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WIFI : le tueur silencieux

Publié le par Notre Terre

WIFI : le tueur silencieux

Le Wi-Fi: serait un tueur silencieux qui tue lentement

C’est un un réseau sans fil avec lequel vous pouvez connecter de nombreux périphériques sans utiliser de câbles. Aujourd’hui le Wi-Fi est partout. Les téléphones mobiles en bénéficient le plus, et les entreprises qui les fabriquent ont des instructions spécifiques pour l’utilisation des services de sorte qu’ils ne nuisent pas à notre santé.

 

Nos appareils sans fil comme les téléphones et les tablettes utilisent des routeurs pour se connecter en ligne. Le routeur émet des signaux WLAN – des ondes électromagnétiques qui peuvent causer beaucoup de dommages. Nous ignorons ce fait parce que nous n’avons pratiquement aucune connaissance de celui-ci. Avec le temps, ces signaux nuisent à l’organisme. Une étude menée par la British Health Agency a prouvé que les routeurs entravent la croissance des personnes et des plantes.

« Si nous n’avons pas de certitude absolue, la prudence peut être recommandée. Le Wi-Fi pose le problème suivant : il utilise des ondes d’une fréquence d’environ 2 400 MHz, presque les mêmes que celles des fours à micro-ondes. Cette fréquence a la particularité d’agiter les molécules d’eau, et notre corps est constitué de 75 % d’eau…

 

Biologiquement parlant, ce n’est pas bon. D’autant plus pour les enfants qui ont encore davantage d’eau dans le corps, en particulier dans le cerveau : il peut alors y avoir un effet de pénétration de chaleur à l’intérieur du crâne. On peut même penser que, par rapport au téléphone portable, le Wi-Fi aura plus d’impact avec des puissances plus faibles : avec le portable , l’effet est localisé près de la tête, tandis que le Wi-Fi aura un effet généralisé sur tout le corps », explique Pierre Le Ruz.

« Une étude a montré qu’une exposition prolongée pourrait nuire à la qualité du sperme , en diminuant notamment la mobilité des spermatozoïdes. Les chercheurs ont placé des échantillons de sperme sous un ordinateur portable téléchargeant des données en Wi-Fi, et d’autres échantillons loin de toute émission et exposés à la même température. Le constat : au bout de quatre heures, 25 % des spermatozoïdes placés sous l’ordinateur ne bougeaient plus, et 9 % avaient leur ADN endommagé. Les échantillons témoins ne comptaient que 14 % d’immobilité et des dommages ADN minimes », note le Dr Souvet.

 

Conséquences de l’exposition Wi-Fi:

  • fatigue chronique
  • douleurs dans les oreilles
  • manque de concentration
  • forts maux de tête fréquents
  • problèmes de sommeil

Nous ne pouvons pas vivre sans la technologie – c’est un fait. Mais nous devons apprendre à nous protéger de ses effets néfastes. Nous avons ici quelques conseils sur la façon d’utiliser le routeur en toute sécurité ou du moins réduire les dommages potentiels.

 

Comment protéger les enfants contre les ondes électromagnétiques

 

  • Déconnectez les programmes Wi-Fi avant le coucher
  • Désactivez le lorsqu’il n’est pas utilisé
  • Remplacez vos téléphones sans fil par des téléphones filaires
  • Évitez de placer un routeur dans la cuisine et dans la chambre

 

Le babyphone aussi est déconseillé.

>> Télécharger l’affichette : WIFI : POURQUOI IL FAUT LE COUPER?
>> Télécharger l’affichette : WIFI : votre santé ne tient qu’à un fil
>> Pensez à coller ces deux affichettes dans votre hall d’immeuble !

Depuis l’an 2000, le secteur des assurances reconnaît déjà les risques potentiels de ce type de champs électromagnétiques.

Source:http://tdhealthyfood.com / www.gov.uk/government/publications voir aussi des études qui sont à la base de cette prise de positions :
http://www.robindestoits.org/VRAI-FAUX-sur-la-telephonie-mobile-et-le-Wi-fi_a1524.html

 

 

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Pourquoi faut-il être hors la loi pour bien manger?

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Pourquoi faut-il être hors la loi pour bien manger?

 

90% des semences détenues par 5 grands groupes de l'agrochimie (dont Bayer & Monsanto) qui ont la main mise sur le catalogue de variétés autorisées. Depuis 60 ans, c'est 80% des variétés végétales comestibles qui ont disparu. Si un maraîcher n'utilise pas les semences autorisées dans ce catalogue, il risque 450€ d'amende par variété ! Dans Actuality, Olivier Roellinger s'insurge contre ce monopole qui risque de tuer la biodiversité.

