CANCER – Les téléphones mobiles augmenteraient le risque de 300%

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Une nouvelle étude suédoise révèle un risque accru de 300% du cancer du cerveau pour les utilisateurs de téléphone mobiles et sans fil rapporte l’association Robin des Toits.

 

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Des études antérieures avaient montré une association cohérente entre l’utilisation à long terme des téléphones mobiles et sans fil et le gliome et le neurinome acoustique, mais pas pour le méningiome, souligne l’ONG en guerre contre les risques sanitaires liés aux technologies sans fil. L’étude voulait évaluer la relation à long terme (> 10 ans) entre l’utilisation des téléphones sans fil et le développement de tumeurs cérébrales malignes.

Ses résultats confirment les études antérieures affirme l’association, révélant l’impact de cette utilisation dans le déclenchement et le développement de ces cancers du cerveau. L’Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé le téléphone mobile en tant que cancérogène « possible » pour l’homme précise Robin des Toits.


Pour en savoir + : http://www.spandidos-publications.com/10.3892/ijo.2013.2111

 

 


Publié dans Nutrition & Santé

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Fabriquez en 10 mn un système de « VortexValve™ » pour baisser la consommation de carburant de 25 %

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Source : rusty james

Source : Rusty james

 

Réalisations en Belgique et en France d’un système simple inspiré du « VortexValve™ » et qui peut faire diminuer la consommation de carburant jusqu’à 25 %.
Pour nommer rapidement les réalisations faites « maison » qui utilisent ce système, nous l’appellerons

« A.V.E.C. » (Air + Vortex = Economiseur Carburant)J’ai découpé un AVEC assez haut, à 4 pales, dans une vieille canette de  boisson gazeuse irlandaise. Pour plus de rigidité, j’ai replié le métal  pour doubler l’épaisseur et fait se croiser l’extrémité des pales, ce  qui ménage en même temps un orifice au centre. Ce n’était qu’un essai,  et je retenterai un montage plus « propre » plus tard.


L’AVEC est positionné en sortie de filtre à air, avant le conduit de  remontée d’huile.
Contrairement à d’autres expérimentateurs, je n’ai pas constaté de  modification du ralenti, sans doute du fait de la gestion électronique  du moteur.
En revanche, le couple se manifeste plus tôt (vers 1500 tr/min), et les  vibrations sont (un peu) moins présentes à bas régime. Ce qui fait qu’on  peut rouler à vitesse stabilisée en 5ème en ville sur un filet de gaz.

Côté consommation, Citroën donne des chiffres de consommation de 4,3, 5,2 et 6,8 l /100 km (extra-urbain, mixte et urbain), pour une consommation moyenne de 6,2 l/100 km.
Sur des trajets urbains et péri-urbains (périphérique et rocade lyonnaise), la consommation s’établissait aux environs de 5 litres (dernier plein avant montage : 880 km pour 44,x litres).


J’ai monté l’AVEC lorsque le compteur marquait environ 200 km.
La surprise a été au plein suivant : 4,11 l / 100 km sur des parcours similaires (i.e. un chiffre inférieur à toutes les prévisions Citroën)
J’attends avec impatience le prochain plein, réalisé entièrement avec AVEC installé. Je vous donnerai les résultats, qui ne devraient pas être décevants.
Ce que je trouve aberrant, c’est qu’on puisse obtenir de tels résultats en découpant de façon empirique une vieille canette (Gui…ss is good for us !), alors que les constructeurs se vantent de faire tout ce qui est en leur pouvoir depuis des années pour les économies d’énergie de leurs modèles.

Vues de face et de dos

 

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- Mise en place dans le couvercle du filtre à air

 

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Comme vous pouvez le voir, il s’agit réellement d’une canette de bière découpée grossièrement. Je me dis, cependant, que ce montage produit des résultats, et que, si ça se trouve, une réalisation différente aurait d’autres résultats.
Côté économies, les résultats annoncés en août se confirment après 6000 km : à chaque plein, nous roulons environ 100 km de plus.
Les consommations varient entre 4 et 4,7 l/100, (au lieu de 6,2l/100km)

 

 


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Notre histoire résumée en 2 minutes, spectaculaire!

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Réchauffement climatique : les jours du Koala sont comptés

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Selon une nouvelle étude australienne, le koala australien pourrait disparaître prochainement, victime du réchauffement climatique. Les auteurs de l'étude appellent à réagir en urgence pour planter des arbres le protégeant de la canicule et des eucalyptus afin qu'il puisse se nourrir.

Pendant trois ans, Mathew Crowther, de l'université de Sydney, a suivi 40 koalas par satellite. Il a ainsi étudié en détail leurs habitudes, leur habitat et leur alimentation. Un suivi minutieux mais nécessaire. Il faut dire que 25% des koalas australiens sont morts suite à la canicule de 2009, un chiffre alarmant pour les scientifiques "compte tenu de la fréquence grandissante des événements climatiques extrêmes".

D'ailleurs, cette année en Australie, le mois de septembre a battu des records de chaleur par rapport aux autres années avec des températures supérieures de 2,75°C à la moyenne. Il était donc important de mieux connaître les habitudes de ces animaux, emblèmes de l'Australie, afin de les protéger.

Des arbres en guise de protection

Grâce à son étude, Mathew Crowther a pu constater qu'au cours de la journée, le koala australien se réfugie dans de grands arbres dont le feuillage le protège du soleil et des feux de brousse. "Notre recherche confirme que les koalas s'abritent pendant le jour dans différents types d'arbres, avant d'aller se nourrir dans les eucalyptus la nuit", a expliqué le chercheur repris par l'AFP.

"Ils se nourrissent principalement de feuilles d'eucalyptus, ils ont donc besoin de ces arbres, mais aussi d'arbres de la famille des belahs ou des brachychitons", a t-il ajouté. Mais ce n'est pas tout. "Nous avons également montré que, plus il faisait chaud dans la journée, plus les koalas avaient tendance à rechercher des arbres dotés d'un feuillage dense pour échapper aux températures élevées", ajoute-il.


Or, avec le changement climatique et d'autres menaces, les arbres ont également tendance à se raréfier, offrant encore moins de protection à des koalas déjà fragilisés. C'est pourquoi les scientifiques et protecteurs de la nature appellent à réagir. Une espèce pas assez protégée

 

En juin 2012, le koala a été reconnu comme espèce à protéger par le gouvernement australien mais seulement dans certaines régions du pays. De plus, l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) continue de le considérer comme une préoccupation mineure malgré les menaces qui pèse sur l'espèce. Selon les dernières estimations, moins de 100.000 individus vivraient encore à l'état sauvage, contre 10 millions avant l'arrivée des colons britanniques en 1788. A l’heure actuelle, le koala est, non seulement menacé par le réchauffement climatique, mais également par le développement des villes, la circulation automobile, les chiens domestiques et les maladies.

 

 


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