notre QI baisse et le monde scientifique et médical n'hésite plus à faire le lien entre les ca...
C'est officiel, nous sommes de plus en plus stupides et la science est en train de nous dévoiler que les principaux coupables de cette baisse de Q.I sont les perturbateurs endocriniens, les pesticides, les spray, les retardateurs de flamme etc...
Le constat est alarmant : nos capacités intellectuelles diminuent et le monde nous rend malade !
Polluants, perturbateurs endocriniens…, quelles preuves avons-nous de cet état de fait ? Comment faire pour inverser la courbe ? Peut-on encore réagir ?
Avant la diffusion du film “Demain, tous crétins ?” réalisé par Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade et diffusé sur Arte, samedi 11 novembre, nous abordons cette question cruciale du devenir de nos neurones et du rôle de notre environnement avec les deux réalisateurs et en compagnie de Barbara Demeneix, biologiste, endocrinologue, professeur au Museum national d’histoire naturelle de Paris, auteure des livres _"Le cerveau endommagé_" et "_Cocktail toxique_" parus chez Odile Jacob, expressément revenue de Bruxelles pour parler de cette situation alarmante.
Chaque femme enceinte doit prendre le plus tôt possible de l'iode afin d'annuler les effets des perturbateurs endocriniens et éviter ainsi à son bébé des retards intellectuels.
Voici une excellente vidéo issue de la chaîne vidéo "et tout le monde s'en fout" qui décrypte de façon pertinente et ludique le gaspillage d'eau potable.
Petite pensée au Maire de Gap, Roger Didier qui malgré une très forte sécheresse dans notre région et la possibilité d'une pénurie d'eau potable continue de bétonner Gap "la ville lotissements", car pour faire du ciment il faut beaucoup d'eau et juste pour info, pour obtenir 30 kg de béton, pour un béton dosé à 350 kg de ciment par m3 : Il faut 70 kg de ciment, 160 kg de sable et 260 kg de gravillon et 34 litres d'eau.
On multiplie ces 34 litres d'eau par des centaines de milliers de tonnes de béton nécessaires à la construction de ces pavillons, véritables verrues dans notre Nature et nous obtenons une moyenne approximative basse d'un million de litres d'eau et ceci juste à l'échelle de notre ville, alors imaginez ce que coûte à la planète la bétonisation des autres grandes villes...
Le maire de Gap doit geler les constructions tant que la situation n'est pas revenue à la normale.
Le peuple a parlé. Quand le diktat de Bruxelles va t-il cesser? Quand est-ce que les minorités de bureaucrates et de technocrates vont arrêter de pondre des lois contraires au bon sens commun et contre l'avis de la majorité? Où est le processus démocratique en ce moment? En ce moment je vois que nos vieilles démocraties sont fatiguées, usées et corrompues à tous les niveaux et qu'elles glissent doucement vers l'oligarchie (Oligos = le plus petit nombre et Arko = commander), littéralement le commandement au plus petit nombre. Il est temps que la voix du peuple se fasse entendre!
Huit Français sur dix (81%) estiment qu'il faut interdire le glyphosate, parce que cet herbicide est "potentiellement dangereux pour la santé", selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting* pour franceinfo et Le Figaro publié jeudi 26 octobre. Seuls 19% des sondés pensent au contraire qu'il "ne faut pas l'interdire", parce que "sa dangerosité n'est pas certaine et que les agriculteurs français en ont besoin".
Les Français sont unanimes, quelle que soit leur orientation politique. Cette interdiction est demandée par 86% des sympathisants de gauche, 85% de ceux d'En Marche, 75% de ceux de droite et 77% des sympathisants du FN.
La moitié des Français pensent que Nicolas Hulot n'a pas de poids pour défendre l'environnement
Par ailleurs, 55% des Français estiment que le ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, ne pèse pas dans les décisions du gouvernement concernant l'environnement. Le ministre est premier, en terme de cote d'adhésion, dans le baromètre politique Odoxa de la semaine, mais seuls les sympathisants En Marche "sauvent" son action au gouvernement. Ils sont 73% à penser que Nicolas Hulot pèse "fortement".
Les sympathisants écologiques, eux, sont une courte majorité (53%) à juger que le ministre agit. Les autres sondés sont bien plus critiques : 57% des sympathisants de la gauche de la gauche, 63% de ceux de la droite parlementaire et 69% de ceux du Front National estiment que le ministre "ne fait rien" pour l'environnement.