 

 

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Le boom de la Spiruline,l'algue bleue aux grandes vertus

Publié le par Notre Terre

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C’était l’une des curiosités du dernier Sial, le grand rendez-vous de l’industrie alimentaire. Une bouteille bleu azur, remplie d’une eau enrichie en micro-algues en forme de spirale hyperconcentrée, connue sous le nom de spiruline. Mise sur le marché en mars prochain, cette boisson baptisée «Springwave» a été couronnée par le prix de l’innovation 2014, confirmant la montée en puissance d’un aliment auquel on prête de nombreuses vertus.

 

Où la trouver? A l’origine, la «spiru» est une algue bleue présente depuis 3,5 milliards d’années dans les eaux douces des lacs des régions chaudes, en Afrique (Tchad, Ethiopie, Tunisie), Amérique latine (Pérou) ou Asie (Inde, Sri Lanka, Thaïlande). Elle est ensuite commercialisée sous forme de poudre, cachets, gélules, principalement dans des boissons énergisantes ou des compléments alimentaires produits en Chine ou aux Etats-Unis. En France, une fédération de spiruliniers réunit une centaine de producteurs focalisés sur une culture artisanale de «paillettes sèches». Il s’agit donc cette fois d’un aliment, produit dans des bassins hors-sol. Son goût étant assez neutre, la spiruline ne se consomme pas en tant que telle, mais plutôt en condiment ou mélangée à une salade, un yaourt. Des gâteaux, barres énergétiques pourraient être produits à l’avenir, sachant qu’il est déconseillé de la chauffer pour ne pas en altérer la qualité.

 

Quels bienfaits supposés? Scientifiquement, le concept de «super-aliment» n’existe pas. Il est pourtant régulièrement associé à certaines substances qui, à l’image de la spiruline, possèdent des effets bénéfiques pour la santé. Le docteur Dupire, grand défenseur de ce produit, explique qu’elle contient tous les nutriments, acides aminés, et oligoéléments essentiels. Par sa rentabilité protéinique (60%), elle plaît particulièrement aux sportifs et aux végétariens. Elle est également riche en bêta-carotène, fer, vitamines B, E, B2, B12, K et acides gamma linolénique. Elle jouerait donc un rôle sur les fonctions de l’immunité, une action antioxydante, aiderait à lutter contre les infections et les allergies.

 

Pourquoi un tel boom? Consommée depuis l’aube de l’humanité, notamment chez les Mayas, elle a récemment été redécouverte par Ripley Fox, scientifique américain qui en a fait un produit miracle pour combattre la malnutrition (notamment en vertu de son apport en protéines). Une idée défendue par de nombreuses ONG et la FAO aujourd’hui, malgré l’absence d’étude clinique sur le sujet. La Chine, producteur de 2.500 tonnes de spiruline sèche par an, l’a déclarée aliment d’intérêt national. En France, où le nombre de producteurs est passé de 10 à 120 depuis 2009, il n’existe pas de lobby mais son développement va de pair avec la défense d’une alimentation alternative. Seul frein notable, son prix qui tourne autour de 150€ le kilo.

 

Quels risques éventuels? A travers son dispositif de Nutrivigilance, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) a récemment fait état de «signalements» d’effets indésirables, concernant des compléments alimentaires à base de spiruline. 15 depuis 2009, dont 7 suffisamment complets pour être jugés exploitables. Elle évoque des désagréments gastro-entérologiques et allergiques.  Ses conclusions sur le sujet seront rendues en 2015.

 


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Le Japon recommence à exporter du riz de Fukushima

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Et vous, en mangeriez-vous?

 

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La Fédération japonaise des coopératives agricoles a annoncé recommencer à exporter ce mois-ci du riz de la préfecture de Fukushima, pour la première fois depuis l'accident nucléaire survenu le 11 mars 2011 dans un complexe atomique de la région.


La première destination de ce riz soumis à des contrôles particuliers sur la radioactivité est Singapour, qui a montré sa «compréhension» vis-à-vis des mesures prises pour éviter la distribution de produits contaminés.

Des sacs de 5 kilogrammes de riz de type Koshihikari (un des plus réputés du Japon) y seront vendus dès le 22 août. Une campagne de promotion aura lieu sur place pour expliquer que ce riz est sûr et qu'on peut le consommer en toute tranquillité.


