Si la Terre était une banque...

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L'Afrique serait riche en eau douce

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Selon de scientifiques britanniques, les eaux souterraines de l’Afrique seraient d’un volume total de 0,66 million de kilomètres cubes. Cela représente plus de 100 fois la ressource annuelle actuelle en eau du continent et 20 fois la réserve d'eau douce de tous les lacs africains.

 

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Aujourd’hui, plus de 300 millions d'Africains n'ont pas accès à l'eau potable. De même, seuls 5% des terres arables du continent sont irriguées. Pourtant, en faisant quelques études un peu plus poussées, les chercheurs du British Geological Survey et de l'University College de Londres ont établi que le volume total des eaux souterraines en Afrique s'élevait à environ 0,66 million de kilomètres cubes (dans la fourchette entre 0,36 million et 1,75 million).


Ainsi, bien que toutes ne soient pas exploitables, l’étude qui vient d’être publiée montre que dans de nombreuses régions d'Afrique, il y a suffisamment d'eau souterraine pour alimenter en eau potable la population locale grâce à des pompes manuelles (entre 0,1 et 0,3 litre par seconde). En revanche, les possibilités pour mettre en place des puits de forage d'un débit supérieur à 5 litres par seconde, pour une exploitation commerciale, sont beaucoup plus limitées.



Les scientifiques mettent également en garde contre une approche "dispersée" pour trouver des puits à haut rendement. "Des puits de forage bien placés et à faible rendement pour l'approvisionnement rural et des pompes manuelles seront probablement efficaces face au changement climatique", a déclaré Alan MacDonald, principal auteur de l'étude cité par l'AFP. Toutefois, "les puits à haut rendement ne devraient pas être développés sans une compréhension minutieuse de l'état des eaux souterraines locales", a-t-il ajouté.

 

 


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Fukushima Carte de la radioactivité marine en mars 2012

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Horrible! La Namibie s'apprête à massacrer plus de 90 000 otaries

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Alors que de nombreux pays ont stoppé la chasse aux otaries, la Namibie continue d'autoriser chaque année un abattage des otaries à fourrure vivant au Cape Cross. Entre juillet et septembre, ce sont ainsi pas moins de 91.000 animaux qui vont être massacrés.

 

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C'est un véritable massacre qui souille chaque année dès juillet le sable des plages de Namibie. A cette période, commence en effet dans le pays la campagne d'abattage des otaries à fourrure du Cape Cross. Une pratique qui déclenche régulièrement une vague d'indignation parmi les organisations de protection des animaux qui ne parviennent pourtant pas à l'enrayer. Chaque année, des centaines d'hommes se rendent ainsi sur les plages pour massacrer les otaries utilisant un procédé jugé particulièrement cruel et inadmissible. Ils rassemblent toutes les jeunes otaries sur la terre et les empêchent de rejoindre la mer. Lorsqu'elles tentent de s'enfuir, ils les poignardent alors à coups de couteau.



Des actes autorisés par le gouvernement qui fixe chaque année un quota de chasse : si rien n'est fait, ce sont ainsi 91.000 phoques qui seront abattus entre juillet et septembre 2012, dont la majorité ne sont que des bébés. La Namibie justifie ce massacre en prétendant que le trop grand nombre d'otaries menace l'industrie de la pêche locale. Un argument largement démenti depuis plusieurs années par les organisations dont le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW). En 2006, celui-ci expliquait ainsi "plusieurs études scientifiques, notamment celles qui émanent du Canada, démontrent que le déclin des réserves de poissons est essentiellement dû à la surpêche, et non à la prédation des phoques et otaries".



"L’abattage des otaries en Namibie est inutile et injustifié. Les pouvoirs publics namibiens n’ont pas l’ombre d’une preuve scientifique plausible qui permette de démontrer que ces populations d’otaries ont un impact négatif sur leurs réserves de poisson. En outre, les méthodes utilisées pour tuer les otaries sont d’une cruauté inacceptable et, de l’avis d’IFAW, n’accordent aucune attention aux problèmes de protection animale. IFAW demande instamment au gouvernement namibien de mettre un terme immédiatement à l’abattage des otaries", ajoutait Jason Bell-Leask, Directeur du bureau sud-africain d’IFAW. Mais le gouvernement est resté sourd à toutes les demandes.



Pour manifester contre cette pratique, des militants ont donc décidé cette année de lancer une campagne internationale de boycott visant toutes les industries clés de la Namibie. Une mesure destinée à faire pression sur le gouvernement et l'inciter à interdire la chasse à laquelle de nombreux pays ont mis fin depuis plus de vingt ans. De son côté, l'organisation Fourrure torture a décidé de mettre en place une pétition et invite chacun à se mobiliser pour faire arrêter le massacre.

 

 

 

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Le parc naturel des Calanques voit officiellement le jour

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Le Premier ministre François Fillon, en outre ministre de l'Ecologie, a signé le décret de création du Parc national des Calanques, le 10ème parc national français et le 1er parc périurbain d'Europe, dont 90% de la surface est en mer, selon un communiqué du ministère publié mercredi. Ce parc national, aux portes de Marseille, «s'inscrit dans le cadre des objectifs de la stratégie nationale pour la création et la gestion des aires marines protégées», adoptée mercredi par le ministère de l'écologie, et qui doit permettre de placer 20% des eaux françaises sous protection à l'horizon 2020.

 

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140 espèces protégées


Le projet avait été lancé en 1999 et adopté en janvier dernier par le Groupement d'intérêt public (GIP) des Calanques, après de longues péripéties. Il doit permettre, selon le ministère, «de concilier au mieux les activités professionnelles et de loisirs avec la protection de ce territoire». La création du parc, souligne le ministère, «garantira un cadre structuré de gestion et de protection de ce patrimoine unique, en synergie avec tous les acteurs existants».


Le Parc des Calanques abrite quelque 140 espèces protégées, dont l'un des trente derniers couples d'aigles de Bonelli présents en France, ainsi qu'un milieu marin riche de 60 espèces -dont des dauphins et tortues marines. Près de 90 sites archéologiques ont été mis au jour, comme la grotte Cosquer, au cap Morgiou, abritant des peintures rupestres dont les plus anciennes datent d'il y a 27.000 ans.

 

 

 

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