Notre-Dame-des-Landes illustre un clivage dans l'opinion
Près d'un sondé sur deux (49%) pense que Nicolas Hulot devra démissionner de son ministère si la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes est confirmée, en décembre. Cette division montre de profonds clivages dans l'opinion. Ainsi, 74% des sympathisants LREM, 58% de ceux du PS et 53% de ceux des Verts ne souhaitent pas sa démission. A l'inverse, 62% des sympathisants du Front National et 56% de ceux de la gauche de la gauche estiment qu'il devra quitter son poste.
*Ce sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et le Figaro a été réalisé par internet les 25 et 26 octobre 2017, auprès d'un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, parmi lesquelles 224 sympathisants de gauche, 145 sympathisants En Marche, 112 sympathisants de droite hors FN et 163 sympathisants du FN. La représentativité de l'échantillon est assurée par la méthode des quotas.
Un rapport préparé par le Conseil de sécurité (FISCR) pour le Kremlin révèle que le président Poutine a suggéré des directives allant dans le sens d’une protection de son peuple des denrées alimentaires à base d’OGM et des produits pharmaceutiques occidentaux « à tout prix ». Le rapport indique que le président Poutine estime que la prochaine étape de l’évolution humaine est actuellement dans une « phase grave » et que les puissances occidentales et mondiales sont en train de « ralentir intentionnellement le processus pour leur gain personnel. »
« Nous, en tant qu’espèce humaine, avons le choix de continuer à développer notre corps et notre cerveaux en suivant une trajectoire ascendante saine, ou nous pouvons suivre l’exemple de l’Ouest de ces dernières décennies et intentionnellement empoisonner notre population avec des aliments génétiquement modifiés, les produits pharmaceutiques, les vaccinations, la restauration rapide qui doivent être classifiés en tant que drogue dangereuse et addictive. » « Nous devons lutter contre cela. Avoir une population physiquement et intellectuellement handicapée n’est pas dans notre intérêt », indique le rapport.
Décrivant l’occidental moyen contrôlé par le gouvernement comme « un obèse intensivement vacciné à la limite de l’autisme affalé devant un écran aux prise avec une descente de sirop de maïs à haute teneur en fructose », le rapport indique que de telles tactiques utilisées par les gouvernements pour soumettre leurs citoyens ne sont pas seulement « obscures/maléfiques » mais « contre-productives à moyen et long terme ».
La Russie sous le président Poutine a donné des terres gratuitement ces dernières années aux gens voulant se lancer dans l’agriculture bio de développement durable. L’objectif est de devenir le « premier exportateur » au monde d’aliments non-OGM basés sur une production « écologiquement propre ».
Le rapport du Conseil de sécurité intervient quelques mois après l’annonce faite par le Kremlin de l’arrêt de la production de tous les aliments contenant des OGM, ce qui a été vu par la communauté internationale comme une étape importante dans le combat contre les multinationales comme Monsanto. La Russie continue de montrer la voie dans le domaine de l’agriculture naturelle et biologique.
Une raison supplémentaire d'arrêter de consommer de la viande de bœuf, qui en plus d'être grosse consommatrice d'eau et de céréales, donc mauvaise pour l'environnement est aussi mauvaise pour notre santé.
Selon "Le Canard enchaîné" de mercredi, 3 000 tonnes de viande diagnostiquée positive à la tuberculose sont vendues en France chaque année.
La viande bovine au cœur d'un nouveau scandale ? Le Canard enchaîné affirme, dans son édition du mercredi 25 octobre, que de la viande de vaches malades de la tuberculose se retrouve dans les rayons des supermarchés français. Bien qu'environ 8 000 vaches soient diagnostiquées positives à la tuberculose dans les exploitations françaises chaque année, leur viande est proposée à la consommation, ce qui représente plus de 3 000 tonnes de viande chaque année.
En "barquettes 'premier choix'"
Cette pratique est autorisée par les autorités sanitaires qui assurent que les carcasses sont sans danger pour l'homme lorsque les organes les plus infectés sont retirés. "Lorsqu'une lésion tuberculeuse a été retrouvée dans les ganglions lymphatiques d'un seul organe ou partie de la carcasse, seuls l'organe ou la partie de carcasse infectée doivent être déclarées impropres à la consommation", écrit le règlement 854/2004, qui encadre la question.
Ces informations sur les animaux malades ne sont pas mentionnées sur l'emballage et cette viande est "vendue en barquettes 'premier choix'", rapporte Le Canard enchaîné. L'hebdomadaire précise que "la quasi-totalité des bovins exécutés pour cause de tuberculose sont, en effet, des races à viande, proposées plus chères en rayon que la vulgaire vache de réforme", qui a fourni du lait pendant onze ans.