Le riz de Fukushima, contrôlé, est déjà vendu dans l'archipel mais les pays étrangers comme la Chine et la Corée du Sud qui importaient ce type d'aliment de la région de Fukushima (nord-est) avant la catastrophe atomique ont stoppé les achats par précaution. Pour le moment, Singapour est la seule destination qui a accepté de recevoir à nouveau cette production.

Plusieurs pays imposent encore de fortes restrictions sur les aliments de la province agricole et rizicole de Fukushima, ce qui ennuie les autorités nippones enclines à juger infondées ces mesures.


Le gouvernement, la Fédération des coopératives, les collectivités locales et diverses organisations s'escriment à tenter de prouver que les produits de Fukushima mis sur le marché sont sûrs, dans le strict respect de la limite sévère de césium radioactif fixée à moins de 100 becquerels par kilogramme.

Toutefois, la population étrangère et une partie des Japonais restent méfiants et réticents à acheter les fraises, pêches, concombres, tomates ou autres produits de la région saccagée par le désastre atomique provoqué par un gigantesque tsunami.

 

 


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Cinq astuces des internautes pour manger de bons fruits et légumes

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Ça a le goût de quoi déjà une tomate? Pour près de 70 % des consommateurs interrogés, pas facile à dire. D’après une enquête dévoilée ce mercredi, ils sont nombreux à trouver les tomates «ni bonnes, ni mauvaises». Du moins, celles vendues dans les supermarchés. Hors de ces mastodontes de l’alimentation, une autre saveur est possible. La preuve.


1/Arrêter de «vouloir du joli» en grande distribution

Lâcher la grande distribution. C’est la première étape du mieux-manger, selon les internautes. «C’est honteux de vendre un produit sous appellation tomate qui ne vaut rien, écrit RM, je considère que c’est de la tromperie à l’état pur.» Fini le «goût de flotte» des tomates du commerce, pour Gérard aussi. «Quand les consommateurs cesseront de vouloir à tout prix du joli et du calibré, rebondit B. dans les commentaires, déjà on tiendra le bon bout!»


2/ Ne pas se dire que les tomates «sont indispensables en février»

Fille de maraîcher, Claire s’indigne face à la consommation des légumes et des fruits hors-saison. «Il faut toujours produire plus, on manipule les consommateurs pour qu’ils croient que les fraises et les tomates sont indispensables à leur vie au mois de février.» La suite est logique. «On les cultive à 3.000 km de l’assiette, donc les producteurs développent des produits qui résistent au transport.» Au passage, on oublie le goût.


3/Ne plus acheter «à l’aveuglette»

C’est la recommandation de Jean. «Trop de gens ne se préoccupent que du prix. Lorsqu’on a trouvé un bon goût à certains produits, il faut continuer à prendre la même variété. Par exemple les tomates "cœur de bœuf" sont absolument infectes, même sur les marchés.» Marmote n’est pas forcément d’accord sur la «cœur de bœuf» mais tous suivent Jean sur un point: pour bien manger, «il faut faire un petit effort».


 4/Les cultiver soi-même et les «cueillir en fin d’après-midi»

Evidemment. Mais pas possible pour tout le monde, malgré les jardins partagés qui poussent comme des champignons en ville et les balcons qui sont plus exploitables qu’on ne le pense. Michel plante dans son «potager carré» une dizaine de pieds greffés chaque année. «C’est vrai qu’à la fin de la saison nous ne pouvons plus manger de tomates achetées», assène ce chanceux. Claire enjoint les déçus à «chercher des graines anciennes, des vraies, et à les faire pousser tranquillement au soleil». Mieux, «allez les cueillir en fin d’après-midi lorsqu’elles n’en peuvent plus d’être gorgées de soleil, vous serez sans voix.»


5/Aller chez un petit producteur local tous les deux jours

En Indre-et-Loire, Séverine s’est inscrite auprès d’une association qui «propose des paniers de légumes bio toutes les semaines». Cette année, le panier de 5 kg est vendu 12 euros, «je vous assure que les tomates ont un goût exceptionnel. Il y en a assez de manger tout et n’importe quoi.» Elisabeth, dans le Gers, se fournit directement auprès d’une agricultrice «qui vend les produits cueillis le matin même». Cette internaute se déplace tous les deux jours. Résultat, «goût et parfum assurés, un peu de sel c’est tout, pas besoin d’huile et on peut manger la peau.»

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